Tweet
Des silos métalliques, destinés au stockage de céréales et à l’agroalimentaire, fabriqués en Algérie. Ce sera désormais possible à la faveur d’un partenariat industriel algéro- italien concrétisé par la signature hier et sous l’égide du ministre de l’Industrie, d’un pacte d’actionnariat liant le groupe Batimetal et l’équipementier italien Borghi group.
Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) - Détenue à 60% par Batimetal et à 40% par Borghi, une société a été créée pour la réalisation, à Aïn Defla, de 30 sites de silos métalliques destinés au stockage de céréales, aliments de bétail et pour l’oléiculture. Il s’agira de la conception et de la fabrication de silos métalliques de stockage de grains, de farine, du maïs, de l’orge et du blé ainsi que du soja, colza et tournesol, sur une durée de 18 mois et d’une capacité de 20 000 tonnes par site. D’un coût de 770 millions de dinars avec des concours bancaires et prévu opérationnel d’ici 6 mois, ce projet s’inscrit dans le cadre du plan de développement de la filière de la construction métallique. Un projet industriel de type ensemblier et dont le taux d’intégration devrait croître de 50% durant la première année à 80% au cours des années suivantes. Ce projet permettra en fait, la réduction de la facture d’importation d’infrastructures de stockage, comme Chérif Rahmani n’a pas manqué de le relever. Renforçant les capacités de réalisation de Batimetal, un groupe qui se modernise au grand satisfecit du ministre de l’Industrie, ce partenariat permettra en fait à l’Algérie, d’accéder au club fermé des pays spécialisés dans la fabrication d’installations de stockage. Comme ce partenariat permettra une satisfaction optimale de la forte demande nationale, d’autant qu’un marché a été conclu avec l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) pour la fourniture de 1 500 silos fermés. Une commande qui pourra être satisfaite à raison de 360 silos réalisables en quelques mois, indique-t-on. Et cela même si le recours à l’exportation escompté par le partenaire italien, soucieux de pénétrer les marchés régionaux environnants, n’est pas écarté à terme. Outre le transfert de technologie et de l’expertise italienne, les deux partenaires ciblent la création de 300 postes d’emploi dont une cinquantaine au profit des cadres universitaires ainsi que le renforcement de la formation en ingénierie et montage.
C. B.
le soire d'algerie
Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) - Détenue à 60% par Batimetal et à 40% par Borghi, une société a été créée pour la réalisation, à Aïn Defla, de 30 sites de silos métalliques destinés au stockage de céréales, aliments de bétail et pour l’oléiculture. Il s’agira de la conception et de la fabrication de silos métalliques de stockage de grains, de farine, du maïs, de l’orge et du blé ainsi que du soja, colza et tournesol, sur une durée de 18 mois et d’une capacité de 20 000 tonnes par site. D’un coût de 770 millions de dinars avec des concours bancaires et prévu opérationnel d’ici 6 mois, ce projet s’inscrit dans le cadre du plan de développement de la filière de la construction métallique. Un projet industriel de type ensemblier et dont le taux d’intégration devrait croître de 50% durant la première année à 80% au cours des années suivantes. Ce projet permettra en fait, la réduction de la facture d’importation d’infrastructures de stockage, comme Chérif Rahmani n’a pas manqué de le relever. Renforçant les capacités de réalisation de Batimetal, un groupe qui se modernise au grand satisfecit du ministre de l’Industrie, ce partenariat permettra en fait à l’Algérie, d’accéder au club fermé des pays spécialisés dans la fabrication d’installations de stockage. Comme ce partenariat permettra une satisfaction optimale de la forte demande nationale, d’autant qu’un marché a été conclu avec l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) pour la fourniture de 1 500 silos fermés. Une commande qui pourra être satisfaite à raison de 360 silos réalisables en quelques mois, indique-t-on. Et cela même si le recours à l’exportation escompté par le partenaire italien, soucieux de pénétrer les marchés régionaux environnants, n’est pas écarté à terme. Outre le transfert de technologie et de l’expertise italienne, les deux partenaires ciblent la création de 300 postes d’emploi dont une cinquantaine au profit des cadres universitaires ainsi que le renforcement de la formation en ingénierie et montage.
C. B.
le soire d'algerie