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Dans une capitale qui manque cruellement d’infrastructures de loisirs et de détente, le retour du cirque Italien Il Florilegio est une bonne nouvelle pour les habitants d’Alger. Les soirées de Ramadhan promettent d’être animées sous le chapiteau, avant le départ pour une tournée dans plusieurs wilayas du pays.
Après une année d’absence, Il Florilegio replante son chapiteau à Alger. Contrairement aux tournées précédentes, le cirque a débarqué au début de ce mois de juillet sans tambours ni trompettes. Mais à peine l’immense chapiteau installé dans le parking du centre commercial Ardis, dans la commune de Mohammadia, que les guichets sont pris d’assaut par des centaines de visiteurs. Le choix du site a été soigneusement étudié : une visibilité directe sur l’autoroute, un centre commercial à fort taux de fréquentation du public et en prime, un immense parking gratuit pour les automobilistes. Pour les deux premiers jours du spectacle, les vendredi 5 et samedi 6 juillet, le bouche à oreille a fait un excellent travail : les tribunes du cirque affichaient déjà « complet » !
Le cirque Amar ressuscité
Installé pour la première fois en Algérie en 2004 sous le label « Cirque Amar », une entreprise de droit algérien du nom du célèbre propriétaire du premier cirque algérien originaire de Bordj Bou Arreridj, Il Florilegio a vite été adopté par le public qui s’est identifié à ce personnage légendaire. « Les Algériens nous considèrent comme les leurs car le cirque Amar reste une légende dans le pays même s’il a disparu depuis des décennies», nous confie Widyane Rahmoune, la responsable des relations publiques d’Il Florilegio. Le cirque, propriété de la famille italienne Togni, a été le premier à avoir effectué une tournée en Algérie depuis une trentaine d’années. C’est aussi, pour les pouvoirs publics, le symbole d’un retour à la paix après la terrible décennie noire d’où le soutien sans faille du ministère de la Culture à travers un parrainage officiel qui facilite l’obtention des autorisations nécessaires et le déplacement sans difficultés de la caravane à l’intérieur du pays.
Une ménagerie bien fournie
L’immense chapiteau supporté par 4 mats a une capacité de 1500 places réparties en trois catégories tarifaires : 1500 DA pour les premières loges, 1200 DA pour les places située au milieu de la tribune et 900 DA pour les "petites" bourses. L’entrée est gratuite pour les enfants de…moins de 1 mètre ! Il Florilegio, c'est aussi « un petit village » où cohabitent une cinquantaine de personnes de 11 nationalités différentes, dont une dizaine d’algériens qui font partie du voyage dans chacune des pérégrinations du cirque à travers le monde. Pour un cirque de taille moyenne, la ménagerie est plutôt bien fournie : des lions, des tigres, un hippopotame, une otarie, des crocodiles, des pitons et des poneys qui s’offrent allègrement en spectacle, sous les chauds applaudissements de spectateurs émerveillés. Deux séances sont programmées quotidiennement (16h00 et 19h00) pour 2 heures de spectacles à couper le souffle où dompteurs, funambules, acrobates et cascadeurs redoublent de prouesses pour le plus grand bonheur des grands et des petits.
Maghreb emergent
Après une année d’absence, Il Florilegio replante son chapiteau à Alger. Contrairement aux tournées précédentes, le cirque a débarqué au début de ce mois de juillet sans tambours ni trompettes. Mais à peine l’immense chapiteau installé dans le parking du centre commercial Ardis, dans la commune de Mohammadia, que les guichets sont pris d’assaut par des centaines de visiteurs. Le choix du site a été soigneusement étudié : une visibilité directe sur l’autoroute, un centre commercial à fort taux de fréquentation du public et en prime, un immense parking gratuit pour les automobilistes. Pour les deux premiers jours du spectacle, les vendredi 5 et samedi 6 juillet, le bouche à oreille a fait un excellent travail : les tribunes du cirque affichaient déjà « complet » !
Le cirque Amar ressuscité
Installé pour la première fois en Algérie en 2004 sous le label « Cirque Amar », une entreprise de droit algérien du nom du célèbre propriétaire du premier cirque algérien originaire de Bordj Bou Arreridj, Il Florilegio a vite été adopté par le public qui s’est identifié à ce personnage légendaire. « Les Algériens nous considèrent comme les leurs car le cirque Amar reste une légende dans le pays même s’il a disparu depuis des décennies», nous confie Widyane Rahmoune, la responsable des relations publiques d’Il Florilegio. Le cirque, propriété de la famille italienne Togni, a été le premier à avoir effectué une tournée en Algérie depuis une trentaine d’années. C’est aussi, pour les pouvoirs publics, le symbole d’un retour à la paix après la terrible décennie noire d’où le soutien sans faille du ministère de la Culture à travers un parrainage officiel qui facilite l’obtention des autorisations nécessaires et le déplacement sans difficultés de la caravane à l’intérieur du pays.
Une ménagerie bien fournie
L’immense chapiteau supporté par 4 mats a une capacité de 1500 places réparties en trois catégories tarifaires : 1500 DA pour les premières loges, 1200 DA pour les places située au milieu de la tribune et 900 DA pour les "petites" bourses. L’entrée est gratuite pour les enfants de…moins de 1 mètre ! Il Florilegio, c'est aussi « un petit village » où cohabitent une cinquantaine de personnes de 11 nationalités différentes, dont une dizaine d’algériens qui font partie du voyage dans chacune des pérégrinations du cirque à travers le monde. Pour un cirque de taille moyenne, la ménagerie est plutôt bien fournie : des lions, des tigres, un hippopotame, une otarie, des crocodiles, des pitons et des poneys qui s’offrent allègrement en spectacle, sous les chauds applaudissements de spectateurs émerveillés. Deux séances sont programmées quotidiennement (16h00 et 19h00) pour 2 heures de spectacles à couper le souffle où dompteurs, funambules, acrobates et cascadeurs redoublent de prouesses pour le plus grand bonheur des grands et des petits.
Maghreb emergent
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