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Algérie invite ses voisins pour lutter contre la contrebande

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  • Algérie invite ses voisins pour lutter contre la contrebande

    (APS) jeudi 25 juillet 2013 09 : 03
    Sellal appelle les Etats maghrébins à se concerter pour la sécurisation des frontières et la lutte contre la contrebande
    TINDOUF - Le Premier ministre, Abdelamlek Sellal, a appelé les Etats maghrébins à se concerter et à coopérer pour la sécurisation de leurs frontières communes et faire face à la contrebande.

    M. Sellal a estimé, lors d’une rencontre avec les représentants de la société civile de la wilaya de Tindouf, dans la soirée du mercredi, qu’il était "impératif pour les Etats maghrébins de se concerter et de coopérer pour la sécurisation de leurs frontières communes et la lutte contre le phénomène de la contrebande".

    Il a, par ailleurs, affirmé que "l’Algérie n’a aucun problème avec les Etats voisins" et que "sa position basée sur le bon voisinage est constante".

    "L’Algérie n’a de comptes à régler avec quiconque et ne veut avoir de problèmes avec quiconque", a-t-il ajouté.

    "Nous sommes des partisans du bien et non du mal", a-t-il indiqué. "Nous sommes des partisans du dialogue pour assurer paix et sécurité à notre nation algérienne et à la nation maghrébine tout entière", a-t-il dit.

    Par ailleurs, il a appelé à la coopération économique entre tous les Etats maghrébins, relevant que le phénomène de la contrebande "a pris des proportions alarmantes".

    "Les fonds récoltés par les contrebandiers sont utilisés pour l’achat de friperie et de drogue pour les commercialiser en Algérie", a-t-il déploré.

    Le Premier ministre a indiqué, par ailleurs, que l’Etat algérien accordait une "grande importance" au développement des régions du sud et à l’amélioration des conditions de vie de leurs populations.

    "L’Etat qui accorde une grande importance au développement du sud, s’est fixé comme priorité de développer ces régions et d’améliorer les conditions socioprofessionnelles des populations locales, notamment les jeunes", a-t-il souligné à ce propos.

    Il a expliqué, dans ce cadre, que les projets d’investissement que l’Etat prévoit de lancer dans cette wilaya de l’extrême sud à l’image de l’exploitation prochaine du gisement de fer de Ghar Djebilat, "permettront de créer de nombreux postes de travail au profit des jeunes de cette région".

    Il a notamment annoncé, dans ce contexte, une enveloppe complémentaire de 3,84 milliards DA en faveur de la wilaya de Tindouf destinée à imprimer une impulsion à l’action de développement dans différents domaines.

    Le Premier ministre a achevé sa visite de travail dans la wilaya de Tindouf (wilaya frontalière de l’extrême sud-ouest), tard dans la soirée de mercredi, après avoir lancé et inspecté plusieurs projets de développement dans cette wilaya frontalière de l’extrême sud. "Les fonds récoltés par les contrebandiers sont utilisés pour l’achat de friperie et de drogue pour les commercialiser en Algérie", a-t-il déploré.

  • #2
    Pour lutter efficacement contre la contrebande une frontière ouverte et mieux contrôlée semble nécessaire.

    M Sellal veut nous faire croire qu'il n'y a pas de contentieux avec le voisin de l'ouest mais il prend les gens pour des neuneux ma parole !!!

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    • #3
      qu'ils commencent d'abord à lutter de l'autre coté... les psychotropes sont plus dangereux que le cannabis.

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      • #4
        les autres pays doivent l'inviter à finir rapidement leur tranché, murs en dur, mur en contenneurs, frontieres electroniques

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        • #5
          ils sont entrain de creuser des tranchés non??

          donc c'est réglé pour l'Algérie...

