Séjournant toujours à Paris depuis son hospitalisation le 27 avril dernier, le président Abdelaziz Bouteflika (76 ans) a semble-t-il piqué une colère noire qui aurait failli lui causer une crise cardiaque le jeudi passé après que son premier ministre Abdelmalek Sellal lui ait proposé de quitter son poste de président pour cause de maladie.
Selon une journaliste de l'APS qui a requis l'anonymat de peur d'être éliminée par le DRS, Bouteflika aurait répondu à Sellal sur un ton grave et brutal: "Qui es-tu pour me conseiller de quitter ma fonction divine? T'étais encore en train de téter quand j'étais ministre de la jeunesse! Je suis président de l'Algérie et je le resterais à vie. C'est Allah lui même qui m'a confié la présidence à vie de l'Algérie. Personne ne m'éloignera du Palais d'El-Mouradia. J'y suis, j'y reste et j'y mourrais en tant que Roi d'Algérie!"
Sévèrement affaibli par ses cris contre Sellal, Bouteflika a ensuite repris son souffle avant de rappeler à Sellal sa place dans la hiérarchie du pouvoir algérien en lui disant: "Qu'attends-tu pour m'apporter mon thé, fiston?"
Selon une journaliste de l'APS qui a requis l'anonymat de peur d'être éliminée par le DRS, Bouteflika aurait répondu à Sellal sur un ton grave et brutal: "Qui es-tu pour me conseiller de quitter ma fonction divine? T'étais encore en train de téter quand j'étais ministre de la jeunesse! Je suis président de l'Algérie et je le resterais à vie. C'est Allah lui même qui m'a confié la présidence à vie de l'Algérie. Personne ne m'éloignera du Palais d'El-Mouradia. J'y suis, j'y reste et j'y mourrais en tant que Roi d'Algérie!"
Sévèrement affaibli par ses cris contre Sellal, Bouteflika a ensuite repris son souffle avant de rappeler à Sellal sa place dans la hiérarchie du pouvoir algérien en lui disant: "Qu'attends-tu pour m'apporter mon thé, fiston?"
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