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Le village d’Imzizou, dans la commune de Fréha vit ces derniers jours au rythme d’un bras de fer qui ne dit pas son nom, entre les villageois et l’imam du village. Celui-ci qui a été déclaré persona non gratta depuis près d’une semaine par l’assemblée générale tenue vendredi dernier, tente de se maintenir sur place contre vent et marré. Tout comme l’autre imam d’ailleurs.
Il se trouve en fait que le paisible village d’Imzizou avait jusque là, deux imams. L’un officiait à l’ancienne mosquée et l’autre à la nouvelle. Les deux imams ont été par ailleurs affectés presque à la même période puisque l’ancienne mosquée était restée jusque-là longtemps auparavant sans imam.
On lui a affecté alors un presque au même moment qu’on l’a fait pour la toute nouvelle. Les deux imams s’étaient mis alors à cohabiter pour ainsi dire.
Sauf qu’un malaise couvait au sein de la localité avant que tout n’éclate au grand jour la semaine écoulée.
Le décès d’un des villageois a été la goutte qui a fait déborder le vase.
Les deux imams, visiblement des salafistes, ont refusé de tenir le rituel de la veillée funèbre, arguant que c’est là un rituel « la yadjouz ».
Les villageois ont fait appel alors à un Imam d’un village voisin. L’enterrement passé, les villageois ont alors manifesté leur détermination à renvoyer ses deux imams.
Sit-in aujourd’hui devant la mairie
Le comité du village a organisé une assemblée générale lors de laquelle il a était décidé la départ des deux imams. Un délai de 7 jours a été donné dès lors aux deux « indésirables ». L’un des deux, à savoir l’imam de la nouvelle mosquée à embarqué le lendemain, mais l’autre tient toujours tête aux villageois qui se reservent pour le moment à utiliser la force. « Je ne partirais pas d’ici même avec des chars » aurait déclaré l’imam en question aux villageois.
Le comité de village a multiplié les démarches en saisissant les responsables et les services de sécurité, mais en vain. Le comité de village qui dit décliné tout responsabilité après l’expiration de l’ultimatum a appelé à un rassemblement devant le siège de l’APC de Fréha aujourd’hui, afin d’interpeller une fois de plus les concernés à la veille de la date butoir de l’ultimatum. Le comité et les sages du village craignent le pire devant ce qu’ils appellent « l’irresponsabilité » de l’imam qui fait selon eux dans la provocation.
« C’est nous qui retenons les villageois de ne pas utiliser la force pour le faire sortir », explique un membre du comité du village, estimant que dépasser l’ultimatum, le comité ne plus retenir la population .
M.O.B. La dépêche de kabylie
Il se trouve en fait que le paisible village d’Imzizou avait jusque là, deux imams. L’un officiait à l’ancienne mosquée et l’autre à la nouvelle. Les deux imams ont été par ailleurs affectés presque à la même période puisque l’ancienne mosquée était restée jusque-là longtemps auparavant sans imam.
On lui a affecté alors un presque au même moment qu’on l’a fait pour la toute nouvelle. Les deux imams s’étaient mis alors à cohabiter pour ainsi dire.
Sauf qu’un malaise couvait au sein de la localité avant que tout n’éclate au grand jour la semaine écoulée.
Le décès d’un des villageois a été la goutte qui a fait déborder le vase.
Les deux imams, visiblement des salafistes, ont refusé de tenir le rituel de la veillée funèbre, arguant que c’est là un rituel « la yadjouz ».
Les villageois ont fait appel alors à un Imam d’un village voisin. L’enterrement passé, les villageois ont alors manifesté leur détermination à renvoyer ses deux imams.
Sit-in aujourd’hui devant la mairie
Le comité du village a organisé une assemblée générale lors de laquelle il a était décidé la départ des deux imams. Un délai de 7 jours a été donné dès lors aux deux « indésirables ». L’un des deux, à savoir l’imam de la nouvelle mosquée à embarqué le lendemain, mais l’autre tient toujours tête aux villageois qui se reservent pour le moment à utiliser la force. « Je ne partirais pas d’ici même avec des chars » aurait déclaré l’imam en question aux villageois.
Le comité de village a multiplié les démarches en saisissant les responsables et les services de sécurité, mais en vain. Le comité de village qui dit décliné tout responsabilité après l’expiration de l’ultimatum a appelé à un rassemblement devant le siège de l’APC de Fréha aujourd’hui, afin d’interpeller une fois de plus les concernés à la veille de la date butoir de l’ultimatum. Le comité et les sages du village craignent le pire devant ce qu’ils appellent « l’irresponsabilité » de l’imam qui fait selon eux dans la provocation.
« C’est nous qui retenons les villageois de ne pas utiliser la force pour le faire sortir », explique un membre du comité du village, estimant que dépasser l’ultimatum, le comité ne plus retenir la population .
M.O.B. La dépêche de kabylie