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          • #6
            c'est pas demain la veille, il faut faire appel aux chinois sinon c'est comme le métro d'Alger, il a mis plus de 10 ans a se faire.
            Allah al watan al malik

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            • #7
              c'est pas demain la veille, il faut faire appel aux chinois sinon c'est comme le métro d'Alger, il a mis plus de 10 ans a se faire.

              AZPARIS95
              Tu veux dire 26 ans depuis le premier coup de pioche !!

              22/04/2009 / Algerie Le métro d’Alger, on en parle depuis 26 ans, il arrive enfin
              Non, cette fois ce n'est pas une blague. Vingt-six ans après le premier coup de pioche, le métro d'Alger pourrait - peut-être - être opérationnel début 2010. Notre Observateur confirme que tout est prêt et nous envoie les premières photos de la merveille.
              Début avril, le ministre algérien des Transports, Amar Tou, en a annoncé l'ouverture au public pour le début de l'année 2010. Il était temps : le lancement officiel des travaux du métro d'Alger remonte à... 1983. Depuis, entre crise économique, instabilité politique et enfer sécuritaire, le projet s'est enlisé dans les sous-sols d'Alger "la Blanche". Après avoir vu passer cinq présidents de la République et englouti près de 140 milliards de dinars (environ 200 millions d'euros), le métro algérois est devenu, aujourd'hui, un sujet de blagues entre les habitants de la capitale.
              Longue de 9 kilomètres, la première ligne du métro traversera la moitié du centre d'Alger pour rejoindre l'est de la ville, en dix stations. Elle fonctionnera de 5 heures à 23 heures, sous l'œil d'une brigade de police spécialement formée pour assurer la sécurité dans et autour des stations. Le tout sera supervisé par la Régie autonome des transports parisiens (RATP), qui a signé un contrat avec l'Entreprise du métro d'Alger (EMA) portant sur une "assistance technique à l'exploitation et à la maintenance pendant les cinq premières années de la mise en service".

              "Malgré tout, je trouve que nous sommes dans les délais"

              Nassym Djender, 43 ans, habite le célèbre quartier de Bab el-Oued, à Alger. Il est journaliste au quotidien sportif "Le Buteur".
              Le métro d'Alger, c'est un vieux rêve. Au tout début des travaux, alors que j'étais encore adolescent, je m'étais aventuré sur le chantier : j'avais vite compris que ce ne serait pas pour tout de suite ! L'ambiance de travail... disons qu'elle ne laissait guère l'impression de la rigueur.
              Depuis, j'ai quitté mon quartier, ma ville, mon pays. J'ai bourlingué, puis j'ai "brûlé" en sens inverse [je suis revenu clandestinement en Algérie depuis la France, NDLR]. Et le métro est toujours en construction !
              Malgré tout, je trouve que nous sommes dans les délais, si on tient compte des dix années de terrorisme qui ont bloqué le pays. Regardez l'Égypte, qui a mis 29 ans à construire son métro... Nous sommes plus forts que les Pharaons !
              Le plus important est que, désormais, le métro d'Alger, on peut le voir. Nous savons qu'il est prêt, fini, bientôt opérationnel.
              Mon rêve ? Monter dedans, dans ma ville, mon pays, avec mes enfants, mes parents, ma famille, mes amis, partager ce moment de bonheur. Savoir que les automobilistes seront soulagés dans les rues encombrées d'Alger."

              France24
              Dernière modification par Serpico, 26 juillet 2013, 16h27.

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              • #8
                Sellal appelle les états maghrébins à la sécurisations des frontiere.
                Ils sont tellement occupé à Alger par la lutte pour le pouvoir qu'ils n'ont pas le temps pour les frontieres.
                Sellal demande une coopération économique entre les états du maghreb.qu'il nous éxplique comment avec les frontieres férmées.

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                • #9
                  Tu veux dire 26 ans depuis le premier coup de pioche !!

