Algérie mon pays
Entre ta mer et ses flots azur,
Aux rivages vêtus de pins et d'oliviers,
Et le doux palmier dans le chaud murmure,
de ton infini désert que domptent tes chameliers,
Mon amour te couvre sans aucune rupture.
Je t'aime à en mourir
Je te chante avant toute lettre,
Les écrits étant dessins de grotte,
Que l'homme de sa main de prêtre,
Conjurait la peur à l'ocre de la révolte,
Dans le graffiti d'une chasse agreste
Je t'aime à en mourir
Je te chante des cimes de tes monts,
Sonnant le glas de tes ennemis cupides,
Leur sang sèche sous l'ardeur de tes vents,
Lavé dans les crues de ta pluie numide,
Dans les méandres de l'histoire du temps.
Je t'aime à en mourir
Les voix du Djurjura me séduisent toujours,
Portées au loin par la chevelure du chêne zen,
Le ney pleure la belle Nedjma éclat d'un amour,
L’écho des oasis répond dans une brise pleine,
En harmonie au rythme des mains sur tambour.
Je t'aime à en mourir
J'aime le tatouage de nos grand-mères,
Arabesque verte d'une dignité sans faille,
Donnant vie à des éperviers au regard sévère,
tissant le courage en points serrés de maille,
Djamila Bouhired en est l'icone qu'on vénère,
Je t'aime à en mourir
Je vois ta steppe frémir au printemps,
Une gazelle broutant allègre l'armoise,
Le troupeau s'en va au soleil levant,
Sous le chant de l'alouette en teinte d'ardoise,
Un sloughi le suit le museau au vent;
Je t'aime à en mourir
Je t'aime dans la prière des parents,
Le muezzin la répète au souffle des minarets,
La fraternité est le credo de tes rangs,
La générosité en est le fruit de tes vergers,
Algérie tu es et restes le secret de mon étant.
Je t'aime à en mourir
BEGHDAD MEBKHOUT
J'ai lu ; aimé , je partage
M.G...
Entre ta mer et ses flots azur,
Aux rivages vêtus de pins et d'oliviers,
Et le doux palmier dans le chaud murmure,
de ton infini désert que domptent tes chameliers,
Mon amour te couvre sans aucune rupture.
Je t'aime à en mourir
Je te chante avant toute lettre,
Les écrits étant dessins de grotte,
Que l'homme de sa main de prêtre,
Conjurait la peur à l'ocre de la révolte,
Dans le graffiti d'une chasse agreste
Je t'aime à en mourir
Je te chante des cimes de tes monts,
Sonnant le glas de tes ennemis cupides,
Leur sang sèche sous l'ardeur de tes vents,
Lavé dans les crues de ta pluie numide,
Dans les méandres de l'histoire du temps.
Je t'aime à en mourir
Les voix du Djurjura me séduisent toujours,
Portées au loin par la chevelure du chêne zen,
Le ney pleure la belle Nedjma éclat d'un amour,
L’écho des oasis répond dans une brise pleine,
En harmonie au rythme des mains sur tambour.
Je t'aime à en mourir
J'aime le tatouage de nos grand-mères,
Arabesque verte d'une dignité sans faille,
Donnant vie à des éperviers au regard sévère,
tissant le courage en points serrés de maille,
Djamila Bouhired en est l'icone qu'on vénère,
Je t'aime à en mourir
Je vois ta steppe frémir au printemps,
Une gazelle broutant allègre l'armoise,
Le troupeau s'en va au soleil levant,
Sous le chant de l'alouette en teinte d'ardoise,
Un sloughi le suit le museau au vent;
Je t'aime à en mourir
Je t'aime dans la prière des parents,
Le muezzin la répète au souffle des minarets,
La fraternité est le credo de tes rangs,
La générosité en est le fruit de tes vergers,
Algérie tu es et restes le secret de mon étant.
Je t'aime à en mourir
BEGHDAD MEBKHOUT
J'ai lu ; aimé , je partage
M.G...