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salam
Lemag : Le FMI ayant accordé au Maroc une ligne de précaution et de liquidité (LPL ) de 6.2 milliards de dollars, utilisable en cas de contrainte exogène majeure, statuera sur l’éligibilité du royaume à bénéficier de cette ligne, en examinant ses indicateurs économiques ce 31 juillet.
Le Maroc, en échange de bénéficier de cette couverture financière du FMI, avait accepté de placer sous surveillance 5 de ses domaines vitaux :
- Le secteur financier.
- La politique monétaire.
- La qualité des données.
- La politique budgétaire.
- La situation des paiements extérieurs.
Une délégation du FMI avait séjourné au Maroc en juin dernier, passant au crible les comptes du royaume.
Le Maroc risque de mauvaises notes sur deux points essentiels, à savoir le déficit budgétaire aggravé à cause des dépenses publiques notamment ceux de la caisse de compensation et puis la balance des paiements qui par son déficit, a fortement réduit la réserve de change du pays à moins de 3 mois d’exportation.
Le verdict du FMI du 31 juillet prochain, est en plus d’être décisif pour le Maroc pour garder sa LPL de 6.2 milliards de dollars, de lui dépendra les grades du pays chez les agences de notations, nécessaires au royaume pour se garantir des conditions allégées pour se financer sur le marché international des crédits.
lemag
Lemag : Le FMI ayant accordé au Maroc une ligne de précaution et de liquidité (LPL ) de 6.2 milliards de dollars, utilisable en cas de contrainte exogène majeure, statuera sur l’éligibilité du royaume à bénéficier de cette ligne, en examinant ses indicateurs économiques ce 31 juillet.
Le Maroc, en échange de bénéficier de cette couverture financière du FMI, avait accepté de placer sous surveillance 5 de ses domaines vitaux :
- Le secteur financier.
- La politique monétaire.
- La qualité des données.
- La politique budgétaire.
- La situation des paiements extérieurs.
Une délégation du FMI avait séjourné au Maroc en juin dernier, passant au crible les comptes du royaume.
Le Maroc risque de mauvaises notes sur deux points essentiels, à savoir le déficit budgétaire aggravé à cause des dépenses publiques notamment ceux de la caisse de compensation et puis la balance des paiements qui par son déficit, a fortement réduit la réserve de change du pays à moins de 3 mois d’exportation.
Le verdict du FMI du 31 juillet prochain, est en plus d’être décisif pour le Maroc pour garder sa LPL de 6.2 milliards de dollars, de lui dépendra les grades du pays chez les agences de notations, nécessaires au royaume pour se garantir des conditions allégées pour se financer sur le marché international des crédits.
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