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Boughzoul le rêver et la vision algerienne

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  • Boughzoul le rêver et la vision algerienne

    dz(0000/1111)dz

  • #2
    C'est pour quand ça ? l'an 3000 ? Combien ça va coûter ? Y aura t-il un hôpital digne de ce nom ou une autre grande mosquée ? Et les autres villes - parce qu'il y a d'autres villes en Algérie - elles ressembleront à quoi ?

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    • #3
      Une chimére ce projet!
      "L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand

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      • #4
        Elle sera parmi les grandes réalisations de l'Algérie

        AMAR GHOUL À PROPOS DE L'AUTOROUTE NORD-SUD

        "Elle sera parmi les grandes réalisations de l'Algérie"



        Un «imposant» viaduc de 1 135 mètres linéaires et de 42 mètres de haut sera érigé à Benchicao pour assurer la liaison entre Médéa et Berrouaghia.
        Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a inspecté, hier à Blida, les travaux de réalisation de l'axe de l'autoroute Nord-Sud reliant la Chiffa (Blida) à Berrouaghia (Médéa). D'une longueur de 53 km, dont une grande partie composée de ponts et tunnels, cet axe autoroutier est confié pour sa réalisation à un groupement d'entreprises chinoises, pour un délai de 36 mois, a-t-on expliqué au ministre.
        Sa réalisation permettra la création de 9472 postes d'emploi, dont 6496 pour des Algériens (soit un taux de 69%) et 2976 pour des Chinois (31%), selon les informations fournies sur place.
        Le passage de cet axe autoroutier en plein coeur du Parc national protégé de Chréa, est de nature à contribuer grandement au développement socioéconomique et touristique de cette région, tout en assurant une fluidité du trafic et une sécurité à ses usagers, grâce à ses trois couloirs (en aller et retour), est-il ajouté. Insistant sur l'impératif de conférer à ce projet toute la dimension esthétique et touristique requise pour de tels projets, M.Ghoul a estimé que cette autoroute est appelée à devenir «parmi les grandes réalisations historiques de l'Algérie».
        Lors de sa halte à l'entrée du tunnel (7 km) partant de Chiffa à El Hamdania (Médéa), le ministre a également, instruit les chargés du projet de «respecter les normes de sécurité en vigueur».
        A Médéa, M.Ghoul a insisté sur la nécessité de veiller à l'application stricte des normes de sécurité lors des différentes phases de réalisation des travaux de l'autoroute Nord-Sud dans son tronçon reliant la Chiffa (Blida) à Médéa.
        «L'aspect sécuritaire doit être optimisé au mieux et priorisé lors des phases de conception et de réalisation des ouvrages d'art prévus sur ce tronçon, afin d'éviter toute incidence sur le rythme d'exécution des travaux ou sur leur qualité», a indiqué M.Ghoul lors de l'inspection de la section la Chiffa-El-Hamdania, l'un des tronçons les plus délicats et les plus difficiles de ce projet, en raison de la nature accidentée de son tracé.
        Cette section, qui fera la jonction entre la Chiffa et Médéa, en passant par El-Hamdania, abritera, pour rappel, un tunnel d'une longueur de 7 km, d'où l'insistance du ministre sur cet aspect sécuritaire qui doit prendre en considération également, selon lui, la sécurité des employés qui sont amenés à travailler dans des conditions «très difficiles».
        M.Ghoul a par ailleurs, instruit les responsables de cet imposant projet de procéder, le plus tôt possible, à la libération des emprises, en l'occurrence, les réseaux électriques et de fibre optique situés sur le passage de la nouvelle voie, afin d'éviter tout glissement sur les délais impartis, d'une durée de 36 mois.
        A Benchicao, 12 km à l'est de Médéa, où un «imposant» viaduc de 1135 mètres linéaires et de 42 mètres de haut sera érigé pour assurer la liaison entre Médéa et Berrouaghia, le ministre a estimé qu'il faut veiller à prendre en charge le traitement de la zone d'implantation de cet ouvrage d'envergure pour assurer, d'une part, la pérennité de ce viaduc, et garantir la stabilité de cette zone, d'autre part.
        Outre ce viaduc, une vingtaine d'ouvrages similaires sont prévus le long de la «voie express» la Chiffa-Boughezoul, totalisant un linéaire de 7924 mètres. Comme il est également programmé la réalisation sur ce même axe, d'une longueur de 125 km, de 38 ouvrages d'art, de différentes dimensions.
        Le ministre a annoncé, en marge de sa visite, que ce projet «titanesque» va permettre de générer quelque 10.000 emplois, dont près de 70% bénéficieront à la main-d'oeuvre algérienne
        lexpression
        dz(0000/1111)dz

