Tweet
Le cabinet Bredin Prat nous écrit
TSA - Par Anne-Laure Julien*
Vous avez publié sur votre site Internet, le mardi 9 juillet 2013, sous le titre « Scandale de corruption Sonatrach 2 : deux cabinets d’avocats étrangers visés par des enquêtes en Algérie », des informations selon lesquelles « de source judiciaire, les enquêteurs algériens » s’intéresseraient « aux marchés passés »
par notre Cabinet avec la société Sonatrach ajoutant qu’ un « juge d’instruction » aurait « réclamé tous les documents relatifs aux contrats conclus dans les dix dernières années, entre Sonatrach » et notre Cabinet.
Vous avez ajouté que « Toujours selon cette source judiciaire, le cabinet français Bredin Prat et [un autre cabinet d’avocats] ont fourni l’ensemble des documents exigés ».
Enfin, vous avez rattaché ces allégations à « une affaire de corruption » afférente à Sonatrach.
Les informations concernant notre cabinet sont mensongères et calomnieuses. Nous déplorons que vous vous en soyez fait le relais sans nous contacter ou sans contacter la société Sonatrach pour en vérifier la véracité.
Si vous l’aviez fait, vous n’auriez pas manqué d’apprendre qu’aucun juge d’instruction algérien (ni d’aucun autre pays), ni une quelconque autorité, ne nous a jamais contactés à propos de nos relations avec la société Sonatrach. A plus forte raison, aucune communication de document ne nous a été requise, et n’est donc intervenue.
Dans ces conditions, nous vous demandons de bien vouloir cesser immédiatement la mise en ligne de ces informations mensongères et de publier le démenti formel que nous apportons aux calomnies qui sont ainsi répandues sur notre compte.
Nous réservons tous nos droits suite à votre publication de ce jour.
Anne-Laure Julien* : responsable de la Communication et du Marketing
TSA - Par Anne-Laure Julien*
Vous avez publié sur votre site Internet, le mardi 9 juillet 2013, sous le titre « Scandale de corruption Sonatrach 2 : deux cabinets d’avocats étrangers visés par des enquêtes en Algérie », des informations selon lesquelles « de source judiciaire, les enquêteurs algériens » s’intéresseraient « aux marchés passés »
par notre Cabinet avec la société Sonatrach ajoutant qu’ un « juge d’instruction » aurait « réclamé tous les documents relatifs aux contrats conclus dans les dix dernières années, entre Sonatrach » et notre Cabinet.
Vous avez ajouté que « Toujours selon cette source judiciaire, le cabinet français Bredin Prat et [un autre cabinet d’avocats] ont fourni l’ensemble des documents exigés ».
Enfin, vous avez rattaché ces allégations à « une affaire de corruption » afférente à Sonatrach.
Les informations concernant notre cabinet sont mensongères et calomnieuses. Nous déplorons que vous vous en soyez fait le relais sans nous contacter ou sans contacter la société Sonatrach pour en vérifier la véracité.
Si vous l’aviez fait, vous n’auriez pas manqué d’apprendre qu’aucun juge d’instruction algérien (ni d’aucun autre pays), ni une quelconque autorité, ne nous a jamais contactés à propos de nos relations avec la société Sonatrach. A plus forte raison, aucune communication de document ne nous a été requise, et n’est donc intervenue.
Dans ces conditions, nous vous demandons de bien vouloir cesser immédiatement la mise en ligne de ces informations mensongères et de publier le démenti formel que nous apportons aux calomnies qui sont ainsi répandues sur notre compte.
Nous réservons tous nos droits suite à votre publication de ce jour.
Anne-Laure Julien* : responsable de la Communication et du Marketing
Commentaire