Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La chine musulmane.

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Avec plaisir Zwina

    Chun Li,
    d' apres Mohho il s'agit de wu shu et non du kung Fu ! je m'y connais pas en art martial ! bais d'aprees le recit le wu shu est un peu different a plus de la boxe !
    Bon en fin c'est ce que je crois d' apres ce recit

    Commentaire


    • #17
      Le Wu shu veut dire arts de se préserver..Donc ajouté a kung fu qui veut dire "maitrise, bien fait, effort que demande un travail, travail de qualité" le terme Kung Fu Wu Shu veut dire "maitriser l'art de se préserver".Donc le Wu shu n'est pas un art martial en lui meme, il regroupe les arts martiaux chinois en général.Et ceci pour les dissocier des autres arts .(comme a taiwan on emploi le mot "kuo shu" pour décrire les arts martiaux taiwanais.)
      "euh..hum hum...bon j'y vais: youuuuyouyouyouyouyouyouyouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiii"

      Commentaire


      • #18
        Bonjour

        Tout à fait, d'accord avec toi Chun Li. Mon maître de Wu shu (Kung-Fu) est un "Hui"(une femme) de Henan Sa famille garde jolousement les secrets d'un art martial depuis plusieurs générations, même en chine il n'est pas enseigné aux non musulmans.
        Dernière modification par mohoo, 16 janvier 2007, 11h42.

        Commentaire


        • #19
          meric Chun Li pour ta superbe explication !!

          J'aimerais bien que tu nous raconte davntage sur la societé et les gens en chine (surtout les musulmans) si tu en sais plus !!

          je trouve ca passionant surtout que j' ignore presque tout sur ce fascinant pays.

          Commentaire


          • #20
            Bonsoir
            Kung-fu en chine est synonyme d'habilité acquise (péniblement),de réalisation,d'accomplissement,de maître d'un art,d'exercice ou de technique.
            Le kung-fu dans son premier sens est un art qui demande des années pour être maîtrisé.
            En occident,il désigne avec la vague de Bruce Lee les arts martiaux chinois qu'on nommait autrefois boxe chinoise.
            La république de chine adopta officiellement le terme Kuoshu ou arts martiaux en 1911,en 1949 la république populaire de chine décida
            d'utiliser le terme Wu Shu (littéralement arts martiaux), qui est toujours en vigueure actuellement.

