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Poesie Hawzi

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  • Poesie Hawzi

    La flamme de mon cœur s’est embrasée
    (Naar Walfi, cha3lat wa gdat)

    La flamme pour ma bien-aimée m’a embrasée
    Comment éteindre le feu qui consume l’amoureux
    L’amour de la belle,ô mes amis me détruit
    Nul autre mal ne lui est comparable
    O mon dieu, ô mes yeux ! Ô mes amis
    Pourrais-je enfin, voir la chevelure de ‘Aicha ?
    O mes amis le messager de ‘Aicha tarde à venir
    L’amour que j’ai pour elle me possède
    Une flamme s’est embrasée en mon cœur
    Les proches de ‘Aicha me haïssent
    Alors que je n’ai fait de tort à personne
    Je n’ai aucun ami pour m’accompagner
    Auprès de la belle aux yeux noirs
    Ni messager pour plaider ma cause et me soutenir
    En se rendant auprès de la toute belle
    Pour me parler d’elle au retour
    J’aimerais que ce messager soit courtois, aimable, fin et noble
    Un ami qui viendrait à mon secours, un ami sans pareil
    O mon dieu, ô mes yeux ! Ô mes amis
    Pourrais-je enfin, voir la chevelure de ‘Aicha ?
    Ce messager pourquoi tarde-t-il
    Ou donc s’est il volatilisé
    Mon esprit est tourmenté, je demeure consterné
    Ma gazelle reste invisible, Aicha aux cheveux noirs
    L’amour vient en moi en fanfare, j’en fus foudroyé
    Il a terrassé mon être
    J’étais dans sa ligne de mire, sans échappatoire
    L’amour de la belle, ô mes amis me détruit :
    Nul autre mal ne lui est comparable
    O mon dieu, ô mes yeux ! Ô mes amis
    Pourrais-je enfin, voir la chevelure de ‘Aicha ?
    La grâce m’est apparue quand je l’ai vue
    Magnifiée par des joues et une bouche parfaites
    Qu’illuminent les yeux de jais
    Le corps d’une blancheur immaculée
    Les bras d’une beauté incomparable
    Parée d’une coiffe qui amplifia ma souffrance
    Portée à dessein pour accroître ma douleur et mes tourments
    Et couronnant des tresses ondulantes sur sa poitrine
    Le poignet orné d’un bracelet, ô frères
    Les jambes couleur de lait, embellis d’anneaux
    O mon dieu, ô mes yeux ! Ô mes amis
    Pourrais-je enfin, voir la chevelure de ‘Aicha ?
    Viendrait-il un jour l’intercesseur, de la part de la belle
    Qui m’écouterais avec attention ?
    Jusqu’à ce que l’être aimé retourne à moi ?
    Je croyais mes amis loyaux, moi qui n’ai jamais trahi
    Si tu crains les envieux, sache que je leur ferai face
    Fussent-ils dix
    Je les affronterais tous
    J’affronterais quiconque viendra me chercher
    Ils savent que les amoureux sont chevaleresques
    Sans vantardise et sans prétention, je déclare :
    Que la beauté aime quiconque ressemble à moi
    O mon dieu, ô mes yeux ! Ô mes amis
    Pourrais-je enfin, voir la chevelure de ‘Aicha ?

    Mohammed Ibn M’Saib
    (Traduction DIB Souheil)
    On a vu souvent, rejaillir le feu, d'un ancien volcan, qu'on croyait trop vieux

  • #2
    D'abord je tiens à te souhaiter la bienvenue sur FA, zalbouni, et aussi te remercier pour ce beau poème!
    Pourrais-tu stp poster les paroles en arabe? Merci!
    Tu connaitras le bonheur si ton existence s'inscrit dans les limites de la volonté de Dieu.

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