Il est clair que les partis qui partiront diviser pour les prochaines écheances électorales récolteront moins que ce qu'ils sont en droit d'attendre du travail fournit durant les années passées .
Voici un Parti que je connait que trop peu et qui se nomme le Mouvement démocratique et social .
Malgrès quelques dissensions internes ce parti tiendra son congrès à la fin du mois .
Si les Forumistes ont des informations sur ce mouvement ( historique , principe , nombres d'adhérents ..) ce serait très sympa de nous en faire partager .
Voici un Parti que je connait que trop peu et qui se nomme le Mouvement démocratique et social .
Malgrès quelques dissensions internes ce parti tiendra son congrès à la fin du mois .
Si les Forumistes ont des informations sur ce mouvement ( historique , principe , nombres d'adhérents ..) ce serait très sympa de nous en faire partager .
Réfutant l’exclusion de trois membres de sa direction
Le MDS tiendra son congrès fin septembre
Mardi 5 septembre 2006
Par Ghada Hamrouche
Le Mouvement démocratique et social (MDS) tiendra son congrès comme prévu à la fin du mois en cours. C’est du moins ce qu’affirme l’aile présidée par Hocine Ali, le secrétaire général par intérim du parti. Revenant sur le dernier conseil national tenu par l’aile de Ahmed Meliani, M. Yacine Teguia, chargé de la communication du mouvement, affirmera que les décisions de ce conseil ne peuvent être légitimées en raison du boycott massif des membres du conseil national. «Seuls 20 membres sur les
151 constituant le conseil étaient présents. Le boycott des autres est une décision politique attestant la minorité de ceux qui ont tenu la réunion susdite», expliquera M Teguia avant d’expliquer que l’autre aile du mouvement, «dépourvue du soutien des militants de base, «tente vainement de délégitimer la tenue du congrès que nous préparons».
Ce congrès, précisera l’interlocuteur, regroupera, comme prévu, 249 délégués et sera précédé de trois pré-congrès régionaux.
Ce congrès permettra également au MDS de se prononcer sur les questions politiques latentes du pays, notamment la révision de la Constitution et la tenue des prochaines élections législatives et locales.
Concernant son exclusion et celles de ses collègues Hocine Ali et Hamid Ferhi, il dira que «M. Melinai et ses camarades tentent de régler au plan organique un problème qu’ils n’arrivent pas à régler au plan politique», or, poursuit-il, «les statuts du MDS autorisent toutes les initiatives et les réflexions, y compris l’organisation d’une inter-fédérations».
M. Teguia soutiendra que «la préparation du congrès du mouvement aurait pu être l’occasion d’un débat d’idées serein, sanctionné par le choix souverain des militants. Loin d’éclairer l’opinion, la tournure que prennent les choses suscite l’incompréhension. Derrière les interpellations sur la situation au sein du MDS apparaît l’interrogation sur la situation nationale, sur laquelle on attend du MDS des explications et des orientations de lutte».
M. Teguia assurera toutefois qu’«il n’est pas trop tard pour accepter une confrontation démocratique qui permettrait aussi bien de régler la crise au sein du MDS que de participer à éclairer la société […] le congrès reste le seul lieu pour sauver l’unité du mouvement».
G. H.
Le MDS tiendra son congrès fin septembre
Mardi 5 septembre 2006
Par Ghada Hamrouche
Le Mouvement démocratique et social (MDS) tiendra son congrès comme prévu à la fin du mois en cours. C’est du moins ce qu’affirme l’aile présidée par Hocine Ali, le secrétaire général par intérim du parti. Revenant sur le dernier conseil national tenu par l’aile de Ahmed Meliani, M. Yacine Teguia, chargé de la communication du mouvement, affirmera que les décisions de ce conseil ne peuvent être légitimées en raison du boycott massif des membres du conseil national. «Seuls 20 membres sur les
151 constituant le conseil étaient présents. Le boycott des autres est une décision politique attestant la minorité de ceux qui ont tenu la réunion susdite», expliquera M Teguia avant d’expliquer que l’autre aile du mouvement, «dépourvue du soutien des militants de base, «tente vainement de délégitimer la tenue du congrès que nous préparons».
Ce congrès, précisera l’interlocuteur, regroupera, comme prévu, 249 délégués et sera précédé de trois pré-congrès régionaux.
Ce congrès permettra également au MDS de se prononcer sur les questions politiques latentes du pays, notamment la révision de la Constitution et la tenue des prochaines élections législatives et locales.
Concernant son exclusion et celles de ses collègues Hocine Ali et Hamid Ferhi, il dira que «M. Melinai et ses camarades tentent de régler au plan organique un problème qu’ils n’arrivent pas à régler au plan politique», or, poursuit-il, «les statuts du MDS autorisent toutes les initiatives et les réflexions, y compris l’organisation d’une inter-fédérations».
M. Teguia soutiendra que «la préparation du congrès du mouvement aurait pu être l’occasion d’un débat d’idées serein, sanctionné par le choix souverain des militants. Loin d’éclairer l’opinion, la tournure que prennent les choses suscite l’incompréhension. Derrière les interpellations sur la situation au sein du MDS apparaît l’interrogation sur la situation nationale, sur laquelle on attend du MDS des explications et des orientations de lutte».
M. Teguia assurera toutefois qu’«il n’est pas trop tard pour accepter une confrontation démocratique qui permettrait aussi bien de régler la crise au sein du MDS que de participer à éclairer la société […] le congrès reste le seul lieu pour sauver l’unité du mouvement».
G. H.
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