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        • #5
          Grandes ambitions pour la politique de la Ville

          Amara Benyounès à Canal-Algérie

          Grandes ambitions pour la politique de la Ville

          La mission de rendre la ville «vivable’’, conviviale, moins stressante pour ses habitants et pour ceux qui viennent y passer quelques heures ou quelques jours, revêt une importance capitale dans l’Algérie du début du nouveau millénaire.


          Cinquante et un ans après l’Indépendance, l’échec urbanistique et architectural se lit sur toutes les façades «parabolées», sur les immeubles froids et sans âmes et dans les rues boueuses ou poussiéreuses qui n’arrivent même pas à prendre un nom. L’état de nos villes a fait l’objet, lundi dernier, d’un décryptage fort éloquent lors de l’émission ‘’Questions d’actu’’ de Canal-Algérie qui a invité le ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et de la Ville, Amara Benyounès, en compagnie de deux architectes. Il est vrai que le diagnostic de l’échec de la gestion des villes algériennes et les perspectives de redressement d’une telle situation peuvent faire l’objet de plusieurs livres, tant la chute aux enfers est grave et dure depuis plusieurs décennies, c’est-à-dire depuis que le tissu de la ville coloniale et de la médina arabo-berbère a commencé à être «trituré» dans tous les sens par tout le monde, à commencer par les habitants eux-mêmes et les nouveaux habitants venus d’horizons divers suite aux différents exodes qu’a connus la campagne algérienne. Le gouvernement comportait en son sein, dès le début des années 2 000, un ministère délégué à la ville, poste occupé à l’époque par Abdelhamid Boukerzaza. Cependant, il apparaît clairement qu’il ne suffit pas de calquer les structures administratives telles qu’elles existent sous d’autres cieux, en particulier l’Europe, pour voir l’objet de leur mission se réaliser comme par ‘’enchantement’’. Le ministère délégué a donc été tout simplement supprimé pour laisser place aux structures traditionnelles (APC, directions de l’urbanisme,..) qui mènent leurs «barques’’ dans une espèce de «mésintelligence’’ bien chevillée. Amara Benyounès déplore cette situation où il n’y a pas de véritable réceptacle des grandes décisions relatives à la gestion de la ville. Le management a fait visiblement défaut. Il explique que le nouveau poste de la Ville, compris dans l’organigramme du gouvernement Abdelmalek Sellal, est justement l’organe tout désigné pour servir de «pilote’’ à cette mission de grande envergure. Envergure tirée vers le haut par l’ambitieux programme des «villes nouvelles’’, qui a pris son envol depuis une décennie. Même dans ce programme, devant tirer les leçons de la mauvaise gestion des extensions urbaines des années 70 et 80, des erreurs ont été commises. Benyounès a eu l’occasion de le faire savoir pour ce qui est de la ville nouvelle Ali Mendjeli de Constantine, un agrégat fait pour 200 000 habitants et, apparemment, extensible à souhait. Sur les lieux mêmes de cet amas de cités, il dira que c’est une «catastrophe». Des cubes de béton, une addition froide d’appartements sans équipements sociaux, culturels ou récréatifs. Les locataires de cette ville, venus des communes environnantes, parfois de plus loin, n’ont pas d’affinités préétablies. Apparemment, ils seront condamnés à ne pas en avoir, même en vivant ensemble, du fait que, en dehors des appartements où ils entrent la nuit, aucune structure de détente, de loisir et de véritable présence en commun ne les rassemble. Bouinane, Sidi Abdallah, Boughezoul, sont des exemples d’autres villes nouvelles où le gouvernement compte mener une autre politique urbanistique, architecturale et environnementale, basée sur la rationalité, la convivialité, le savoir-vivre et le principe du «vivre-ensemble». Contrairement à d’anciens programmes de logements où sont ‘’parqués’’ les Algériens par appartenance sociale (logement social, LSP, promotionnel,…), le ministre de la Ville plaide pour une véritable mixité sociale, source d’intégration et de fertile communication sociale. Les politiques sectorielles, menées actuellement sous l’intitulé d’ «amélioration urbaine’’ sur les grands boulevards et les ruelles des villes, ne semblent pas donner tous les résultats escomptés. Les types d’interventions et les normes peinent à faire valoir une quelconque rationalité basée, comme partout dans le monde, sur la dimension de la ville, la nature de son bâti architectural, sa situation géographique, topographique et écologique, ainsi que son importance démographique et sur d’autres critères qui s’appuieraient sur une vision intégrée du cadre de vie (esthétique des ouvrages, fluidité des rues et artères, fonctionnalité de tous services connexes). Le commerce informel a achevé ce qui demeurait encore de beau et de spacieux dans nos villes. Trottoirs et places publiques sont squattés par des revendeurs sans titres. Le gouvernement Sellal a entrepris en septembre 2012 une action d’éradication du commerce informel. L’opération a réussi partiellement dans certains quartiers et a trébuché ailleurs. En tout cas, elle requiert le concours de plusieurs secteurs, dont celui du Commerce qui a promis des marchés couverts de proximité aux jeunes qui occupent la rue et les places publiques par leurs tables et étals. Réhabiliter la ville, sous tous ses aspects: urbanisme, architecture, culture, vie en société, mémoire, histoire…, participe immanquablement d’une œuvre grandiose, celle de la consécration de la vie en commun, du renforcement de la solidarité entre habitants de la même ville et de la formation de la citoyenneté.
          A.N.M
          LA DÉPÊCHE DE KABYLIE
          dz(0000/1111)dz