                  Que dire des pauvres qui attendent depuis plus de 40 ans un petit coup de pioche


                  Le métro de Casablanca est un projet de transport en commun, de type métro léger, concernant Casablanca

                  Depuis les années 1970, ce projet est régulièrement présenté comme la solution qui permettra de résoudre les problèmes de circulation de la ville, mais il tarde à voir le jour1.
                  Dans les années 1980 et 1990, des études de faisabilités impliquant des entreprises étrangères sont nombreuses, celle réalisée par des Japonais au début des années 1980 sert de bases aux projets des consortiums étrangers où l'on note la présence d'entreprises comme Bouygues ou Bombardier. En 1998, le quotidien L'Économiste relate ces projets dans un article évocateur : « Le métro fantôme de Casablanca
                  "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                  • #10
                    hachich appartient au roi Mohamed 6, pétrole appartient au président Bouteflika,
                    hna ghir kheddamine,
                    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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                    • #11
                      Crise cardiaque: comment détecter les signes avant-coureurs?


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                      • #12
                        wallace72

                        Sauf que nous on frime pas partout qu on a 200 milliards de dollars , le maroc a quand meme fait bcp de chose par rapport a nos moyens ,

                        Le jour du premier coup de pioche l'Algerie avait une dette de 36 milliards USD .

                        Aujourd'hui alhamdo lillah nous avons le METRO et 200 milliards USD de réserve .

                        Le reste de ton poste je le mets sur le compte du
                        Dernière modification par AARROU, 26 juillet 2013, 17h06.
                        "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                        • #13
                          Wosnay

                          Crise cardiaque: comment détecter les signes avant-coureurs?

                          Parler au Passé

                          la france ne nous a rien laisser nous en tous cas pas un gros territoire volé au voisin.
                          "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                          Commentaire


                          • #14
                            Crise cardiaque: comment détecter les signes avant-coureurs?


                            http://www.algerie-dz.com/forums/sho...8&postcount=12



                            Wosnay
                            On réalise un projet en fonction de son utilité .

                            Pour un métro c'est quand la ville dépasse les 1O millions d'habitants!!

                            Si c'est pour frimer et avoir un résultat comme celui ci blach !!

                            Il vaut mieux opter pour d'autres moyens de locomotions communs plus accessibles et moins couteux dans la réalisation
                            Une année après sa mise en service

                            Métro d’Alger : un transport de masse ou de luxe ?

                            Par : Farid Abdeladim

                            Si ce moyen de transport offre toutes les conditions de confort et de sécurité, les Algérois ne se bousculent pas pour le prendre à cause du prix du ticket qui est de 50 DA et qu’ils jugent “cher”, alors que le coût de revient réel est de 84 DA.

                            Une année presque, jour pour jour, après la mise en service de la ligne 1 (Alger-Haï El-Badr, 9,5 km), le métro d’Alger est loin de répondre aux attentes des citoyens. Et l’expression chère à la classe ouvrière d’outre-mer, “boulot-métro-dodo”, n’a, pour l’instant, pas de sens dans le langage algérois. Et pour cause, ni les tarifs, ou plutôt le tarif unique fixé à
                            50 DA, ni l’itinéraire desservi par le métro ne sont faits pour encourager les Algérois à opter pour ce nouveau moyen de transport. Cet avis est partagé par tout le monde, ou presque. “Franchement, je me demande s’il s’agit d’un moyen de transport de masse ou plutôt de luxe ?” ironise un passager, contraint tout de même de prendre le métro en cette soirée automnale.
                            C’était par une nuit d’automne, vers 22 heures. Les voitures étaient alors presque toutes vides. Le décor restera là, même après les dix stations, de la Grande-Poste à Haï El-Badr. Et le même passager de reprendre, cette fois-ci avec un air plus sérieux : “C’est bien dommage qu’un tel moyen de transport, avec tout le confort, la rapidité et surtout la sécurité qu’il offre, ne serve pas grand monde, car à 50 DA le simple aller, le métro n’est pas accessible à la classe ouvrière.” Son compagnon, lui, déplore, en outre, le fait de pratiquer le même tarif (50 DA) pour différentes distances. “Je n’arrive surtout pas à comprendre le fait qu’ on doit payer le même prix, que ce soit pour aller d’une station à une autre, exemple de la Grande-Poste à Khelifa-Boukhalfa, ou pour un déplacement plus loin de plusieurs stations ?” se demande-t-il. Devant cette réalité, la tutelle ne semble pas en mesure de proposer un tarif meilleur que celui pratiqué jusqu’ici.

