Les services de renseignements algériens et leurs homologues russes seraient à l’origine du revirement américain dans le soutien aux dirigeants islamistes du Qatar et de l’Egypte ainsi que dans les pays qui ont connu des événements du printemps arabe.
En effet, le président des Etats-Unis, Barack Obama avait décidé de se débarrasser des deux responsables qataris, Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim, en mai dernier eu égard aux documents très compromettants pour lui, que les services russes –avec l’aide des services algériens- ont fait parvenir à quelques Sénateurs américains et à des journalistes du Washington Post et du New York Times.
Selon Tunisie-Secret qui révèle ces informations ce lundi sur son site web, l’affaire devait être étouffée n’eut été la détermination du Sénateur James Inhofe, qui avait réussi à convaincre un grand nombre de ses collègues républicains.
Les convaincre que cette foi-ci, la procédure de destitution (impeachment) contre Obama doit aller jusqu’au bout, compte tenu des faits qui lui sont reprochés et sur lesquels il va devoir s’expliquer devant le Sénat.
L’attaque d’Al-Qaïda contre l’ambassade US à Benghazi
Dès le début du mois de mai dernier, James Inhofe avait persuadé bon nombre de ses collègues Sénateurs d’entamer une procédure d’Impeachment contre Obama, accusé d’avoir dissimulé aux américains la vérité sur l’attaque contre l’ambassade des Etats-Unis à Benghazi, lors de laquelle l’ambassadeur Chris Stevens a été violé et exécuté.
La tentative de dissimuler certaines vérités sur l’attaque de Benghazi par la Maison Blanche est qualifié de “mensonge d’Etat le plus flagrant de l’histoire américaine”.
Mais l’initiative des sénateurs visant à destituer le président a tourné en “comité spécial d’enquête du Sénat” sur l’affaire Benghazi et plus exactement sur le rapport de la CIA qui a été retouché par l’administration Obama, dissimulant ainsi des vérités que l’opinion publique américaines devait connaitre. Le rôle du Sénateur de l’Arizona John McCain a été déterminant dans cette tournure des événements.
Toujours selon la même source, les douze versions du rapport de la CIA obtenues par le journaliste Jonathan Karl de la Chaine ABC prouvent bien que les termes “terrorisme”et “Al-Qaïda” ont été volontairement supprimés de la version initiale, et que la version finale du rapport s’est évertuée à présenter l’attaque de l’ambassade américaine à Benghazi comme l’action spontanée de quelques “têtes fêlées”, offensées par une vidéo parodiant le prophète Mohamed, et non une attaque terroriste planifiée par Al-Qaïda, qui voulait commémorer l’anniversaire de l’agression terroriste sur les Tours Jumelles de New York. Ces révélations sont en contradiction directe avec la version relayée par Jay Carney, le porte-parole de la Maison Blanche.
D’ailleurs un mémorandum fuité le 2 mai 2013 et obtenu par Jonathan Karl cite la porte-parole du Département d’Etat Victoria Nuland, demandant à ses collaborateurs d’éviter de mentionner que la CIA avait prévenu le Département d’Etat d’une éventuelle attaque terroriste à l’anniversaire du 11 septembre, dans la mesure où cela pourrait apporter de l’eau au moulin des Républicains pour leurs critiques de la politique internationale d’Obama.
Le refus de Barack Obama, pendant plus de deux semaines, de qualifier l’agression de Benghazi “d’attaque terroriste” a conduit plusieurs observateurs à supputer que la demande de Victoria Nuland d’éviter de parler de terrorisme remonte à Obama en personne.
Ces révélations ont amené le député de Floride, Ted Yoho, a déposer une proposition de loi le 26 juin dernier, pour interdire à toute agence ou institution américaine, l’allocation de fonds en vue de fournir une assistance militaire aux forces dites d’opposition en Syrie.
S’exprimant devant la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, Yoho a réitéré ce qu’il avait dit à l’origine : “Quiconque pense qu’armer l’opposition rebelle en Syrie est une bonne idée devrait apprendre les leçons du passé. Les mêmes politiques ont créé des monstres en Irak, Afghanistan et ailleurs dans le monde. L’opposition syrienne est un mélange de groupes comme les Frères musulmans de Syrie et autres organisations qui ont fait allégeance à Al Qaïda”.
