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Le complexe zootechnique et d’élevage de Souk-el-Tenine (est de Bejaia) a cassé le prix du poulet le cédant à 230 dinars le kg, contre une offre équivalente moyenne sur le marché de l’ordre de 360 dinars, apprend-on auprès de sa direction.
Cette situation a naturellement provoqué un rush sur cet établissement public qui subit certes une forte pression, notamment au niveau de l’organisation et de l’accueil, mais qui arrive à faire face à la demande étant soutenu, à tour de bras, par l’Onab (Office national de l’aliment de bétail) de Sétif, qui lui assure quotidiennement des livraisons importantes, a-t-on précisé.
Sans donner un ordre de grandeur sur les acquisitions et les ventes quotidiennes, ses responsables affirment pouvoir poursuivre l’opération jusqu'à la fin du mois de Ramadan et contribuer autant que faire se peut, non seulement pour soulager le consommateur mais aussi maintenir le prix de vente sur le marché local à un niveau relativement abordable.
Une flambée du produit s’est opérée à une semaine du début du mois de ramadan, prenant de court les consommateurs, habitués depuis plusieurs semaines alors à l’acheter à environ 200 dinars le kg évidé ou 500 dinars la pièce vive, rappelle-t-on. Une augmentation que les commerçants justifient par la cherté des intrants, bien que ces derniers aient bénéficié de bonifications fiscales.
Son renchérissement a plombé le niveau des ventes, assurent cependant certains vendeurs, qui estiment, pour leur part, ne pas "avoir profité de la hausse qui a généré manifestement une situation de mévente".
APS
Cette situation a naturellement provoqué un rush sur cet établissement public qui subit certes une forte pression, notamment au niveau de l’organisation et de l’accueil, mais qui arrive à faire face à la demande étant soutenu, à tour de bras, par l’Onab (Office national de l’aliment de bétail) de Sétif, qui lui assure quotidiennement des livraisons importantes, a-t-on précisé.
Sans donner un ordre de grandeur sur les acquisitions et les ventes quotidiennes, ses responsables affirment pouvoir poursuivre l’opération jusqu'à la fin du mois de Ramadan et contribuer autant que faire se peut, non seulement pour soulager le consommateur mais aussi maintenir le prix de vente sur le marché local à un niveau relativement abordable.
Une flambée du produit s’est opérée à une semaine du début du mois de ramadan, prenant de court les consommateurs, habitués depuis plusieurs semaines alors à l’acheter à environ 200 dinars le kg évidé ou 500 dinars la pièce vive, rappelle-t-on. Une augmentation que les commerçants justifient par la cherté des intrants, bien que ces derniers aient bénéficié de bonifications fiscales.
Son renchérissement a plombé le niveau des ventes, assurent cependant certains vendeurs, qui estiment, pour leur part, ne pas "avoir profité de la hausse qui a généré manifestement une situation de mévente".
APS