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          • #6
            faites leur la commission svp qu'ils changent le NOM de cette ville avec un nom comme ca c'est direction la catastrophe comme les cerveau qui ont donné ce nom ...

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            • #7
              salam
















              Daewoo retenu pour réaliser le siège de la ville nouvelle de Boughezoul

              Quote:
              La réalisation du siège de la ville nouvelle de Boughezoul, dans la wilaya de Médéa, a été confiée au groupe sud‑coréen Daewoo Engineering & Construction pour plus de 100 millions de dollars, a annoncé ce lundi 28 mai le ministère de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement. Le contrat comprend une partie en dinars de 5,5 milliards de dinars et une autre en devises de 36 millions de dollars hors taxes, selon la même source.

              Le groupe sud coréen a été choisi sur la base d’une offre financière moins chère que les autres concurrents dont les noms n’ont pas précisés par ce ministère. En 2009, le même projet avait été attribué au groupe chinois Sinohydro pour 6,36 milliards de dinars (63,6 millions d'euros). Mais le contrat a été ensuite annulé.
              Source: TSA




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              • #8
                kdhab fi kdhab!
                Éclairer les nations encore obscures.

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                • #9
                  Boughzoul



                  C'est le nom d'une nouvelle ville moderne ca

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                  • #10
                    c'est un film de science fiction qui sera realiser par Monsieur le president à partir du Val de grace
                    Coucher du soleil à Agadir

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                    • #11

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                      • #12
                        allez, je dis tout haut ce que tout le monde le pense tout bas, BOUBEZOUL !!!