Al-Qaïda, une succursale des services qataris
Les relations entre Al-Qaïda et le Qatar remontent à des années. Outre le soutien financier à cette organisation terroriste apporté par des hommes d’affaires qataris proches de Hamad Ben Jassim, ainsi que par des associations dites caritatives, Al-Jazeera est devenue le principal relai médiatique de “cheikh Ben Laden”, comme l’appellent les présentateurs de cette chaîne islamo-terroriste.
Tous les services occidentaux étaient au courant de cette collaboration étroite entre l’oligarchie mafieuse et l’organisation terroriste…jusqu’au jour où cette relation est devenue trop flagrante pour pouvoir continuer.
En dépit du fait qu’Obama avait encore besoin des services d’Al-Qaïda en Syrie, en Irak et au Maghreb, ainsi que des très précieuses relations entre cette ” ONG ” de Ben Laden et Qatar Charity, le président américain a saisi la gravité de l’affaire en se débarrassant rapidement de ses deux complices et valets devenus trop encombrants : Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim.
Sans toutefois prévenir François Hollande, ce qui aurait évité à celui-ci de se rendre à Doha 24h avant l’éviction officielle des deux Hamad.
Obama a changé les deux têtes du pouvoir au Qatar pour que le président de la première démocratie du monde ne soit pas accusé à son tour de soutien au terrorisme, notamment celui d’Al-Qaïda, supposée être l’ennemi numéro1 des Etats-Unis et du monde entier.
Barack Obama savait très bien que Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim finançaient les Frères musulmans, Al-Qaïda et d’autres groupes terroristes, mais tant que cela servait les intérêts stratégiques de l’Empire, il a laissé faire ses valets.
Si cette collaboration étroite entre le Qatar et Al-Qaïda était encore floue en Tunisie, au moment des événements de janvier 2011, elle est devenue parfaitement claire en Libye, ensuite en Syrie. C’est d’ailleurs pour cette raison que les Français ont décidé de faire le grand nettoyage au Mali.
Les premières mesures prises par cheikh Tamim prouvent a posteriori les raisons pour lesquelles son père a été éjecté : expulsion immédiate de Khaled Mechaal et d’autres dirigeants du Hamas qui vivaient à Doha après avoir longtemps profité de la générosité syrienne, fermeture de la représentation “diplomatique” des Talibans à Doha, humiliation et expulsion de Youssef Qaradaoui, neutralité apparente dans les affaires intérieures égyptiennes…
En effet, le président des Etats-Unis, Barack Obama avait décidé de se débarrasser des deux responsables qataris, Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim, en mai dernier eu égard aux documents très compromettants pour lui, que les services russes –avec l’aide des services algériens- ont fait parvenir à quelques Sénateurs américains et à des journalistes du Washington Post et du New York Times.
Selon Tunisie-Secret qui révèle ces informations ce lundi sur son site web, l’affaire devait être étouffée n’eut été la détermination du Sénateur James Inhofe, qui avait réussi à convaincre un grand nombre de ses collègues républicains.
Les convaincre que cette foi-ci, la procédure de destitution (impeachment) contre Obama doit aller jusqu’au bout, compte tenu des faits qui lui sont reprochés et sur lesquels il va devoir s’expliquer devant le Sénat.
L’attaque d’Al-Qaïda contre l’ambassade US à Benghazi
Dès le début du mois de mai dernier, James Inhofe avait persuadé bon nombre de ses collègues Sénateurs d’entamer une procédure d’Impeachment contre Obama, accusé d’avoir dissimulé aux américains la vérité sur l’attaque contre l’ambassade des Etats-Unis à Benghazi, lors de laquelle l’ambassadeur Chris Stevens a été violé et exécuté.
La tentative de dissimuler certaines vérités sur l’attaque de Benghazi par la Maison Blanche est qualifié de “mensonge d’Etat le plus flagrant de l’histoire américaine”.
Mais l’initiative des sénateurs visant à destituer le président a tourné en “comité spécial d’enquête du Sénat” sur l’affaire Benghazi et plus exactement sur le rapport de la CIA qui a été retouché par l’administration Obama, dissimulant ainsi des vérités que l’opinion publique américaines devait connaitre. Le rôle du Sénateur de l’Arizona John McCain a été déterminant dans cette tournure des événements.
