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Présidentielle D’Avril 2014 : Le FJD de Djaballah fortement «intéressé»

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  • Présidentielle D’Avril 2014 : Le FJD de Djaballah fortement «intéressé»

    La prochaine présidentielle semble intéresser fortement le Front pour la justice et le développement (FJD). Ne reste que la formule de participation à cette élection à définir à l’issue d’un dialogue interne au parti mais aussi avec la classe politique.

    Et pour cause, le parti de Abdallah Djaballah se dit partant pour cette échéance électorale. Ce que le conseil consultatif du parti a entériné vendredi dernier, lors d'une session ordinaire.
    Reste la formule avec laquelle le Front compte prendre part à ce scrutin : ira-t-il en solo en présentant son propre candidat qui ne saurait être autre que Djaballah ? Appuiera-t-il un candidat issu d’un consensus au sein de la famille islamiste ou celui du camp islamo-nationaliste ?
    Autant d’hypothèses et de pistes que le comité exécutif du Front aura à mettre en débat, d’abord parmi les structures de base du parti avant d’élargir la concertation à l’ensemble de la classe politique nationale. Et ce n’est qu’au bout de ce large débat auquel le conseil consultatif du parti a donné son quitus que la décision finale du Front sera arrêtée et officiellement entérinée lors d’une session extraordinaire de ladite instance en automne prochain. Ce que son président a affirmé hier lors d’une conférence de presse au nouveau siège du parti à Alger.

    L’occasion pour lui d’exprimer sa disponibilité à toute consignation sérieuse et responsable d’avec les forces politiques dont l’objectif, dira-t-il est «de dépasser le multipartisme de façade et de déboucher sur un pluralisme effectif».Aussi, Djaballah réitérera sa revendication de l’application de l’article 88 de la Constitution du pays. Il exhortera qui de droit de se comporter avec responsabilité en l’absence du président de la République et son incapacité à accomplir ses missions en mettant l’intérêt de la nation par-dessus toute autre considération, lui qui considère que «le pouvoir est exercé au nom de Bouteflika».
    Un pouvoir dont la capacité à aller réellement vers la démocratie ne fait pas trop courir le président du FJD, convaincu que les militaires et les laïcs qui s’en sont emparés ne sont pas prêts à lâcher le morceau. Djaballah, répliquant sèchement au secrétaire général du MPA qui, samedi dernier lors d’un meeting à Alger, avait proclamé que le slogan «Qala llahou qalla errasoul» est révolu. «Dites-lui (à Benyounès, ndlr) que c’est lui qui est fini», se contentera-t-il d’affirmer.

    Et de s’interroger : «Depuis quand un coup d’Etat protège la démocratie ?», faisant le parallèle entre le renversement en Égypte de Mohamed Morsi et l’interruption du processus électoral de décembre 1991 dans le pays.

    Mohamed Kebci - Alger (Le Soir)

  • #2
    Reellement les islamistes ont leurs chances, par ce que partout dans le monde arabe ils sont soutenus par les anglo saxons et les saoudo qataris
    Pfff, mais j'espere que ça réussira pas en Algerie, on est contre le khilafat islamiste

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    • #3
      [QUOTEAbdallah Djaballah][/QUOTE]

      il n'a aucune assise le djaballah
      ni les autres petits partis islamique
      genre rebeai et les autres.

      le seul parti islamique qui a du monde
      c'est le parti de bouguerra
      composé affairistes et ceux là, on
      les a vu à l'œuvre au gouvernement

      quant à se considérer musulman plus
      que les autres et vouloir gouverner
      par la charia, c'est bien
      accepter le quota que lui assigne "qui de droit"( comme il déclare)
      au parlement, c'est pas bien.
      c'est mon opinion et rien ne m'empêche d'être du même avis qu'elle.

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