            Le Prophète Mohamed (saw) a dit "Allez chercher le Savoir, ne serait jusqu'en Chine"
            L'histoire a retenu que des Arabes ont noué des relations avec la Chine et fait avec elle des échanges commerciaux, principalement par voie maritime, dès avant 500 après J.C. et que quelques-uns d'entre eux s'y sont installés, surtout sur les côtes méridionales, dans la province actuelle de Canton (1).
            (*) Traduction EDA d'un article publié en italien dans le numéro 21 (15/04/93) de CINA OGGI, supplément au n(127 de la revue Asia News.
            La dynastie Tang (618-907) a marqué un âge d'or des relations extérieures de l'empire chinois. Celui-ci, sûr de son patrimoine culturel, accueillit alors volontiers les influences extérieures et se montra prompt à assimiler les formes et les thèmes culturels des pays avec lesquels il entrait en rapport. Il en vint même à admettre la diffusion de croyances religieuses étrangères, comme le bouddhisme, rejoint par une grande floraison : zoroastrisme, manichéisme, nestorianisme, en plus de l'islam.
            Cette ouverture s'est d'abord limitée au commerce et à l'art militaire. Depuis des siècles, les marchands étrangers faisaient le voyage de la Chine à travers l'Asie centrale et s'infiltraient dans l'empire. Selon les sources historiques, à Chang'an, des commerçants venus du centre et de l'ouest de l'Asie vendaient des vins en bouteille et des bijoux. Le négoce des matières précieuses était surtout le fait des Persans, experts reconnus dans l'estimation des pierres dotées de pouvoirs magiques. Les communications maritimes connurent un développement rapide. Des vaisseaux de transport faisaient la navette entre Canton, Chuanzhou, Hangzhou, Yangzhou (2) et les ports du Golfe persique.
            Mahomet vivait encore quand, selon la légende (3), quatre de ses premiers disciples vinrent en Chine répandre l'islam parmi les Arabes qui y résidaient. Abu Waqqas (4) l'aurait prêché à Canton, en y faisant construire en 627 le premier minaret, utilisé en même temps comme phare pour les bateaux, d'où son nom de Guangta. Saad Lebid Alhabshi serait allé dans le Fujian, à Changzhou et à Quangzhou, où fut construite la première mosquée, appelée Qilinsi ou mosquée de la licorne.
            En tout cas, moins de dix ans après l'hégire (622), une communauté musulmane s'est déjà formée sur les franges de la Chine, en attendant que le processus d'expansion de l'islam pousse les Arabes vers les régions de l'Asie centrale, leur fasse battre la Perse en 636, à Kadisiyad, et rejoindre le Khorassan, aux confins des royaumes tributaires de la Chine. Ce processus entraîne aussi la conversion à l'islam des tribus d'origine turque et mongole du centre de l'Asie, déjà en rapport avec l'empire chinois. L'entrée officielle de l'islam en Chine date de 651, quand arrivent en première ambassade à Chang'an les envoyés du calife abbaside Osman Ibn Affan. Ils exposent à l'empereur Yongwei de la dynastie Tang l'histoire du califat, ses us et coutumes et les bases de la foi islamique. Dans la suite des siècles, spécialement des Tang aux Song du sud (618-1125), se succéderont quarante-sept autres ambassades arabes, venues par terre ou par mer, pour des buts pacifiques ou à cause de conflits armés.
            Une bataille entre troupes arabes et chinoises a lieu à Talas en 751, parce que Tashkent, pays tributaire de la Chine, a demandé de l'aide contre la traîtrise de la Chine qui veut l'annexer (5). Mais ce n'est qu'un épisode secondaire puisqu'en 755 le jeune empereur chinois Su Tsung appelle à la rescousse les troupes musulmanes du calife abbaside Abu Ja'far Al-Mansur pour mater la rébellion d'An Lushan, que des délégations officielles des sultans ommayades d'Arabie continuent de venir dans le sud et que les relations commerciales se maintiennent. Les échanges restent si fructueux qu'en 760 on dénombre quatre mille familles arabes dans la seule ville de Chang'an (aujourd'hui Xi'an), capitale de la dynastie Tang.
            Avec le continuel va-et-vient des marchands et l'installation de soldats musulmans en Chine, des communautés musulmanes se développent en nombre et en influence dans les principales villes de la route de la soie et dans les ports les plus fréquentés des côtes chinoises. Elles ont le monopole du commerce des marchandises arabes, jouissent de privilèges et d'une relative autonomie de gestion (elles ne peuvent toutefois traiter les affaires commerciales que dans le quartier qui leur est assigné). On les appelle Fanke, hôtes étrangers. Ils habitent des Fanfang, quartiers étrangers. Dirigés d'ordinaire par un chef responsable, Fanzhang ou Qadi, ils vivent regroupés autour de leur mosquée et de leur propre cimetière. Ils se mêlent aussi aux Chinois par le biais des mariages entre un musulman et une femme chinoise.

