Tweet
Le parc électrique algérien est vieillissant et très dangereux », a expliqué Thomas Pillot, responsable au sein de Shneider Electric Algérie, dimanche soir, lors d’une rencontre avec des journalistes à Alger. Pour lui, il est nécessaire que le pays adopte des normes obligatoires en termes de sécurité des équipements électriques.
En dépit du recul de la contrefaçon sur le marché, les dangers des composants et équipements électriques installés sont toujours présents, a-t-il ajouté. Se référant à ses visites de travail aux différents clients, il estime que pas moins de 80 % des équipements installés dans les administrations et les entreprises algérienne sont contrefaits. En plus de cette menace, les Algériens sont confrontés aux risques du vieillissement des installations et des appareils.
La filiale algérienne du groupe Schneider Electric a réalisé, en 2012, un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros, soit une croissance de 30 % par rapport à 2011, a expliqué son PDG, Christoph Begat, présent à la rencontre. Pour l’année en cours, la société espère garder « le même rythme » de croissance. La cadence soutenue du développement de la société s’explique par la dynamique que connait le marché algérien avec le lancement d’importants projets de logements, d’infrastructures et de transports, a expliqué M. Christoph Begat.
L’attrait du marché algérien est appuyé par l’importance du plan d’investissement d’urgence du groupe Sonelgaz, a-t-il souligné, en affirmant que sa société s’intéresse également au programme algérien de développement des énergies renouvelables. « Un domaine où nous avons de belles choses à proposer », dit-il.
Christoph Begat a relevé des problèmes rencontrés par sa société. Il s’agit en premier lieu de retards dans le paiement des équipements et des prestations de la société par certains clients, notamment publics. L’autre inconvénient du marché algérien a trait à la contrefaçon. Les produits de Shneider Electric souffrent moins de ce phénomène depuis qu’il a formé des douaniers algériens à la détection des produits contrefaits
tsa
En dépit du recul de la contrefaçon sur le marché, les dangers des composants et équipements électriques installés sont toujours présents, a-t-il ajouté. Se référant à ses visites de travail aux différents clients, il estime que pas moins de 80 % des équipements installés dans les administrations et les entreprises algérienne sont contrefaits. En plus de cette menace, les Algériens sont confrontés aux risques du vieillissement des installations et des appareils.
La filiale algérienne du groupe Schneider Electric a réalisé, en 2012, un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros, soit une croissance de 30 % par rapport à 2011, a expliqué son PDG, Christoph Begat, présent à la rencontre. Pour l’année en cours, la société espère garder « le même rythme » de croissance. La cadence soutenue du développement de la société s’explique par la dynamique que connait le marché algérien avec le lancement d’importants projets de logements, d’infrastructures et de transports, a expliqué M. Christoph Begat.
L’attrait du marché algérien est appuyé par l’importance du plan d’investissement d’urgence du groupe Sonelgaz, a-t-il souligné, en affirmant que sa société s’intéresse également au programme algérien de développement des énergies renouvelables. « Un domaine où nous avons de belles choses à proposer », dit-il.
Christoph Begat a relevé des problèmes rencontrés par sa société. Il s’agit en premier lieu de retards dans le paiement des équipements et des prestations de la société par certains clients, notamment publics. L’autre inconvénient du marché algérien a trait à la contrefaçon. Les produits de Shneider Electric souffrent moins de ce phénomène depuis qu’il a formé des douaniers algériens à la détection des produits contrefaits
tsa
Commentaire