                        ok, je sors...

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                        • #13
                          salam

                          Commentaire


                          • #14
                            [QUOTE][faites leur la commission svp qu'ils changent le NOM de cette ville avec un nom comme ca c'est direction la catastrophe comme les cerveau qui ont donné ce nom /QUOTE]

                            tiens, je propose de l'appeler Bogzon city!

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                            • #15
                              Etude. Patrimoine immatériel et noms de lieux Bouguezoul

                              Si un jour la capitale de l’Algérie porte ce nom, on verra comment la fortune d’un nom de lieu (ou toponyme) peut, à lui seul, concilier le passé et le futur, la tradition et la modernité, rappelant toutefois et en même temps cette réflexion de mon ancien professeur de psychopédagogie à l’université d’Oran, par ailleurs psychanalyste, feu Khaled Ouaddah : «Tout ce qui est ancien n’est pas traditionnel, et tout ce qui est nouveau n’est pas forcément moderne.»



                              De même, nous viennent à l’esprit les mots de Mostefa Lacheraf dans son ouvrage Des noms et des lieux, où il parle d’une «société dont la filiation est établie depuis la plus haute antiquité».
                              Bouguezoul : perçue et évoquée depuis plusieurs décennies – à tort ou à raison –, comme la future nouvelle capitale politique de l’Algérie, selon le plan et les prévisions conçus par le ministère de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement, en raison, selon ses initiateurs, des conditions favorables d’un pôle attractif, compte tenu de sa proximité de la capitale actuelle du pays, de ses nombreuses potentialités naturelles, du nécessaire redéploiement des flux de populations, aujourd’hui dangereusement concentrées sur le littoral, et en vue d’un développement économique plus équilibré et mieux réparti dans l’espace territorial national. Quel que soit le destin final de ce projet, il est l’occasion d’étudier une dénomination qui prend source dans la nuit des temps.

                              Les deux articulations, historiques et linguistiques étymologiques que nous développerons dans cette contribution, nous montrent que le présent vocable, composé de deux unités lexicales, «bou» et «guezoul», est transcrit différemment (Bouguezoul ; Boughezoul), en raison des spécificités phonétiques des langues en présence et de leurs évolutions, ainsi que de la tradition graphique établie, depuis le haut Moyen-âge, et de ses conversions en caractères très distincts : arabe/latin et vice-versa. La survivance dans les usages oraux et écrits actuels des deux formes (Bouguezoul ; Boughezoul), s’explique certainement par la non-existence de sons dans chacun des systèmes phonétiques : l’arabe (littéraire) n’inclut pas la consonne «g» et le français ignore le «gh», ou «ghayn» de l’alphabet arabe.


                              Le nom de «guezoul», ou sa forme altérée, «ghezoul», émerge de manière singulière dans les textes de tous les historiens et chroniqueurs, au Moyen-âge, dans la région de Tahart/Tihart la médiévale et les moudjahidine de la Wilaya V qui arpentaient ses maquis la connaissent bien : Djebel Guezoul. Selon Al Bekri, et surtout Ibn
                              Khaldoun – eu égard à son long passage dans la région –, c’est sur ordre d'Ibn Rostom qu’on bâtit sur le flanc de cette montagne, la ville de Tihert (ou Tiaret la moderne) en l'an 144 de l’Hégire (761-762). L’hôte de Frenda précise : «Dans les temps anciens, les Matmata habitaient les plateaux de Mindas, aux environs de Ouanchérich et du Guezoul, montagne du pays de Téhert».