            Commentaire


            • #21
              ils disent de l'islam qu'il est rigide alors qu'il seduit des
              arabes
              des perses
              des turcs
              des berberes
              des soudanais
              des somaliens
              des senegalias
              des nigeriens
              des nigerians
              des pakistanais
              des afghans
              des indiens
              des philippins
              des indonesiens
              des malaisiens
              des turkmenes
              des ouzbecs
              des kasaks
              des bosniaques
              des albanais
              etc etc


              c'est rigide l'islam tellemnt rigide qu'il regroupe des ethnies tellement differents et ayant des traditions si differentes!!!
              « Puis-je rendre ma vie
              Semblable à une flûte de roseau
              Simple et droite
              Et toute remplie de musique »

              Commentaire


              • #22
                tizinissa

                Et bien Tizinissa, te raconter la Chine en un post?C'est du suicide lol!
                C'est vrai que c'est un pays fascinant que je suis en train d'étudier.Les chinois(et les asiatiques en général) sont des gens tres malins et tres performants qui n'ont pas peur de bosser dur pour arriver a leurs fins.Pendant que l'Europe en était a ses balbutiements, la Chine était un pays avancé qui avait une structure politique exemplaire, dirigé par des empereurs habiles.Elle était tellement avancée que ses voisins coréens et japonais la prirent pour model.On envoyait des ambassades en Chine pour copier les savoirs qui touchent tous les domaines:la religion, la litterature, l'écriture, les armes, la politique etc.En ce temps là, le chinois était a la mode.A la Cour japonaise, pour etre bien vu il fallait parler et ecrire chinois.Connaitre tous les preceptes du bouddhisme.Avec la venue de l'empreur sinophile Shotoku Taishi, le Japon a connu la sinisation en masse.Grace a cette sinisation, le Japon s'est développé rapidement.Mais il n'a pas tenu le coup face a une structure trop lourde inadequat pour un petit pays comme lui.
                Pour se faire une idée de la culture avancée de la Chine d'alors,regardez la Grande Muraille, le palais impérial!C'est la plus ancienne civilisation encore vivante (3500ans).Et puis on ne peut qu'etre admiratifs quand on sait qu'elle a du appliquer une langue écrite commune qui permet de lier les differents dialects locaux tous tres differents de l'oral.Meme les envahisseurs comme les mongols ont adoptés les coutumes chinoises!

                Désolée d'avoir un peu récité mes cours mais je suis en admiration devant de telles civilisations.Peut etre qu'un jour nous adopterons tous le model chinois!Qui sait? (Ben ouais, le jean's, Mickael Jackson et les macDo sont connu dans le monde entier non?Alors pourquoi pas?)
                "euh..hum hum...bon j'y vais: youuuuyouyouyouyouyouyouyouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiii"

                Commentaire


                • #23
                  Dans la période de la République (1911-1949)

                  merci chun Li pour ta contribution !!
                  Beh justement dis tout ce que tu sais ladessus ! en plus tu prais conaitre personellement cette culture et ca ajoute de la fraicheur (comme le recit de mohoo) a ce topic !!

                  Alors n' hesites pas

                  ********************

                  Après la chute de l'empire chinois (1911) et dans les premières années de la République, "le gouvernement et les non-musulmans semblent apprécier le rôle des musulmans dans la construction de la République. Ceux-ci sont considérés comme une des "cinq races" de la Chine. Pour la première fois, ils sont reconnus, y compris naturellement ceux du Turkestan, comme la race ou la nationalité Hui. Pour la première fois aussi, après la chute de la dynastie mandchoue, ils peuvent jouir en Chine d'une véritable égalité. La constitution nationale comme la proclamation du Kuomintang témoignent clairement en faveur de la liberté de religion. L'islam y est reconnu de manière spécifique. La constitution chinoise prévoit aussi que les représentants musulmans à l'Assemblée nationale sont élus par les musulmans de tout le pays" (13).

                  Sur le plan politique toutefois, les musulmans du Turkestan ne sont pas satisfaits des changements. Ils s'insurgent contre le pouvoir républicain à Hami en 1912 et de nouveau en 1930. Ces mouvements s'étendent et conduisent, sous l'action de Maula Zabitida à Kashgar à la proclamation en 1933 d'une République du Turkestan, qui est toutefois soumise dès 1934.

