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Le groupe français Compagnie générale de géophysique a annoncé mardi qu'il allait acquérir l'Américain Veritas DGC pour 3,1 milliards de dollars. Cette opération devrait donner naissance au No1 mondial des études sismiques qui jouera un rôle majeur dans la prospection pétrolière.
CGG-Veritas, le nouveau nom de l'entreprise, aura une part de marché supérieure à 30%, d'après Robert Brunck, le patron de CGG, soit un peu plus que son rival Western-Geco. Le marché de la prospection est évalué à 8 milliards de dollars par an, selon CGG. M. Brunck a ajouté que le nouvel ensemble aurait un chiffre d'affaires supérieur à 2,5 milliards de dollars dès l'an prochain. Celui qui sera PDG de la future entité a précisé que 80% des coûts d'intégration, estimés au total à 20 millions de dollars, seraient passés dans les comptes cette année, et le solde l'an prochain.
Les synergies sont évaluées par la direction à 65 millions de dollars par an, dont 25 millions de dollars proviendront du supplément de revenus issu des études multi-clients.
Basés respectivement à Massy (Essonne) et à Houston, CGG et Veritas estiment que la fusion de leurs données sismiques, de leur gestion de données et des techniques d'imagerie va faire de l'entité une "référence dans l'industrie", forte de 7.000 employés. Le processus de fusion doit s'achever fin 2006 et recevoir le feu vert des autorités de régulations américaines et européennes, mais aussi celui des actionnaires de Géophysique en décembre.
Par AP
CGG-Veritas, le nouveau nom de l'entreprise, aura une part de marché supérieure à 30%, d'après Robert Brunck, le patron de CGG, soit un peu plus que son rival Western-Geco. Le marché de la prospection est évalué à 8 milliards de dollars par an, selon CGG. M. Brunck a ajouté que le nouvel ensemble aurait un chiffre d'affaires supérieur à 2,5 milliards de dollars dès l'an prochain. Celui qui sera PDG de la future entité a précisé que 80% des coûts d'intégration, estimés au total à 20 millions de dollars, seraient passés dans les comptes cette année, et le solde l'an prochain.
Les synergies sont évaluées par la direction à 65 millions de dollars par an, dont 25 millions de dollars proviendront du supplément de revenus issu des études multi-clients.
Basés respectivement à Massy (Essonne) et à Houston, CGG et Veritas estiment que la fusion de leurs données sismiques, de leur gestion de données et des techniques d'imagerie va faire de l'entité une "référence dans l'industrie", forte de 7.000 employés. Le processus de fusion doit s'achever fin 2006 et recevoir le feu vert des autorités de régulations américaines et européennes, mais aussi celui des actionnaires de Géophysique en décembre.
Par AP