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Après leur flambée aux premiers jours du Ramadan, les prix des produits alimentaires sont en baisse. C’est ce que nous avons constaté, ce mercredi, en effectuant une virée au marché Clauzel, à Alger-Centre, et au marché 12, à Belcourt, deux marchés parmi les plus importants de la capitale.
Selon l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), la baisse a atteint un taux 50% pour les fruits et légume. « A la fin de cette première semaine du mois de Ramadan, une baisse de 50% a été enregistrée sur les prix des fruits et légumes. Une légère baisse également des prix de la viande allant de 100 à 200 DA a été enregistrée », selon Hadj Tahar Boulenouar, porte-parole de l’UGCAA.
Dans les marchés visités, la pomme de terre, qui avait vu son prix doubler en passant de 20 DA avant le Ramadan à 60 DA le premier jour du mois sacré, est actuellement vendue entre 30 et 40 DA. Le prix de la courgette a été, également, divisé par deux. Il est passé de 80 DA le premier jour à 40 DA ce mercredi.
Les prix des autres légumes ont connu une légère baisse. La tomate et la carotte, vendues à 80 DA le kilo le premier jour du mois sacré, sont, actuellement, vendues entre 55 et 60 DA. Les haricots verts sont cédés à 100 DA alors qu’auparavant ils se vendaient à 120 DA. Le kilo d’oignon varie entre 25 et 35 DA alors qu’il avait atteint 50 DA le premier jour du Ramadan.
Pour les fruits, la tendance est également à la baisse. La fraise et la banane, qui coûtaient entre 150 DA et 200 DA le kilo, sont actuellement vendues entre 100 et 120 DA. La nectarine vendue à 300 DA est cédée entre 250 et 280 DA. La pomme locale, vendue 80 DA le kilo, passe à 50-60 DA, actuellement.
Le prix de la viande, qui a connu une très forte hausse le début du Ramadan, est en légère baisse. En effet, le prix du poulet, qui avait atteint 420 DA le kilo, varie aujourd’hui entre 300 et 380 DA. « Le prix du poulet baissera pour atteindre 250 DA dans les deux jours à venir », promet M. Boulenouar. Le prix de la viande rouge, quant à lui, a connu une baisse insignifiante : il est cédé entre 1 300 DA et 1 400 le kilo alors qu’il s’élevait à 1 500 DA le premier jour de Ramadhan. La viande congelée, qui suscite un vrai engouement chez le consommateur depuis le début de ce mois, est en hausse. Son prix est passé de 560 DA le kilo à 580 DA, voire 600 DA le kilo dans certains commerces.
La baisse des prix est essentiellement due au recul de la demande et à un comportement plus rationnel des consommateurs, selon le porte-parole de l’UGCAA. Illustration de cette situation : sur les deux marchés visités ce mercredi, les étals sont remplis mais les clients se font rares.
Les prix, et notamment ceux des produits utilisés dans la confection des gâteaux, pourraient toutefois repartir en hausse durant la dernière semaine de Ramadan, avertit M. Boulenouar, qui souligne la persistance de l’insuffisance de la production nationale. « Nous avons une défaillance de 30% en matière de fruits et légumes. De 40% en ce qui concerne la viande, et de 70% concernant le lait » explique-t-il. Il relève également le manque de marchés de proximité, le manque de la culture de consommation en Algérie, ainsi que le rôle des APC qui ont, selon lui, failli dans l’opération de l’éradication de l’informel.tsa
Selon l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), la baisse a atteint un taux 50% pour les fruits et légume. « A la fin de cette première semaine du mois de Ramadan, une baisse de 50% a été enregistrée sur les prix des fruits et légumes. Une légère baisse également des prix de la viande allant de 100 à 200 DA a été enregistrée », selon Hadj Tahar Boulenouar, porte-parole de l’UGCAA.
Dans les marchés visités, la pomme de terre, qui avait vu son prix doubler en passant de 20 DA avant le Ramadan à 60 DA le premier jour du mois sacré, est actuellement vendue entre 30 et 40 DA. Le prix de la courgette a été, également, divisé par deux. Il est passé de 80 DA le premier jour à 40 DA ce mercredi.
Les prix des autres légumes ont connu une légère baisse. La tomate et la carotte, vendues à 80 DA le kilo le premier jour du mois sacré, sont, actuellement, vendues entre 55 et 60 DA. Les haricots verts sont cédés à 100 DA alors qu’auparavant ils se vendaient à 120 DA. Le kilo d’oignon varie entre 25 et 35 DA alors qu’il avait atteint 50 DA le premier jour du Ramadan.
Pour les fruits, la tendance est également à la baisse. La fraise et la banane, qui coûtaient entre 150 DA et 200 DA le kilo, sont actuellement vendues entre 100 et 120 DA. La nectarine vendue à 300 DA est cédée entre 250 et 280 DA. La pomme locale, vendue 80 DA le kilo, passe à 50-60 DA, actuellement.
Le prix de la viande, qui a connu une très forte hausse le début du Ramadan, est en légère baisse. En effet, le prix du poulet, qui avait atteint 420 DA le kilo, varie aujourd’hui entre 300 et 380 DA. « Le prix du poulet baissera pour atteindre 250 DA dans les deux jours à venir », promet M. Boulenouar. Le prix de la viande rouge, quant à lui, a connu une baisse insignifiante : il est cédé entre 1 300 DA et 1 400 le kilo alors qu’il s’élevait à 1 500 DA le premier jour de Ramadhan. La viande congelée, qui suscite un vrai engouement chez le consommateur depuis le début de ce mois, est en hausse. Son prix est passé de 560 DA le kilo à 580 DA, voire 600 DA le kilo dans certains commerces.
La baisse des prix est essentiellement due au recul de la demande et à un comportement plus rationnel des consommateurs, selon le porte-parole de l’UGCAA. Illustration de cette situation : sur les deux marchés visités ce mercredi, les étals sont remplis mais les clients se font rares.
Les prix, et notamment ceux des produits utilisés dans la confection des gâteaux, pourraient toutefois repartir en hausse durant la dernière semaine de Ramadan, avertit M. Boulenouar, qui souligne la persistance de l’insuffisance de la production nationale. « Nous avons une défaillance de 30% en matière de fruits et légumes. De 40% en ce qui concerne la viande, et de 70% concernant le lait » explique-t-il. Il relève également le manque de marchés de proximité, le manque de la culture de consommation en Algérie, ainsi que le rôle des APC qui ont, selon lui, failli dans l’opération de l’éradication de l’informel.tsa