                  A partir de 1912, les groupes musulmans cherchent à améliorer et à coordonner leurs relations avec leurs coreligionnaires de l'étranger. Est fondée dans ce but l'"Association musulmane pour le progrès" qui a son siège central à Pékin et des filiales dans toutes les provinces. Elle est remplacée en 1929 par "l'Association islamique chinoiseEntre temps s'est ajoutée en 1924 l'"Union culturelle musulmane chinoise" qui a pour but de publier et de promouvoir la littérature et la culture musulmanes, en coopération encore avec l'étranger. Une "société pour la prédication islamique" est créée en 1933 à Taiyuan. Pendant l'hiver de 1937, à Hankou, la "fédération islamique chinoise pour le salut national" présidée par le général Omar Pai Chung Hsi connu pour son engagement dans la résistance contre le Japon, entreprend une réorganisation au niveau national qui coiffe et coordonne les structures déjà existantes. Elle envoie deux importantes missions, l'une dans les pays du Moyen-Orient en 1937-1938, l'autre en 1940 dans ceux du sud-est asiatique.

                  Les musulmans s'engagent aussi de plus en plus dans le domaine de l'enseignement : modernisation des anciennes écoles de mosquée, ouverture de nouveaux établissements, écoles, collèges et centres d'étude, pour la formation des imàm et des enseignants et pour l'instruction religieuse des enfants.

                  La presse reçoit parallèlement une forte impulsion. Partie d'une simple revue au Yunnan en 1915 elle se dote de publications connues comme Le croissant et La lumière du croissant à Pékin, La revue islamique à Shanghai etc. Cela favorise la naissance et la formation de bons écrivains et traducteurs comme Elia Wang Ching Chai, Mohamad Yang Chong Ming, Ma Chien (Makim), etc.
                  Selon l'annuaire de la Chine de 1930, il y a alors 48 millions de musulmans dans le pays et environ 40 000 mosquées (14).

                  En 1943, le professeur Pai Sho Yi écrit : "D'innombrables musulmans ont donné leur vie pour la révolution républicaine et dans la guerre contre l'invasion nippone. Dans les années récentes, un grand nombre d'emplois et de charges militaires ont été occupés par des musulmans, au gouvernement central et surtout dans les provinces du nord-ouest et du sud-ouest. La mobilisation des musulmans a été totale sur le front de la lutte contre l'ennemi comme à l'arrière. Ils ont insufflé l'énergie et l'esprit combatif dans toute la Chine" (15). Dans la guerre contre le Japon, les combattants musulmans constituent cinq pour cent de l'armée chinoise et plus de trente des leurs commandent des troupes au combat avec un grade supérieur à celui de major général. "Les musulmans sont fiers qu'aucun des leurs n'ait suivi Wang Ching Wei quand il s'est réfugié de Chongqing à Nankin pour former le gouvernement fantoche aux mains des Japonais" (16).

                  A la veille de la République populaire, la situation de l'islam est ainsi décrite : "Le nombre de ses adeptes doit se situer entre 20 et 30 millions. Les Chinois se convertissent difficilement à l'islam. Dans l'armée, on ne trouve des musulmans chinois que dans les troupes dont les officiers sont musulmans. Aucune fille musulmane n'épouserait un Chinois. Une certaine croissance vient du fait que des musulmans épousent souvent des Chinoises qui embrassent leur religion.

                  Les musulmans de Chine se répartissent entre les deux sectes de la religion traditionnelle et du courant nouveau. La première qui appartient à l'école des hanafites se fonde sur le Coran et sur la sunna. La seconde, qui a pris naissance dans le Gansu et étend de fortes ramifications au Shaanxi, au Sichuan et au Yunnan, est plus attachée au culte de ses saints et de leurs tombes et reconnaît que ses chefs sont investis par Dieu de grâces célestes particulières qu'ils transmettent à leurs successeurs. Les deux sectes sont vivement opposées l'une à l'autre, mais toutes deux s'appuient sur de puissants chefs militaires" (17).

