on croirait que cela s'est passé du temps de la colonisation française, he bien non, ce sont des algériens qui ont martyrisés violé, sodomiser assassiner d'autres algériens.
Amar
« Qu’est ce qui prouve aujourd’hui que notre placement dans ces lieux, ne répondait pas au souci de la France de savoir quel est le degré de nocivité de ses bombes, trente années après leurs essais ? »
« L’ouverture des camps de concentretion dans des zones ayant servies à des essais nucléaires, est la preuve de la perte de la notion de ce que veut dire humain »
Nourredine BELMOUHOUB
La plus cruelle tyrannie est celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice
Nourredine BELMOUHOUB
Neuf février 1992, jour de la haine et du malheur national
Le neuf février en Algérie et depuis 1992, ne peut ni ne doit vouloir dire autre chose que la peur, la colère et la haine. Et comme dit George Lucas: “La peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine mène à la souffrance”. Me voilà donc, une boule de colère, après avoir été pris pour cible par la peur, un certain neuf février ; je hais ce qui en sont à l’origine, autant que je souffre du mal qui à été fait à mon pays et au peuple auquel j’appartiens, à ma famille, à mes proches, mes amis et à moi même
Que s’est-il donc passé ce neuf février ?
Rien de plus qu’une confiscation de latitude à un peuple, auquel on refuse le droit de choisir de vivre sa vie. Depuis ce jour, une junte militaire, composée de déserteurs félons de l’armée coloniale, soutenus par une clique à claques, drapée d’une cape démocratique, s’empara de nos libertés et fit de nous un paquet de sujets sans vie. Depuis ce jour l’Algérie libre fut transformée en prison à ciel ouvert et les Algériens, y compris les geôliers sont réduits en captifs. En effet, une équipe de bandits décida comme à la française, de nous museler et de nous assujettir, en décrétant l’état d’urgence au nom de la raison d’état, d’un état ayant perdu la raison, et en celui de lois scélérates servilement appliquées par des harkis du système, coupables d’une cruelle tyrannie exerçait arbitrairement et inhumainement à l’ombre des lois, avec les couleurs de la « justice ».
Nourredine BELMOUHOUB
Si le monde était vraiment gouverné par le hasard,
Il n’y aurait pas tant d’injustice car le hasard est juste,
et même c’est précisément là sa nature d’être juste par son excellence.
Avant-propos
Ce témoignage est d’actualité dans une situation ou l’impéritie continue à conjuguer néo-colonialisme et politique destructrice et, ou très nombreux ici et ailleurs, n’ont pas eut l’occasion avant la création le 18 mars 2009 du Comité de Défense des Internés des Camps du Sud–C.D.I.C.S-, de prendre connaissance d’un drame unique dans les annales du mal dont furent victimes, des milliers d’algériens après détournement de la volonté populaire par des nostalgiques de la gégène.
C’est aussi et surtout, afin de lutter contre l’oubli, pour raviver et tenir en éveil une mémoire défaillante, que ce témoignage vient rappeler le crime diabolique contre l’humanité, planifié et exécuté sans aucun état d’âme par des kleptomanes animés d’un génie malfaisant et d’un esprit mégalomane, d’ou des milliers de personnes furent arbitrairement livrées à la radioactivité nucléaire, chimique et bactériologique.
Eparpillés aux quatre coins de l’Algérie, d’autres en exil, j’ai appris que nombreux d’entre les victimes du Goulag algérien, ont quitté ce monde terrassés par des pathologies radios induites dues à l’irradiation, d’autres affaiblis par les épreuves d’hier et l’oubli d’aujourd’hui, vivotent sans droits et à leur modeste et humble manière, ils continuent de servir leur pays, en attendant que justice soit faite.
A la Mémoire :
De mes co-internés torturés ou froidement assassinés dans les camps,
Des co-Internés qu’un cancer a terrassé,
Aux Veuves et aux orphelins de nos compagnons de l’Enfer des camps.
Au défunt Maitre Mahmoud KHELLILI l’Avocat qui dérangeait,
Par reconnaissance au Docteur Salah Eddine SIDHOUM,
Par solidarité à Maitre Ahmed SIMOZRAG, aux internés de Folombray
À ceux qui ont été poussés à l’exil.
Aux très rares et honnêtes défenseurs des droits de l’homme,
Aux rares et exceptionnel (elle)s journalistes qui nous ont soutenus,
À mes compagnons du Front du Changement national,
À celles et ceux qui nous ont témoigné leur compassion,
Je dédie ce témoignage.
Et pour rappel :
À ceux qui ont une part de responsabilité dans cette tragique mort sur ordonnance,
Afin que la vérité soit connue et justice rendue,
Pour que ca ne se renouvelle plus, plus jamais,
Sans haine et sans rancœur, pour garder en éveil leur conscience
Et pour qu’ils sachent qu’en retour nous ne leur pardonnerons jamais.
