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diagnostic cérébral de la schizophrénie

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  • diagnostic cérébral de la schizophrénie

    Les personnes atteintes de shizophrénie ont dans une zone du cerveau,le thalamus,une quantité d'acide aminé N-acétylaspartate (NAA) inférieure à celle des sujets non malades.
    des chercheurs de l'université de SAN FRANCISCO (Californie) ont ainsi relevé la concentration de NAA chez des personnes schizophrènes ou non, afin de réaliser un modèle informatique capable de détecter la maladie.
    testé sur 18 volontaires, celui-ci s'est avéré à 100% efficace.

  • #2
    la schizophrénie

    Les symptômes

    Le délire est dans ce domaine le plus fréquemment cité, car le plus spectaculaire. Le patient accumule les idées sans lien avec la réalité. Un fort sentiment de persécution, une jalousie pathologique, la soudaine affirmation d'idées mystiques relèvent de cette dimension.
    Les idées délirantes se nourrissent d'hallucinations, le plus souvent auditives (le malade entend des voix qui parlent de lui ou qui lui donnent des ordres)

    Symptômes dits de désorganisation :

    Il s'agit d'un processus interne désorganisant l'activité mentale du patient qui s'exprime par des troubles du cours de la pensée (arrêt brusque du discours), des troubles du langage, un déficit de la structure logique de la pensée, des troubles de la communication.

    Il se passe en moyenne deux ans entre les premiers symptômes et le moment d'identification de la maladie proprement dite.

    Les causes de la schizophrénie sont supposées être organiques. Le développement considérable des moyens d'exploration du cerveau a permis, ces dernières années, de confirmer l'implication dans cette maladie d'anomalies de la « matrice cérébrale », englobant les multiples niveaux d'observation de cet organe : moléculaire, cellulaire, des réseaux neuronaux, anatomiques


    Des techniques d'enregistrement de l'activité cérébrale lors de la passation de tâches expérimentales mettant en jeu telle ou telle fonction cognitive supposée atteinte chez le patient souffrant de schizophrénie ont montré l'hyporéactivité de certaines zones cérébrales impliquées dans la réalisation de ces fonctions


    En plus de ces facteurs génétiques, des facteurs psychosociaux (isolement social et économique, séparation de sa culture d'origine suite à une immigration par exemple…) et biologiques peuvent jouer un rôle.

    Sur ce dernier point, la prise de drogues chez les sujets fragiles, jeunes notamment, pourrait par exemple favoriser la survenue de la maladie. Mais il est difficile d'affirmer que ces facteurs biologiques sont directement responsables de la maladie. Ils pourraient être de simples révélateurs chez des personnes présentant une prédisposition à la maladie.
    Dernière modification par Absente, 05 septembre 2006, 20h33.

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