                              Mais, très loin dans le temps, donc dans l’Antiquité, et plus proche de nous aussi, on a attribué surtout le nom de «gezul», à des populations (usage ethnique, ethnonyme) et même en tant que patronyme, notamment dans les formes «Guezoula, Guezazla et Guezouli». Ces étymologies ne correspondent pas forcément aux quelques régularités que nous connaissons jusqu’à présent, des significations véhiculées par le système de dénomination traditionnelle des lieux et des tribus et de leurs représentations.
                              «Guezoula» vient de «Guezoul», nom de tribus berbères, «descendants des Béranès», selon Ibn
                              Khaldoun qui aborde ce point dans Histoire des Lamta, des Guezoula, et des Meskoura, tribus descendues de Tîski et sœurs de celles de Sanhadja et de Hooura.

                              D’autres auteurs établissent un rapport entre «gezoul» et «Gétule». Naït Zerrad, dans son Dictionnaire des racines berbères (1998), relève l’extension géographique de la racine GZL (chleuh, mozabite, Maroc central, kabyle…) sous les formes suivantes : «igzul, gzul, gzel, agezzul», avec le sens de «court, devenir court, de petite taille». «Gezzul» : il est court. «Igzal, igzul, iwzil» : être court (Chaker, 1980). Agzal : «pique courte, caractéristique des Nord-Africains, zugzal» (Tilmatine, 2004). Cependant, Emile Laoust (1940) et Rachid Bellil du Cnrpah d’Alger, dans son ouvrage Les oasis du Gourara (Sahara algérien) : Le temps des saints (1999), en font la synthèse la plus pertinente, celle notamment qui supporterait, à notre humble avis, notre hypothèse explicative de l’origine de ce nom. Dans son étude sur le Sahara marocain, Bellil cite Jacques-Meunié, en apportant quelques précisions sur les Gétules. «On se souvient, écrit-il, que sous le nom de Gatuli, Gétules, l’Antiquité semble avoir englobé tous les indigènes des Hauts-Plateaux et de l’Atlas, depuis le golfe de Gabès jusqu’à l’Atlantique… Ils auraient occupé les immenses steppes de la Berbérie à la lisière du Sahara, mais leur localisation est incertaine car ils sont signalés à la fois au Maroc, en Algérie et en Tunisie (…) Gétules n’a donc pas un sens politique ni un sens ethnique (…). Comme si, à partir d’une certaine latitude, des Libyens de ces régions prenaient automatiquement ce nom». Précisons que «Libyens» a, ici, le sens d’habitants de l’Afrique du Nord dans l’Antiquité (ndlr : ne pas confondre avec les habitants de l’actuelle Libye).


                              Etablissant un lien entre «Guezoula», transcription arabe d’«Igguzulen», Bellil ajoute la réflexion de Camps : «L’étymologie du mot Gétule est aussi peu connue que celle des Maures ou des Numides ; elle est vraisemblablement indigène (…) le terme gaetulus dériverait du berbère agadig, dont le pluriel, Igudalen, est transcrit en arabe : gudäla. Les Gudala (ou Djudala) sont, eux aussi, comptés parmi les groupes de Sanhadja du désert». Pour Laoust, étudiant la toponymie du Haut-Atlas au Maroc (1940), le terme en question est un pluriel de «aguzûl», désignant à la fois un groupement ethnique et un leff de l'Anti-Atlas. Il précise : «Les Gezzûla, forme arabisée, semblent être venus du Sahara aux premiers temps de la conquête musulmane, (…) ils luttèrent notamment avec acharnement contre les Almohades. Ils occupèrent le Tazârwalt. Quand un descendant des fils de Sidi Aêmed u Musa voulut réoccuper le royaume de ses ancêtres, les Berbères lui donnèrent le titre de «Amoar n iguzulen», du nom des conquérants. Les Iguzulen donnèrent leur nom à un Leff qui porte encore le nom de Tagizûlt ou de Taguzûlt auquel adhérèrent un grand nombre de tribus de l'Anti-Atlas et même des Haha dans leur totalité. Ce Leff est surtout montagnard; c'est un Leff noble qui groupe les adversaires acharnés des Isuktân…».
                              dz(0000/1111)dz

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