Nourredine BELMOUHOUB
Porte parole du C.D.I.C.S
Alger le 09 Janvier 2012
Amar
« Qu’est ce qui prouve aujourd’hui que notre placement dans ces lieux, ne répondait pas au souci de la France de savoir quel est le degré de nocivité de ses bombes, trente années après leurs essais ? »
« L’ouverture des camps de concentretion dans des zones ayant servies à des essais nucléaires, est la preuve de la perte de la notion de ce que veut dire humain »
Nourredine BELMOUHOUB
La plus cruelle tyrannie est celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice
Nourredine BELMOUHOUB
Neuf février 1992, jour de la haine et du malheur national
Le neuf février en Algérie et depuis 1992, ne peut ni ne doit vouloir dire autre chose que la peur, la colère et la haine. Et comme dit George Lucas: “La peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine mène à la souffrance”. Me voilà donc, une boule de colère, après avoir été pris pour cible par la peur, un certain neuf février ; je hais ce qui en sont à l’origine, autant que je souffre du mal qui à été fait à mon pays et au peuple auquel j’appartiens, à ma famille, à mes proches, mes amis et à moi même
Que s’est-il donc passé ce neuf février ?
Rien de plus qu’une confiscation de latitude à un peuple, auquel on refuse le droit de choisir de vivre sa vie. Depuis ce jour, une junte militaire, composée de déserteurs félons de l’armée coloniale, soutenus par une clique à claques, drapée d’une cape démocratique, s’empara de nos libertés et fit de nous un paquet de sujets sans vie. Depuis ce jour l’Algérie libre fut transformée en prison à ciel ouvert et les Algériens, y compris les geôliers sont réduits en captifs. En effet, une équipe de bandits décida comme à la française, de nous museler et de nous assujettir, en décrétant l’état d’urgence au nom de la raison d’état, d’un état ayant perdu la raison, et en celui de lois scélérates servilement appliquées par des harkis du système, coupables d’une cruelle tyrannie exerçait arbitrairement et inhumainement à l’ombre des lois, avec les couleurs de la « justice ».
Nourredine BELMOUHOUB
Si le monde était vraiment gouverné par le hasard,
Il n’y aurait pas tant d’injustice car le hasard est juste,
et même c’est précisément là sa nature d’être juste par son excellence.
Avant-propos
Ce témoignage est d’actualité dans une situation ou l’impéritie continue à conjuguer néo-colonialisme et politique destructrice et, ou très nombreux ici et ailleurs, n’ont pas eut l’occasion avant la création le 18 mars 2009 du Comité de Défense des Internés des Camps du Sud–C.D.I.C.S-, de prendre connaissance d’un drame unique dans les annales du mal dont furent victimes, des milliers d’algériens après détournement de la volonté populaire par des nostalgiques de la gégène.
C’est aussi et surtout, afin de lutter contre l’oubli, pour raviver et tenir en éveil une mémoire défaillante, que ce témoignage vient rappeler le crime diabolique contre l’humanité, planifié et exécuté sans aucun état d’âme par des kleptomanes animés d’un génie malfaisant et d’un esprit mégalomane, d’ou des milliers de personnes furent arbitrairement livrées à la radioactivité nucléaire, chimique et bactériologique.
Eparpillés aux quatre coins de l’Algérie, d’autres en exil, j’ai appris que nombreux d’entre les victimes du Goulag algérien, ont quitté ce monde terrassés par des pathologies radios induites dues à l’irradiation, d’autres affaiblis par les épreuves d’hier et l’oubli d’aujourd’hui, vivotent sans droits et à leur modeste et humble manière, ils continuent de servir leur pays, en attendant que justice soit faite.
A la Mémoire :
De mes co-internés torturés ou froidement assassinés dans les camps,
Des co-Internés qu’un cancer a terrassé,
Aux Veuves et aux orphelins de nos compagnons de l’Enfer des camps.
Au défunt Maitre Mahmoud KHELLILI l’Avocat qui dérangeait,
Par reconnaissance au Docteur Salah Eddine SIDHOUM,
Par solidarité à Maitre Ahmed SIMOZRAG, aux internés de Folombray
À ceux qui ont été poussés à l’exil.
Aux très rares et honnêtes défenseurs des droits de l’homme,
Aux rares et exceptionnel (elle)s journalistes qui nous ont soutenus,
À mes compagnons du Front du Changement national,
À celles et ceux qui nous ont témoigné leur compassion,
Je dédie ce témoignage.
Et pour rappel :
À ceux qui ont une part de responsabilité dans cette tragique mort sur ordonnance,
Afin que la vérité soit connue et justice rendue,
Pour que ca ne se renouvelle plus, plus jamais,
Sans haine et sans rancœur, pour garder en éveil leur conscience
Et pour qu’ils sachent qu’en retour nous ne leur pardonnerons jamais.
Nourredine BELMOUHOUB
Porte parole du C.D.I.C.S
Alger le 09 Janvier 2012
Commentaire