Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Vaste opération de privatisation d’entreprises publiques

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Vaste opération de privatisation d’entreprises publiques

    L’Algérie envisage de privatiser entre 150 et 200 petites et moyennes entreprises (PME) publiques d’ici à la fin de l’année, selon de nouveaux critères, a appris TSA de source proche du dossier. « L’inventaire est en cours mais nous avons déjà identifié entre 150 et 200 entreprises à privatiser.

    C’est ce que nous appelons les actifs dormants », a précisé notre source. À la clé : créer et sauvegarder plusieurs dizaines de milliers d’emplois dans un secteur industriel public en déclin permanent depuis plusieurs années.

    Plusieurs secteurs sont concernés par cette opération, la première du genre depuis plusieurs années : l’industrie manufacturière, le textile, les matériaux de construction, l’agroalimentaire... « Nous privilégions les secteurs où le partenaire peut apporter un plus en matière de technologie et de savoir-faire », a précisé notre source. « Nos usines souvent vieilles et obsolètes. Nous avons besoin de l’apport d’un partenaire pour les relancer et les développer », a-t-elle ajouté.

    Pour le choix des partenaires, le gouvernement a introduit de nouveaux critères. « Ce n’est plus des privatisations comme dans le passé où des usines ont été entièrement vendues avec les assiettes foncières. Il s’agit de partenariats avec des opérateurs nationaux ou étrangers avec comme objectif de développer ces entreprises », selon notre source. La part des opérateurs privés nationaux peut atteindre 60% contre 40% pour l’État dans certains cas. « Dans d’autres cas, quand l’usine est à l’arrêt, l’opérateur national peut obtenir jusqu’à 99% des parts pour relancer l’activité », selon la même source.

    Les opérateurs étrangers pourront être associés de 1 à 49%, selon leurs capacités financières et leurs ambitions en Algérie. « Il ne s’agit plus d’imposer au partenaire étranger d’être associé à hauteur de 49%, à prendre ou à laisser. Le partenaire étranger peut obtenir de 1 à 49% de parts. Mais il ne peut pas être majoritaire », a précisé notre source.

    Dans le cadre de cette opération, le ministère de l’Industrie a lancé début juillet un « Appel à projet » destiné aux opérateurs algériens et étrangers, invités à s’associer avec des entreprises publiques algériennes dans 18 filières. « Cet appel est valable jusqu’à la fin de l’année. Ensuite, il y aura une sélection des partenaires sur des critères extrêmement objectifs. Les partenaires seront orientés et bénéficieront d’un accompagnement », précise notre source.

    TSA
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

  • #2
    citation:

    « Nos usines souvent vieilles et obsolètes. Nous avons besoin de l’apport d’un partenaire pour les relancer et les développer »,


    mais personne n'a intérêt à acheter des usines à refaire ,c'est pas rentable du tout ,le privé ne fait pas de sociale

    Commentaire


    • #3
      personne n'a intérêt à acheter des usines à refaire

      Déja à peine l'idée commence à germe, que tu lui trouve une équation impossible, quand le texte éxisterai là ton esprit critique serait le bienvenu, pour le moment ce n'est qu'une reponse au fcp qui se targue de ne pas etre associé au redressement, le gouvernement lui dit chiche ebda.

      Commentaire

      Chargement...
      X