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Changer la politique financière au Maroc reste le seul moyen pour résoudre la difficulté des opérateurs espagnols à accéder aux financements des banques marocaines qui “restent fermées aux opérateurs étrangers”. C'est ce qu'a estimé le président du Comité d'affaires hispano-marocain, José Miguel Zaldo.
“Les banques marocaines sont fermées aux investisseurs étrangers. Nous espérons que le gouvernement puisse changer la politique financière”, a affirmé M. Zaldo dans un entretien publié mercredi par L'Economiste.
La carence dans la logistique pose aussi plus de problèmes aussi opérateurs espagnols, selon M. Zaldo qui a avancé à ce propos des “coûts trop élevés” et des services “pas toujours aux normes”. Il a souligné que le comité a organisé une rencontre avec le ministère de l'Equipement pour améliorer la logistique au Maroc.
L'industrie agroalimentaire, l'équipement automobile et la logistique sont les principaux secteurs d'activité qui intéressent les investisseurs espagnols au Maroc, a-t-il souligné.
“Plusieurs projets devraient être finalisés avant la fin de l'année”, a relevé le président du Comité d'affaires hispano-marocain. Et d'ajouter que le lancement du projet de zone industrielle à Settat, géré par l'opérateur espagnol Ditema, est prévu l'année prochaine avec l'implantation de 200 entreprises.
Concernant le rôle que devra jouer le nouveau Conseil économique Maroc-Espagne, M. Zaldo a répondu que le comité continue de travailler dans la partie économique et de se préoccuper essentiellement à soutenir les entreprises dans leur business. “L'idée est de séparer le volet économique du volet institutionnel”, a-t-il soutenu
AU FAIT
“Les banques marocaines sont fermées aux investisseurs étrangers. Nous espérons que le gouvernement puisse changer la politique financière”, a affirmé M. Zaldo dans un entretien publié mercredi par L'Economiste.
La carence dans la logistique pose aussi plus de problèmes aussi opérateurs espagnols, selon M. Zaldo qui a avancé à ce propos des “coûts trop élevés” et des services “pas toujours aux normes”. Il a souligné que le comité a organisé une rencontre avec le ministère de l'Equipement pour améliorer la logistique au Maroc.
L'industrie agroalimentaire, l'équipement automobile et la logistique sont les principaux secteurs d'activité qui intéressent les investisseurs espagnols au Maroc, a-t-il souligné.
“Plusieurs projets devraient être finalisés avant la fin de l'année”, a relevé le président du Comité d'affaires hispano-marocain. Et d'ajouter que le lancement du projet de zone industrielle à Settat, géré par l'opérateur espagnol Ditema, est prévu l'année prochaine avec l'implantation de 200 entreprises.
Concernant le rôle que devra jouer le nouveau Conseil économique Maroc-Espagne, M. Zaldo a répondu que le comité continue de travailler dans la partie économique et de se préoccuper essentiellement à soutenir les entreprises dans leur business. “L'idée est de séparer le volet économique du volet institutionnel”, a-t-il soutenu
AU FAIT