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Le gouvernement marocain impuissant à relancer la croissance

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  • Le gouvernement marocain impuissant à relancer la croissance

    • Boualem Alami
    • jeudi 18 juillet 2013 13:28

    Baisse brutale de la demande intérieure au Maroc en 2012, le gouvernement impuissant à relancer la croissance

    L’évolution de la demande intérieure est passée de 5,7% en 2011 à 3% en 2012, ce que la Banque centrale marocaine explique par l’effet indirect du tassement de l'activité économique chez les principaux pays partenaires mais aussi par une mauvaise production agricole et la hausse des prix des principaux produits. La consommation finale marocaine a progressé de 4,5% en 2012 contre 6,8% en 2011 en termes réels.

    Brusque coup d'arrêt à la demande intérieure au Maroc. Sa décélération a été brutale, indique un rapport de la Banque centrale (Bank Al Maghrib, BAM) sur la situation économique, monétaire et financière en 2012. De 5,7 % en 2011 elle a chuté à 3% en 2012, même si elle reste toujours le ''moteur de la croissance'' avec une contribution de 2,7 points de pourcentage.

    Selon le document de BAM, le tassement de l'activité économique chez les principaux pays partenaires en 2012 a eu ''un effet négatif direct sur la demande extérieure et indirect sur la demande intérieure, par le canal des transferts courants privés''.

    Baisse des transferts extérieurs, mauvaise production agricole et hausse des prix des principaux produits sont également à l'origine de ce recul de la demande intérieure, même si, note le rapport, il y a eu ''une relative préservation du pouvoir d'achat à la faveur d'une évolution modérée de l'inflation''. Dès lors, la consommation finale marocaine a progressé de 4,5% en 2012, contre 6,8% en 2011 en termes réels, contribuant ainsi à hauteur de 3,6 points de pourcentage à la croissance, contre 5 points de base en 2011, une décélération que BAM impute à la chute (de 8,1 % à 4,6 % à prix courants) de la consommation finale des ménages qui en représente 75,7%. La consommation finale des administrations publiques a enregistré, elle, une hausse de 7,9% en termes réels après 4,6% en 2011.

    La participation de la consommation nationale à la variation du PIB s'est élevée à 1,4 point, après 0,8 point en 2011, selon BAM. Ainsi, le besoin de financement de l'économie du Maroc s'établit désormais à 10% du PIB.

    Croissance en berne en 2012

    Le rapport de la Banque centrale marocaine confirme, par ailleurs, que la croissance n'était pas au rendez-vous en 2012, ce qui a fortement ébranlé la politique économique du gouvernement dirigé par le Parti de la justice et du développement (PJD, islamiste). L'une des raisons invoquées par le parti l'Istiqlal pour se retirer de ce gouvernement est liée aux mauvaises performances de l’économie sous la conduite du chef de l'exécutif, Abdelilah Benkirane.

    L'économie marocaine a enregistré en 2012 une décélération de sa croissance descendue à 2,7% contre 5% de 2011. Outre l'impact direct de la crise économique en Europe, les mauvaises performances du secteur agricole ont négativement impacté l'économie locale. L'agriculture a enregistré une baisse de 7,2% en 2012 contre une hausse de 5,1% une année auparavant.

    Sur la période 1999-2011, la croissance annuelle de l'économie marocaine était en moyenne de 4,5%, rappelle BAM.

  • #2

    A chaque point de croissance correspond la création de 24.000 nouveaux emplois.


    Comment se fait-il que, malgré les primo-demandeurs et l'absence de création d'emplois le taux de chômage ne bouge ? 3jab !!!

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    • #3
      Balak avec un peu d'huile d'argan et d'amandes moulues, on arrivera à s'en sortir.

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      • #4
        Wa3err ramdane, Wa3err

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        • #5
          Je suis certain que le jeu de mot t'a échappé.
          Oui, je confirme Ramdan est difficile.

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          • #6
            il y a eu ''une relative préservation du pouvoir d'achat à la faveur d'une évolution modérée de l'inflation''. Dès lors, la consommation finale marocaine a progressé de 4,5% en 2012

            je ne sais pas si on lis les articles ou on lis juste le titre. le probleme c'est dans les pays qui ont 9% d'inflation et 2% de croissance et vous savez de qui je parle.

            4,5% de croissance l'anne ou il y avait la pire sechresse que le maroc n'a jamais vu depuis des annes et en meme temp la plus severe crise mondiale depuis 1929, printemps arabes .......... et en parle de crise avec 4,5 % de croissance net du consomation interne.

            you guys are funny.
            Dernière modification par auscasa, 21 juillet 2013, 16h00.

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            • #7
              Envoyé par jawzia
              Comment se fait-il que, malgré les primo-demandeurs et l'absence de création d'emplois le taux de chômage ne bouge ? 3jab !!!
              Le chomage au maroc 9 % le numero 6 a l'enver tjrs le meme c un chiffre béni par les alaouites





              .

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              • #8
                auscasa citation
                4,5% de croissance l'anne ou il y avait la pire sechresse que le maroc


                Si en retard et moyenâgeux qu' il devrais faire du 20 %

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                • #9
                  je ne sais pas si on lis les articles ou on lis juste le titre
                  Je me posais la même question !

                  Déjà en 2012, exercice couvert par le rapport,
                  • le déficit budgétaire s’est établi à 7,6% du PIB, soit 0,4 points de plus que ce qu’avait annoncé le gouvernement. Ce taux reflète la situation réelle car il neutralise l’impact des recettes extraordinaires (privatisation).
                  • Celui de la balance des opérations courantes à 10% de la richesse nationale.
                  • En face, un taux de croissance limité à 2,7%. Un niveau qui ne permet pas de créer des emplois.
                  • D’ailleurs, l’année passée, la balance des créations/pertes d’emplois s’est soldée par un bilan nul.

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                  • #10
                    4,5% de croissance l'anne

                    si c'est celui à qui je pense et qui porte juste un N, il a contribue c'est vrai à 4.5% point de pib, en assurant la logistique est ouest.

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