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Des produits sensibles destinés à des consommateurs toujours prêts à les prendre sans aucune conscience du risque qu’ils représentent sur leur santé, sont exposés à l’air libre sur la voie publique.
Ce type de commerce, devenu légion, est loin d’éveiller la conscience des différents services impliqués dans la mise en application des textes régissant le respect des normes d’hygiène alimentaire. «C’est le consommateur lui-même qui est en grande partie responsable de ce risque, car s’il s’abstient d’acheter ces produits, ces vendeurs ne reviendront plus jamais exposer ces aliments sur le trottoir», s’offusquent certains citoyens aux alentours d’un marché. Dans la ville de Jijel ou ailleurs, dans les grands marchés, les mêmes réflexes sont là pour rappeler qu’on est encore loin du respect des normes de la chaîne de froid.
A longueur de journée, de la volaille abattue dans des conditions douteuses est exposée, comme c’est le cas, à l’entrée du marché de proximité de la cité Boulatika dans la ville d’El Milia, à l’air libre sans aucune protection. «Le comble c’est qu’il y a toujours des acheteurs», s’indigne-t-on. Cette pratique ne concerne pas seulement le poulet, puisqu’elle s’étend jusqu’à d’autres produits, notamment la sardine qui reste exposée dans les mêmes conditions sur les trottoirs durant toute la journée.
Zouikri A.- El Watan
Ce type de commerce, devenu légion, est loin d’éveiller la conscience des différents services impliqués dans la mise en application des textes régissant le respect des normes d’hygiène alimentaire. «C’est le consommateur lui-même qui est en grande partie responsable de ce risque, car s’il s’abstient d’acheter ces produits, ces vendeurs ne reviendront plus jamais exposer ces aliments sur le trottoir», s’offusquent certains citoyens aux alentours d’un marché. Dans la ville de Jijel ou ailleurs, dans les grands marchés, les mêmes réflexes sont là pour rappeler qu’on est encore loin du respect des normes de la chaîne de froid.
A longueur de journée, de la volaille abattue dans des conditions douteuses est exposée, comme c’est le cas, à l’entrée du marché de proximité de la cité Boulatika dans la ville d’El Milia, à l’air libre sans aucune protection. «Le comble c’est qu’il y a toujours des acheteurs», s’indigne-t-on. Cette pratique ne concerne pas seulement le poulet, puisqu’elle s’étend jusqu’à d’autres produits, notamment la sardine qui reste exposée dans les mêmes conditions sur les trottoirs durant toute la journée.
Zouikri A.- El Watan