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Festival culturel arabo-africain de danse folklorique

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  • Festival culturel arabo-africain de danse folklorique

    Le coup d’envoi de la 8e édition du Festival culturel arabo-africain de danse folklorique, qu’organise la direction de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou, a été donné mercredi dernier à la salle de spectacles de la maison de la culture Mouloud-Mammeri.

    Lors de son allocution d’ouverture, le commissaire du festival, Ould Ali El-Hadi, directeur de la culture de Tizi Ouzou, déclarera : “Cette année, le festival est placé sous le thème ‘Danser l’Algérie indépendante’, et investira les lieux publics afin de fêter ensemble, dans l’émotion et la danse, le cinquantenaire de l’Algérie libre et indépendante”, et de saluer chaleureusement la présence, comme chaque année d’ailleurs, de la troupe représentant la Palestine, dont l’ambassadeur était également présent dans la salle.
    A rappeler que le pays invité d’honneur du festival est l’Autriche, représenté par la troupe de l’association autrichienne D’kasara, fondée en 1901 dans le but de préserver les coutumes, les traditions et la danse tyroliennes. Juste après le coup d’envoi officiel, les 12 pays étrangers invités du festival, ainsi que de nombreuses troupes algériennes ont pris part à un important défilé qui a sillonné les artères principales de Tizi Ouzou, et ce, suivant un décor bariolé et des airs de musique différents. Les troupes ont exécuté des pas de danses typiques à leur région et pays d’origine. Dans la soirée, le théâtre régional Kateb-Yacine a accueilli trois troupes de danse qui avaient égayé le public. Ainsi, la troupe libanaise Ram a offert une prestation des plus majestueuses. Créée en 2005, Ram avait assuré un spectacle diversifié, en proposant différents styles de danse. La troupe compte une quarantaine de danseurs et danseuses qui exercent avec une approche académique. L’autre troupe qui est montée sur scène, durant la même soirée, est celle du Niger. Elle a dispensé une prestation chorégraphique typique. C’est un art à l’état naturel, brut. Les danseurs et danseuses nigériens qui, avec leur spectacle, ont participé à plusieurs festivals dans le monde, ont présenté notamment la danse du Dodo, relatant une histoire, celle du serpent occupant un puits qu’il interdit aux femmes. Quant à la troisième prestation de la soirée, elle a été exécutée par le ballet sénégalais Kondiof, qui est un ballet des Sérères, une ethnie du centre du Sénégal.
    Durant la même soirée, à la salle de spectacles de la maison de la culture Mouloud-Mammeri, le public a pu découvrir la troupe de danse palestinienne, ainsi que celles de Tindouf et de Tizi Ouzou.
    Avant-hier, quatre troupes participantes ont défilé sur scène, alors que dans la soirée, et à la l’occasion de la fête de l’indépendance et de la jeunesse, le chantre de la chanson kabyle Akli Yahiaten a animé un gala artistique dans une salle archicomble, à la maison de la culture.
    Hier soir, au programme, des représentations de danse par la troupe libanaise, Imsouhal, Ghardaïa, les Emirats arabes unis, la Tunisie et l’Autriche, alors qu’un gala avec le chanteur Rabah Asma était prévu dans la soirée.
    K. T LIBERTE
    dz(0000/1111)dz

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