Aucune preuve de corruption d’officiels algériens, selon une enquête interne

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Aucune preuve de corruption d’officiels algériens, selon une enquête interne

TSA - menée par Saipem Riyad Hamadi

Saipem a annoncé, ce Mercredi 17 juillet, qu’une enquête interne a abouti à la conclusion qu’il n’y avait aucune preuve de paiements illégaux versés à des officiels algériens, bien que l’on ait découvert des violations au niveau des procédures internes de Saipem, rapporte le Wall Street Journal.

La société italienne a perdu environ la moitié de sa capitalisation boursière depuis le début de l’année, notamment suite à l’affaire de corruption avec Sonatrach.

Selon Saipem, l’enquête interne a été menée par des consultants externes. Aucune trace de paiements illégaux aux officiels algériens n’a été trouvée. La compagnie, basée à Milan, a affirmé que son conseil d’administration avait décidé de poursuivre légalement certains ex-employés et fournisseurs non nommés, en vue de protéger les intérêts de Saipem.

Saipem a déclaré qu’elle transmettra aux procureurs milanais les résultats de l’investigation interne.

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Saipem a été condamné par le versement de commision à des intermédiaires, proche du fils de Khelil, qui s'est ensuite associé au patron de Saipem de l'Eni dfnas des investissments immobiliers en Italie. C'est autour des rétro commissions et sur ces société intérmédiaires que les versement pourarient avoir été effectués...