L’idée est attribuée à Samir Chaabna, député de Marseille, sous la bannière du Front El Moustaqbel de l’ex-patron de l’UNJA, Abdelaaziz Belaid. La structuration du projet a relevé du secrétariat d’Etat chargé de la communauté nationale à l’étranger, portefeuille qui a échu à Belkacem Sahli, secrétaire général de l’ANR.
De quoi s’agit-il ? L’organisation d’une croisière Marseille –Alger, à bord du car-ferry Tarek Ibn Ziad, au profit des nationaux démunis établis en Europe et des enfants de troisième génération. A l’embarquement, jeudi, au port de Marseille, il n’y avait que très peu de personnes intégrant cette couche sociale. Samir Chaabna a su être généreux avec ses relations d’outre-mer, en majorité des chefs d’entreprises, des avocats, des artistes. En somme des nantis qui ont voyagé au lieu et place des expatriés précaires. Ces derniers ont embarqué avec véhicule et bagages, ne s’acquittant que de la modique somme symbolique de 10 euros. La générosité de l’Etat ne s’arrête pas là. Ils ont, en sus, droit à une semaine de farniente gratis, au frais du contribuable, à l’hôtel Hilton à Alger. Samir Chaabna, qui travaille à mettre en place une fédération des associations des Algériens résidents en France, a fait embarquer des amis, tous gagnés à son projet. Il reste à savoir si, dans l’histoire, Belkacem Sahli a été dupé ou alors impliqué dans l’entreprise qui vise à recréer la fameuse Amicale des Algériens en France ?
De quoi s’agit-il ? L’organisation d’une croisière Marseille –Alger, à bord du car-ferry Tarek Ibn Ziad, au profit des nationaux démunis établis en Europe et des enfants de troisième génération. A l’embarquement, jeudi, au port de Marseille, il n’y avait que très peu de personnes intégrant cette couche sociale. Samir Chaabna a su être généreux avec ses relations d’outre-mer, en majorité des chefs d’entreprises, des avocats, des artistes. En somme des nantis qui ont voyagé au lieu et place des expatriés précaires. Ces derniers ont embarqué avec véhicule et bagages, ne s’acquittant que de la modique somme symbolique de 10 euros. La générosité de l’Etat ne s’arrête pas là. Ils ont, en sus, droit à une semaine de farniente gratis, au frais du contribuable, à l’hôtel Hilton à Alger. Samir Chaabna, qui travaille à mettre en place une fédération des associations des Algériens résidents en France, a fait embarquer des amis, tous gagnés à son projet. Il reste à savoir si, dans l’histoire, Belkacem Sahli a été dupé ou alors impliqué dans l’entreprise qui vise à recréer la fameuse Amicale des Algériens en France ?
Hamid Guerni
Algerie express
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