Toujours selon la même source, les douze versions du rapport de la CIA obtenues par le journaliste Jonathan Karl de la Chaine ABC prouvent bien que les termes “terrorisme”et “Al-Qaïda” ont été volontairement supprimés de la version initiale, et que la version finale du rapport s’est évertuée à présenter l’attaque de l’ambassade américaine à Benghazi comme l’action spontanée de quelques “têtes fêlées”, offensées par une vidéo parodiant le prophète Mohamed, et non une attaque terroriste planifiée par Al-Qaïda, qui voulait commémorer l’anniversaire de l’agression terroriste sur les Tours Jumelles de New York. Ces révélations sont en contradiction directe avec la version relayée par Jay Carney, le porte-parole de la Maison Blanche.
D’ailleurs un mémorandum fuité le 2 mai 2013 et obtenu par Jonathan Karl cite la porte-parole du Département d’Etat Victoria Nuland, demandant à ses collaborateurs d’éviter de mentionner que la CIA avait prévenu le Département d’Etat d’une éventuelle attaque terroriste à l’anniversaire du 11 septembre, dans la mesure où cela pourrait apporter de l’eau au moulin des Républicains pour leurs critiques de la politique internationale d’Obama.
Le refus de Barack Obama, pendant plus de deux semaines, de qualifier l’agression de Benghazi “d’attaque terroriste” a conduit plusieurs observateurs à supputer que la demande de Victoria Nuland d’éviter de parler de terrorisme remonte à Obama en personne.
Ces révélations ont amené le député de Floride, Ted Yoho, a déposer une proposition de loi le 26 juin dernier, pour interdire à toute agence ou institution américaine, l’allocation de fonds en vue de fournir une assistance militaire aux forces dites d’opposition en Syrie.
S’exprimant devant la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, Yoho a réitéré ce qu’il avait dit à l’origine : “Quiconque pense qu’armer l’opposition rebelle en Syrie est une bonne idée devrait apprendre les leçons du passé. Les mêmes politiques ont créé des monstres en Irak, Afghanistan et ailleurs dans le monde. L’opposition syrienne est un mélange de groupes comme les Frères musulmans de Syrie et autres organisations qui ont fait allégeance à Al Qaïda”.
Al-Qaïda, une succursale des services qataris
Les relations entre Al-Qaïda et le Qatar remontent à des années. Outre le soutien financier à cette organisation terroriste apporté par des hommes d’affaires qataris proches de Hamad Ben Jassim, ainsi que par des associations dites caritatives, Al-Jazeera est devenue le principal relai médiatique de “cheikh Ben Laden”, comme l’appellent les présentateurs de cette chaîne islamo-terroriste.
Tous les services occidentaux étaient au courant de cette collaboration étroite entre l’oligarchie mafieuse et l’organisation terroriste…jusqu’au jour où cette relation est devenue trop flagrante pour pouvoir continuer.
En dépit du fait qu’Obama avait encore besoin des services d’Al-Qaïda en Syrie, en Irak et au Maghreb, ainsi que des très précieuses relations entre cette ” ONG ” de Ben Laden et Qatar Charity, le président américain a saisi la gravité de l’affaire en se débarrassant rapidement de ses deux complices et valets devenus trop encombrants : Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim.
Sans toutefois prévenir François Hollande, ce qui aurait évité à celui-ci de se rendre à Doha 24h avant l’éviction officielle des deux Hamad.
Obama a changé les deux têtes du pouvoir au Qatar pour que le président de la première démocratie du monde ne soit pas accusé à son tour de soutien au terrorisme, notamment celui d’Al-Qaïda, supposée être l’ennemi numéro1 des Etats-Unis et du monde entier.
Barack Obama savait très bien que Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim finançaient les Frères musulmans, Al-Qaïda et d’autres groupes terroristes, mais tant que cela servait les intérêts stratégiques de l’Empire, il a laissé faire ses valets.
Si cette collaboration étroite entre le Qatar et Al-Qaïda était encore floue en Tunisie, au moment des événements de janvier 2011, elle est devenue parfaitement claire en Libye, ensuite en Syrie. C’est d’ailleurs pour cette raison que les Français ont décidé de faire le grand nettoyage au Mali.
Les premières mesures prises par cheikh Tamim prouvent a posteriori les raisons pour lesquelles son père a été éjecté : expulsion immédiate de Khaled Mechaal et d’autres dirigeants du Hamas qui vivaient à Doha après avoir longtemps profité de la générosité syrienne, fermeture de la représentation “diplomatique” des Talibans à Doha, humiliation et expulsion de Youssef Qaradaoui, neutralité apparente dans les affaires intérieures égyptiennes…
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