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Le Real Madrid, locomotive avec le FC Barcelone d'un football de club espagnol qui flirte souvent avec la ligne rouge, ne craint pas de donner des leçons en matière de gestion financière. A l'image de son président Florentino Pérez qui, dans un entretien accordé au quotidien colombien Gol Caracol, n'hésite pas à pointer du doigt ces clubs, dont l'ascension récente repose avant tout sur les investissements de riches actionnaires, tels que le PSG ou l'AS Monaco.
"La différence entre mon club et Monaco, c’est que le Real ne dépense pas plus que ce qu’il ne gagne, conformément au fair-play financier (imposé par Michel Platini, le président de l’UEFA, ndlr), a ainsi déclaré Pérez. Aujourd’hui, des étrangers, qui ont beaucoup d’argent, investissent dans des clubs et montent des équipes comme Chelsea, Manchester City ou le PSG. C’est une forme de concurrence déloyale."
Une manière d'oublier un peu vite que le Real, s'il repose sur une histoire et un palmarès inégalés, n'a dans le passé pas craint, sûr de ses ressources, pour assumer sa réputation et son standing, notamment à l'époque des fameux Galactiques, recrutés à prix d'or, d'enregistrer des taux d'endettement record.
source : sports
"La différence entre mon club et Monaco, c’est que le Real ne dépense pas plus que ce qu’il ne gagne, conformément au fair-play financier (imposé par Michel Platini, le président de l’UEFA, ndlr), a ainsi déclaré Pérez. Aujourd’hui, des étrangers, qui ont beaucoup d’argent, investissent dans des clubs et montent des équipes comme Chelsea, Manchester City ou le PSG. C’est une forme de concurrence déloyale."
Une manière d'oublier un peu vite que le Real, s'il repose sur une histoire et un palmarès inégalés, n'a dans le passé pas craint, sûr de ses ressources, pour assumer sa réputation et son standing, notamment à l'époque des fameux Galactiques, recrutés à prix d'or, d'enregistrer des taux d'endettement record.
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