Après le limogeage de Jean-Yves Chay, la JS Kabylie est officiellement sans entraîneur.
La saison qui commence risque d'être très difficile pour les Canaris...
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JS Kabylie : Chay vient d’être officiellement limogé
Ainsi, le président de la JSK, qui a longtemps insisté sur le départ de Chay, n’a pu attendre sa démission en décidant de lui envoyer sa lettre de limogeage jusqu’à chez lui en France. Le Français, qui a pourtant souhaité reprendre du service au sein des Jaune et Vert, ne pourra désormais y aller au bout de son aventure, assistant à un parcours des plus éloquents brisé. Pour l’ex-coach français avec qui on s’est entretenu, il y a un goût d’inachevé qu’il regrette beaucoup, saluant au passage les supporters kabyles qui l’ont inondé de messages lui demandant de revenir. “C’est fini aujourd’hui. On m’a envoyé ma lettre de limogeage. Ceci pour vous dire que mon retour que j’ai annoncé quelques jours auparavant n’aura pas lieu. Je tiens à remercier encore une fois les supporters qui m’ont appelé et envoyé des SMS pour s’enquérir de mon état de santé et me demander de revenir. C’est pour eux que j’ai voulu revenir, mais, c’est bien la fin”, a-t-il affirmé.
Toutefois, l’épisode Chay n’est pas consommé pour autant. Sur ce, notre interlocuteur, qui réclame son argent, nous dira qu’à présent, l’affaire sera soumise à l’instance du football internationale. En effet, Jean-Yves Chay n’y est pas allé avec le dos de la cuillère pour dire qu’il ne fera aucune concession et qu’il aura son argent au dernier sous. Il faut dire que la JSK va payer l’action de son président au prix fort, comme le stipule le contrat signé avec l’entraîneur, et qu’en cas de son limogeage, il sera indemnisé automatiquement. “Maintenant, la direction de la JSK aura affaire à la FIFA pour que je puisse avoir mon argent, c’est à elle de statuer. Une chose est sûre, je ne ferai aucune concession”, ajoutera le coach français dépité. Surtout qu’il a su par l’intermédiaire de la presse que le président l’a soupçonné d’avoir simulé le malaise. Des déclarations qui l’ont touché au plus profond de lui-même qu’il a même refusé de commenter. En somme, la direction kabyle aura fort à faire pour convaincre un entraîneur étranger à venir travailler pour elle, après avoir vu le sort réservé à Chay qui a ramené un championnat et propulsé les Canaris jusqu’en quart de finale de la Ligue des champions. Sauf peut-être les pigistes.
Les Canaris reprennent sous haute surveillance
Les supporters de la JSK, déçus par le niveau affiché par l’équipe depuis quelques matches, le seront sûrement encore plus lorsqu’ils sauront que Chay ne reviendra pas et que le président a décidé unilatéralement et sans raison apparente de le limoger. D’ailleurs, pour la reprise des Canaris au stade du 1er-Novembre, le climat était électrique et les joueurs avaient peur d’une mauvaise réaction des supporters à leur égard et ce, en l’absence du premier responsable du club. Ceci bien sûr en présence des forces de l’ordre autour de l’enceinte sportive afin d’éviter tout dérapage des fans déchaînés. Or, aujourd’hui, les joueurs n’ont rien à se reprocher, eux qui sont restés sans entraîneur en chef depuis longtemps. D’ailleurs, une pétition est en train de circuler dans toute la Kabylie où on réclame tout simplement des changements.
source: liberté
La saison qui commence risque d'être très difficile pour les Canaris...
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JS Kabylie : Chay vient d’être officiellement limogé
Ainsi, le président de la JSK, qui a longtemps insisté sur le départ de Chay, n’a pu attendre sa démission en décidant de lui envoyer sa lettre de limogeage jusqu’à chez lui en France. Le Français, qui a pourtant souhaité reprendre du service au sein des Jaune et Vert, ne pourra désormais y aller au bout de son aventure, assistant à un parcours des plus éloquents brisé. Pour l’ex-coach français avec qui on s’est entretenu, il y a un goût d’inachevé qu’il regrette beaucoup, saluant au passage les supporters kabyles qui l’ont inondé de messages lui demandant de revenir. “C’est fini aujourd’hui. On m’a envoyé ma lettre de limogeage. Ceci pour vous dire que mon retour que j’ai annoncé quelques jours auparavant n’aura pas lieu. Je tiens à remercier encore une fois les supporters qui m’ont appelé et envoyé des SMS pour s’enquérir de mon état de santé et me demander de revenir. C’est pour eux que j’ai voulu revenir, mais, c’est bien la fin”, a-t-il affirmé.
Toutefois, l’épisode Chay n’est pas consommé pour autant. Sur ce, notre interlocuteur, qui réclame son argent, nous dira qu’à présent, l’affaire sera soumise à l’instance du football internationale. En effet, Jean-Yves Chay n’y est pas allé avec le dos de la cuillère pour dire qu’il ne fera aucune concession et qu’il aura son argent au dernier sous. Il faut dire que la JSK va payer l’action de son président au prix fort, comme le stipule le contrat signé avec l’entraîneur, et qu’en cas de son limogeage, il sera indemnisé automatiquement. “Maintenant, la direction de la JSK aura affaire à la FIFA pour que je puisse avoir mon argent, c’est à elle de statuer. Une chose est sûre, je ne ferai aucune concession”, ajoutera le coach français dépité. Surtout qu’il a su par l’intermédiaire de la presse que le président l’a soupçonné d’avoir simulé le malaise. Des déclarations qui l’ont touché au plus profond de lui-même qu’il a même refusé de commenter. En somme, la direction kabyle aura fort à faire pour convaincre un entraîneur étranger à venir travailler pour elle, après avoir vu le sort réservé à Chay qui a ramené un championnat et propulsé les Canaris jusqu’en quart de finale de la Ligue des champions. Sauf peut-être les pigistes.
Les Canaris reprennent sous haute surveillance
Les supporters de la JSK, déçus par le niveau affiché par l’équipe depuis quelques matches, le seront sûrement encore plus lorsqu’ils sauront que Chay ne reviendra pas et que le président a décidé unilatéralement et sans raison apparente de le limoger. D’ailleurs, pour la reprise des Canaris au stade du 1er-Novembre, le climat était électrique et les joueurs avaient peur d’une mauvaise réaction des supporters à leur égard et ce, en l’absence du premier responsable du club. Ceci bien sûr en présence des forces de l’ordre autour de l’enceinte sportive afin d’éviter tout dérapage des fans déchaînés. Or, aujourd’hui, les joueurs n’ont rien à se reprocher, eux qui sont restés sans entraîneur en chef depuis longtemps. D’ailleurs, une pétition est en train de circuler dans toute la Kabylie où on réclame tout simplement des changements.
source: liberté
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