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Les coupures d’électricité reprennent de plus belle, depuis le début de l’été. En ce mois de Ramadhan, elles se multiplient dans plusieurs localités de la vallée de la Soummam.
La ville d’Akbou, avec ses cinquante milles habitants, est la région la plus touchée par des perturbations dans les réseaux d’alimentation en électricité. Des citoyens s’indignent et dénoncent la mauvaise gestion du réseau électrique. Malgré toutes les assurances et les promesses des responsables de l’entreprise concernée, de remédier à la situation, celle-ci s’est aggravée en ce mois sacré et le hasard a fait que les coupures se produisent au moment même de la rupture du jeûne. « Le réseau d’alimentation connaît des chutes de tension et des perturbations depuis le début de l’été. Les choses se sont aggravées, dés le début du mois de Ramadhan. Après de multiples réclamations de la part des citoyens, les responsables compétents n’ont rien fait pour améliorer la qualité de service aux clients et, à plusieurs reprises, nous sommes contraints de dîner à la chandelle», s’indigne un habitant d’Akbou.
La direction locale de Sonelgaz a mis en place deux postes sources de haute tension, implantés à proximité de la zone industrielle de Thaharacht, afin d’éviter les coupures électriques, néanmoins la situation n’a pas trop changé. « À chaque hiver, des milliers de foyers de la ville d’Akbou et de sa région plongent dans le noir à la moindre perturbation climatique. En été, la situation reste identique, alors qu’il n’y a ni vent ni averse», s’interroge un autre habitant. Par ailleurs, la direction locale de Sonelgaz, justifie ces chutes de tension par la multiplication des appareils de climatisation et de refroidissement utilisés à grande échelle par les ménages en cette période de fortes chaleurs. « Ces appareils utilisés, généralement en été, consomment beaucoup d’électricité, d’où surviennent des pics de consommation», soulignera un employé de la Sonelgaz d’Akbou.
Pourtant, selon les pouvoirs publics, l’État a déboursé des sommes d’argent pour l’installation de postes transformateurs d’électricité, l’extension des deux réseaux d’électricité et de gaz naturel et la réalisation de centrales électriques. Malgré tous les efforts pour améliorer la qualité de service, les dysfonctionnements persistent et, avec eux, les pertes causées aux clients, les ménages, mais aussi les commerçants, à leur tête les boulangers et les bouchers qui réclament des indemnisations de la part des pouvoirs publics.
Keddouh Mohand Seghir- La Dépêche de kabylie
La ville d’Akbou, avec ses cinquante milles habitants, est la région la plus touchée par des perturbations dans les réseaux d’alimentation en électricité. Des citoyens s’indignent et dénoncent la mauvaise gestion du réseau électrique. Malgré toutes les assurances et les promesses des responsables de l’entreprise concernée, de remédier à la situation, celle-ci s’est aggravée en ce mois sacré et le hasard a fait que les coupures se produisent au moment même de la rupture du jeûne. « Le réseau d’alimentation connaît des chutes de tension et des perturbations depuis le début de l’été. Les choses se sont aggravées, dés le début du mois de Ramadhan. Après de multiples réclamations de la part des citoyens, les responsables compétents n’ont rien fait pour améliorer la qualité de service aux clients et, à plusieurs reprises, nous sommes contraints de dîner à la chandelle», s’indigne un habitant d’Akbou.
La direction locale de Sonelgaz a mis en place deux postes sources de haute tension, implantés à proximité de la zone industrielle de Thaharacht, afin d’éviter les coupures électriques, néanmoins la situation n’a pas trop changé. « À chaque hiver, des milliers de foyers de la ville d’Akbou et de sa région plongent dans le noir à la moindre perturbation climatique. En été, la situation reste identique, alors qu’il n’y a ni vent ni averse», s’interroge un autre habitant. Par ailleurs, la direction locale de Sonelgaz, justifie ces chutes de tension par la multiplication des appareils de climatisation et de refroidissement utilisés à grande échelle par les ménages en cette période de fortes chaleurs. « Ces appareils utilisés, généralement en été, consomment beaucoup d’électricité, d’où surviennent des pics de consommation», soulignera un employé de la Sonelgaz d’Akbou.
Pourtant, selon les pouvoirs publics, l’État a déboursé des sommes d’argent pour l’installation de postes transformateurs d’électricité, l’extension des deux réseaux d’électricité et de gaz naturel et la réalisation de centrales électriques. Malgré tous les efforts pour améliorer la qualité de service, les dysfonctionnements persistent et, avec eux, les pertes causées aux clients, les ménages, mais aussi les commerçants, à leur tête les boulangers et les bouchers qui réclament des indemnisations de la part des pouvoirs publics.
Keddouh Mohand Seghir- La Dépêche de kabylie
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