                            Quand Tou n'y peut rien...
                            Contraint de répondre, même “en off”, à la question d’un confrère sur ce sujet précis, à l’occasion de sa visite effectuée dernièrement sur le tronçon d’extension du métro de Haï El-Badr à El-Harrach, le ministre des Transports, Amar Tou, lui-même ne trouve pas meilleure solution que d’inviter les “mécontents à opter pour le bus” ! Il s’explique tout de même : “Il faut savoir qu’avec 50 DA le ticket simple, et 35 DA pour un ticket d’abonnement, la moyenne du prix d’un simple voyage se situe à hauteur de 40 DA, alors que le prix réel est estimé à 84 DA. C’est pour vous dire que le citoyen ne paye, à présent, que la moitié du prix réel, et les 44 DA restants proviennent de la subvention de l’État. Je pense que nous ne pouvons pas faire plus. Et ceux qui jugent que le ticket est cher n’ont qu’à opter pour d’autres moyens de transport tels que les bus.”
                            On ne peut mieux, la sentence est claire ; il ne faut surtout pas espérer que le prix du métro baisse.
                            Le prix n’est toutefois pas le seul paramètre par lequel s’expliquerait la “désertion” du tunnel par les citoyens, notamment durant les navettes nocturnes. Car, il y a aussi la capitale qui dort. Il faut dire qu’à la tombée de la nuit, le tunnel du métro est même plus illuminé et mieux sécurisé que la plupart des rues d’Alger. “Ici, je dirais que c'est même plus animé qu'au-dessus”, souligne, avec un brin d'ironie, le chef de la sécurité à la station de la Grande-Poste, de garde cette nuit-là. De l’avis du même responsable, “si le métro est souvent vide la nuit, c’est parce que notre capitale ne vit pas la nuit. Comment voulez-vous voir des gens ici, alors qu’au-dessus, tout est fermé?” Autrement, le problème de sécurité ne se pose guère ici.
                            “Jamais un client ne s’est plaint un jour d’un problème de sécurité. Tout le long du tunnel est doté de moyens de télécommunication hautement sophistiqués, et de caméras, lesquelles nous permettent de détecter à la seconde près tout ce qui s’y passe”, atteste, en effet, l’agent de l’EMA, (Entreprise du métro d’Alger), selon qui le volet sécurité constitue l’une des grandes satisfactions de ce moyen de transport souterrain. Et un habitué du tunnel de renchérir : “Sur le plan sécuritaire, il constitue, à mon avis, le moyen de transport le plus sûr.”
                            Malgré cela, le nombre de voyageurs transportés par le métro reste très en deçà de sa capacité réelle estimée à
                            21 000 passagers par jour dans un seul sens, soit 120 millions de voyageurs par an. Même dans la journée, il constitue le moyen de transport le moins fréquenté par les Algérois.
                            Contrairement au tramway qui affiche souvent archicomble, du fait que la fraude semble presque permise (voir le reportage de notre édition du lundi 29 octobre), dans le métro, le contrôle reste très sévère. Ce qui expliquerait, en partie, le peu d’intérêt porté à ce moyen de transport forcément payant.
                            En attendant leur extension vers d’autres localités à l’est et à l’ouest d’Alger, le métro tout comme le tram continuent à faire leurs navettes sur le budget de l’État…

                            F A
                            Liberté



                            Dernière modification par Serpico, 26 juillet 2013, 17h13.

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                            • #15
                              Aarou

                              Bientôt casablanca aura son metro aérien

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