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Tu es, nous sommes l'amour, ma bien-aimée!

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  • Tu es, nous sommes l'amour, ma bien-aimée!

    Tu es, nous sommes l'amour, ma bien-aimée!



    Tu es l’amour, étincelle jaillissant du firmament et traçant les contours d’une réalité qui enlace frénétiquement les moments nés au cœur des attentes fébriles des fragiles envoûtements.

    Tu es l’amour origine et objet de mes rêves dont la pureté transcende les impossibles et invente le langage des yeux qui interroge les nuits turbulentes et les aubes apaisées.

    Je suis l’amour, ton amour, champ de plaisir parcouru par la brise de la volupté et par les vents violents des désirs qui narguent les vertiges des instants de coupables abandons.


    Je suis l’amour, lumière de nos regards dont le dialogue efface les mots pour donner naissance au silence dont l’éloquence contemple la profondeur de nos intimes espaces attentifs et ivres d’impatience.


    Tu es mon amour, mon unique richesse qui s’approprie le sens caché des mots et sculpte nos moments de complicité vécus dans le secret des heures qui scrutent les astres pour tenter d’en arrêter la course.

    Tu l’amour qui fait vivre mes brûlantes heures enracinées dans le cœur des aurores dont la lumière fait vibrer mon âme captive du charme de tes espaces inexplorés dont j’espère devenir le seul voyageur qu contemple ses horizons consumés par le feu de notre passion.

    Je suis l’amour qui brille dans les yeux des aubes palpitantes dont le souffle invente les mots qui scintillent dans la profondeur de tes mystères et éclairent l’infinie beauté des instants complices de nos secrets serments.


    Tu es l’amour, chaleur subtile et substance mystérieuse insufflées dans mes soifs de bonheur et qui font naître les fols espoirs qu réconcilient mes yeux avec la lumière d’un regard amoureux et me font oublié la vastitude des exils intérieurs.

    Je suis l’amour, vertige des heures soupirant de satisfaction dont chaque fragment se souvient du visage de l’amour et de ton visage pour s’approprier la racine des paroles qui creuse le sillon de nos connivences et de nos complices moments d’émerveillement.

    Je suis l’amour, éternelle quête de la lumière vivante et vivifiante qui étire les brumes des inconstances et les désarrois des indifférences pour tisser la trame des enchantements de mon cœur qui aime ton cœur et la fascination de mon âme qui brûle pour ton âme.

    Tu es l’amour, compagnon intime des soleils des cœurs aux forces délicates et invincibles qui irradient les espaces des solitudes et les moments de détresse.

    Je suis l’amour attentif à la lumière qui, chaque jour, relève avec force et constance le défi des espaces obscurs dont la persistance fait vaciller nos certitudes et notre confiance dans de nouvelles victoires sur les adversités et sur le désespoir.

    Tu es l’amour, incendie de mon âme, arpentant lentement le cœur des premières heures de ces fabuleux matins, inondés de rosée cristalline qui s’ébrouent et qui recherchent les moments murmurant les silences de la passion, la voix des envoûtements, la chaleur des sentiments partagés et qui contemplent, éblouis, l’aurore de notre avenir qui se dessine à l’horizon.

    Tu es l’amour, source aux eaux frémissantes dont le murmure arrose généreusement ma vie et donne souffle à nos espérances de vivre les doux moments où ta chère présence assouvit ma faim et ma soif d’ivresse.

    Tu es l’amour, pré fleuri où brille langoureusement ton regard qui dessine les lendemains illuminés par le feu du cœur des mots dont le sens nous parle de la splendeur des heures merveilleuses qui s’inclinent devant l’intensité de notre passion.


    Je suis l’amour né dans ton cœur et qui recherche le cœur du monde pour contempler le mystère des astres dont l’éclat efface les mirage des images des lieux et des visages et célèbre les silences de parcelles de temps qui se remplissent des cris de joie et de désir des corps qui s’aiment et s’enlacent.


    Tu es l’amour, fleuve dont les eaux, nées des violents orages des passions, dévalent les pentes de notre vie alors que le soir prend feu aux quatre horizons troublés et vacillants.

    Je suis l’amour, mystérieux sculpteur d’espaces dont l’azur éclaire les chemins vagabonds qui traversent les déserts et abreuvent les heures assoiffées de ta présence qui parle du chant des instants qui murmurent ton nom et apaisent mes turbulences.

    Tu es l’amour, rêve d’une vie qui s’éveille d’un long sommeil et reprend confiance dans une réalité éblouie par le refrain subtile et mélodieux des saisons dont le retour embellie les sentiers menant aux mystères des mots qui enlacent la fascinante course des instants fragiles décontenancés par les nuits d’ivresse.

    Je suis l’amour dont les mots charment les nuits troublantes des remous pleins de plaisirs intenses qui encerclent les sens et tentent de trouver le repos au cœur des silences des désirs assouvis dans une harmonieuse connivence.


    Tu es l’amour flèche indomptable qui fend les espaces des indifférences et berce les sensations d’envoûtement dont la persistance rompt les entraves pour donner accès à la délectable saveur des bonheurs abreuvés des nectars jaillissants de nos deux cœurs avides de jouissances partagées.

  • #2
    Bravo!

    merci pour cette magnifique ôde à l'amour et au nous sublimé.

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