                  A suivre ...

                  Commentaire


                  • #24
                    Quelques cartes pour mieux situer la Chine

                    La position geographique de la chine dans le continent asiatique



                    ************************************************** ********


                    PS: soulignés en rouge sont les departements ou ont vecu les premeirs musulmans



                    ************************************************** ********




                    ************************************************** ********


                    Dernière modification par Tizinissa, 19 janvier 2007, 20h10.

                    Commentaire


                    • #25
                      Bonsoir

                      Merci Tizinissa pour ces cartes, J'ai visité pékin, Shanghai, canton, Hong kong. La région que je connais mieux c'est la province de Henan stuée au centre de la chine à 700 km au sud de Pékin.
                      Il ya un million de musulmans à Henan, mon maitre de Wu Shu Kung- Fu et sa famille est de l'école des hanafites.

                      Commentaire


                      • #26
                        Bonsoir mohoo,

                        je t'envie un peu pour tes voyages en Chine

                        pourrais tu me dire:

                        - quel est la situation sociale des chinois musulmans ? (respectés ou non?, riches ou pauvres, ont-ils des postes influents?, font-ils partis du parti chinoix? y a t-il des politiciens musulmans ou grand hommes affaire ? y a t-il des intellectuels musulmans en vue ? ... etc

                        mon maitre de Wu Shu Kung- Fu et sa famille est de l'école des hanafites

                        est ce le cas pour la majorité des musulamsn a Henan ?
                        qu' elles sont les autres ecoles musulmanes suivis en chine ?

                        Peut tu confirmer ce que j'ai cru comprendre pendant ma lecture:

                        - la province "Canton" porte aussi le nom de "Guandong"

                        - la ville "Canton" porte aussi le nom de "Guangzhou"

                        Merci d' avance pour ta reponse !

                        Commentaire


                        • #27
                          Bonsoir

                          Je passais mon temps en chine à apprendre les arts martiaux.
                          La situation social des musulmans à Henan
                          Les enfants de mon maître ont fait l'université.
                          Mon maître m'a invité chez ses frères et soeurs, ils ne sont pas pauvres, très respectés...
                          J'ai rencontré à la mosquée de Zhengzhou capitale de Henan un homme d'affaire qui a beaucoup de contacts avec les pays du Golfe. Les autorités chinoises jouent la "carte" des musulmans chinois pour le commerce avec les pays du Golfe et musulmans..
                          J'ai prié dans deux mosquée seulement, les deux sunites.
                          oui - la ville "Canton" porte aussi le nom de "Guangzhou". Une ville superbe.Dans un restaurant, on m'a proposé des serpents !
                          Dernière modification par mohoo, 19 janvier 2007, 21h43.

                          Commentaire


                          • #28
                            Je vais lire en détail car je crois n'avoir jamais vu un musulman chinois

                            Commentaire


                            • #29
                              Merci beacoup mohoo ! n' hesites pas a poster un peu tes ouvenirs de ce pas !!

                              Elyas, prend ton temps, elle est vraiment fascinante l'histoire des musulmans chinoix !

                              Commentaire


                              • #30
                                j'ai tout lu, ouf, j'ai les yeux qui piquent !! eh,allez y doucement les amis !!

                                en tout cas merci a Tizi pour ce topic et à tout le monde pour vo contribution

                                j'ai beaucoup appris, surtout en relisant le passage que mohoo a reposté lol, malich, ça m'a aidé à mieux retenir

                                par contre pour les noms ..... faut dire qu'on a pas l'habitude de prononcer ce genre de mot, encore pour les retenir..... !!

                                merci bcp, fascinant oui, mais ça m'a donné sommeil tout ça !!

                                quel veinard tu es Mohoo !!!

                                bonne nuit la Chine

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X