A Tindouf dans le Sahara oriental, contrôlé par l’Algérie, le ministre algérien de l’intérieur, a déclaré que son pays faisait face à «une nouvelle forme de terrorisme, le trafic de drogue».
Daho Ould Kablia qui accompagne le premier ministre algérien Abdelmalek Sellal, dans sa visite à cette région du Sahara oriental, occupée par les milices du front Polisario, a déploré que «Nous menons une guerre. C’est une guerre contre une nouvelle forme de terrorisme et le trafic de drogue est une activité terroriste».
Ould Kablia a ajouté que «il y a des bandes très organisées tant du côté algérien que du côté marocain», soulignant qu’il existait «une complémentarité extraordinaire entre ces bandes».
«Nous avons pris des mesures lors de la réunion du conseil interministériel, il y a une trentaine de mesures qui ont été arrêtées lors de cette réunion, dont celle qui permet à l’armée d’intervenir dans la lutte contre le trafic de drogue» a expliqué le bureaucrate algérien, dans une déclaration faite à l'organe d'orientation et d'information du régime APS.
A rappeler que l’Algérie est le premier fournisseur de drogues psychotropes aux effets dégradants et empoisonneurs, en Afrique du nord, ses effets sont dangereux pour la santé publique autant en Algérie qu’au Maroc.
Outres cela, l’Algérie est incontestablement la route de la cocaïne, qui remonte du Sahel, vers l’Europe et vers le Maroc, empruntant les mêmes chemins algériens de contrebande et de traites d’êtres humains, y facilités par la prolifération de la corruption.
lemag.ma
Daho Ould Kablia qui accompagne le premier ministre algérien Abdelmalek Sellal, dans sa visite à cette région du Sahara oriental, occupée par les milices du front Polisario, a déploré que «Nous menons une guerre. C’est une guerre contre une nouvelle forme de terrorisme et le trafic de drogue est une activité terroriste».
Ould Kablia a ajouté que «il y a des bandes très organisées tant du côté algérien que du côté marocain», soulignant qu’il existait «une complémentarité extraordinaire entre ces bandes».
«Nous avons pris des mesures lors de la réunion du conseil interministériel, il y a une trentaine de mesures qui ont été arrêtées lors de cette réunion, dont celle qui permet à l’armée d’intervenir dans la lutte contre le trafic de drogue» a expliqué le bureaucrate algérien, dans une déclaration faite à l'organe d'orientation et d'information du régime APS.
A rappeler que l’Algérie est le premier fournisseur de drogues psychotropes aux effets dégradants et empoisonneurs, en Afrique du nord, ses effets sont dangereux pour la santé publique autant en Algérie qu’au Maroc.
Outres cela, l’Algérie est incontestablement la route de la cocaïne, qui remonte du Sahel, vers l’Europe et vers le Maroc, empruntant les mêmes chemins algériens de contrebande et de traites d’êtres humains, y facilités par la prolifération de la corruption.
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