Tweet
et pendant ce temps L'Etat islamique d'Irak et de Cham proche d'Ansar elcharia en Syrie et des rebelles syriens se sont opposé non loin de la frontiere turque faisant plusieurs morts.
Al Dana, dans la province d'Idlib, à une quarantaine de kilomètres à l'ouest d'Alep, le groupe d'opposition de la "Jeunesse libre d'Idlib", qui est resté en dehors des combats de vendredi, a fait état de dizaines de morts et de blessés.
Il a dénoncé à la fois les islamistes et les rebelles qui ont participé aux affrontements. "Ces deux partis recherchent le pouvoir, comme si le régime (d'Assad) était déjà tombé. Les uns ne valent pas mieux que les autres", affirme la "Jeunesse libre" qui met en garde contre le risque de "chaos".
CORPS DÉCAPITÉS
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une ONG proche de l'opposition, les corps décapités d'un commandant militaire du bataillon Islam et de son frère ont été retrouvés dans un parc public de la ville.
Au début bien accueillis par la population, les groupes islamistes, comptant dans leurs rangs des combattants étrangers forts de leur expérience en Afghanistan ou en Irak, ont été ensuite critiqués pour leur interprétation rigoriste des règles de l'islam et leur agressivité envers les récalcitrants, souvent battus, parfois exécutés.
Les manifestations contre les groupes islamistes les plus radicaux sont de moins en moins rares. Selon l'OSDH, les affrontements de vendredi à Al Dana ont éclaté après une manifestation de ce type sur laquelle des militants qaédistes ont ouvert le feu. les echos
Il a dénoncé à la fois les islamistes et les rebelles qui ont participé aux affrontements. "Ces deux partis recherchent le pouvoir, comme si le régime (d'Assad) était déjà tombé. Les uns ne valent pas mieux que les autres", affirme la "Jeunesse libre" qui met en garde contre le risque de "chaos".
CORPS DÉCAPITÉS
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une ONG proche de l'opposition, les corps décapités d'un commandant militaire du bataillon Islam et de son frère ont été retrouvés dans un parc public de la ville.
Au début bien accueillis par la population, les groupes islamistes, comptant dans leurs rangs des combattants étrangers forts de leur expérience en Afghanistan ou en Irak, ont été ensuite critiqués pour leur interprétation rigoriste des règles de l'islam et leur agressivité envers les récalcitrants, souvent battus, parfois exécutés.
Les manifestations contre les groupes islamistes les plus radicaux sont de moins en moins rares. Selon l'OSDH, les affrontements de vendredi à Al Dana ont éclaté après une manifestation de ce type sur laquelle des militants qaédistes ont ouvert le feu. les echos