Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Des produits marocains empruntent le chemin inverse

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Des produits marocains empruntent le chemin inverse

    La contrebande dans l’Oriental va dans les deux sens. Selon un rapport de l’Observatoire de la contrebande, des produits marocains traversent également la frontière pour se retrouver sur les marchés algériens. C’est notamment le cas des produits agricoles et des animaux bovins à l’occasion de l’Aid Al-Adha. D’ailleurs, l’observatoire tire la sonnette d’alarme à ce niveau en prévenant que les contrebandiers transfèrent les animaux de meilleures qualités, ce qui menace sérieusement le cheptel national. Certains vont jusqu’à troquer ces produits contre du carburant, tandis que d’autres utilisent l’Algérie comme tremplin vers le marché libyen où ces animaux rapportent généralement plus gros. On recense par ailleurs au niveau des opérateurs économiques «l’exportation» de produits de textile où l’expertise marocaine est reconnue, notamment les jeans.

    Younes Tantaoui. La Vie éco

  • #2
    Le vrais Article : Maroc : La contrebande inonde le marché, l'industrie est prise en otage


    Alors Bghal pourquoi ? tu poste pas l'article entier de la Vie éco écrit par Younes Tantaoui qui est daté du 24 juin 2013





    .
    Dernière modification par MEK, 29 juillet 2013, 11h37.

    Commentaire


    • #3
      Du 300 contre 1 !

      Ces dernières années, le phénomène a pris une ampleur inédite et atteint des sommets incroyables. Les tensions dans les pays du Sahel, l’augmentation du prix du carburant sur le marché mondial, des prix très bas en Algérie, des contrebandiers constitués en réseaux depuis des années expliquent l’intérêt pour le carburant qui est devenu une de source d’enrichissement rapide.

      Il faut aussi préciser que les circuits d’acheminement de ce carburant sont les même que ceux empruntés par les trafiquants de drogue …c’est dire, l’entente cordiale et le partenariat engagé entre les différents corps de métier qui composent ce monde. Environ 300 produits de large consommation dont les prix sont soutenus en Algérie enrichissent les étals des magasins marocains au vu et au su de tout le monde. Il ne se trouvera aucune structure pour demander une facture ou enquêter sur l’origine de ces produits… En retour, une seule denrée nous arrive de ce pays voisin.

      Commentaire


      • #4
        j'ai de la famille à Maghniyya qui fait la contrebande d'Oujda par la route al wahda ,ils achètent des épices, des espadrilles et des vêtements traditionnels pour femmes( djellabas ,caftans )
        Dernière modification par haddou, 29 juillet 2013, 11h56.

        Commentaire


        • #5
          Le vrais Article : Maroc : La contrebande inonde le marché, l'industrie est prise en otage


          pourquoi ? tu poste pas l'article entier de la Vie éco écrit par Younes Tantaoui qui est daté du 24 juin 2013
          Tu as déjà répondu a ta question, parce que, c'est un
          Dernière modification par Wosnay, 29 juillet 2013, 12h34.

          Commentaire


          • #6
            haddou
            j'ai de la famille à Maghniyya qui fait la contrebande d'Oujda par la route al wahda ,ils achètent des épices, des espadrilles et des vêtements traditionnels pour femmes( djellabas ,caftans )

            Les épices ?? je doute fort .

            Pour les caftans même a Oujda les femmes ne les portent pas,que dire de Lalla Maghnia ?

            C'est plutôt la robe Algérienne
            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

            Commentaire


            • #7
              Pour les caftans même a Oujda les femmes ne les portent pas,que dire de Lalla Maghnia ?

              par AARROU


              Lalla Maghnia n'est pas le point de chute ,c'est un transit simplement

              Commentaire


              • #8
                haddou
                Lalla Maghnia n'est pas le point de chute ,c'est un transit simplement


                Pour aller remplacer la robe Kabyle ????
                "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                Commentaire


                • #9
                  Pour aller remplacer la robe Kabyle ????

                  par AAROU

                  quand il y a de la contrebande ,il y a de la demande ,aucun produit ne remplace un autre ,c'est une question de gout du consommateur , à ORAN et ALGER il existe des magasins qui vendent ces vêtements traditionnels du Maroc ,comme, il existe au Maroc des vêtements algériens même à Rabat

                  Commentaire


                  • #10
                    le mec il a le crane gonflé par le conneries de l'aps et du fln...

                    Commentaire


                    • #11
                      @ 2 5

                      Younes Tantaoui du journal le vie économique a bien écrit ce que j'ai posté

                      Le sujet était un peu long, ce qui a été copié et collé en bonne et dû forme a été posté pour expliquer à certains et aux autres que la contrebande ne se fait pas seulement et uniquement dans un SEUL SENS

                      Je ne suis pas contre l'envoie à nos frères Algériens les produits agricoles, industriels et autres pour subvenir à leurs besoins de nourritures et de bien être pour ne pas être davantage affamés et assoiffés par leurs généraux et colonels

                      Le carburant certes est indispensable, il est aussi disponible et en grande quantité dans toutes les stations au Maroc, ce qui ne pose pas de problème à toutes les classes de la société Marocaine et est d'une qualité meilleure avec un grand PCI et sans plomb

                      Et surtout le carburant Algérien fait perdre au gouvernement Marocain des sommes d'argent fabuleuses qui concernent les taxes d'une part, bousille et dégrade l'état de la voiture et des autres engins d'autre part

                      Les engins WWW et ceux qui sont en bon état, n'utilisent pas le carburant Algérien, ils vont à la pompe et surtout les sociétés et les entreprises pour justifier leurs dépenses

                      Et tous les Marocains ne sont pas riches pour utiliser et avoir une voiture

                      Tous les peuples ont besoin de quoi manger, mais pas de voitures et carburant même cédé gratuitement

                      Commentaire


                      • #12
                        Je ne suis pas contre l'envoie à nos frères Algériens les produits agricoles, industriels et autres pour subvenir à leurs besoins de nourritures et de bien être pour ne pas être davantage affamés et assoiffés par leurs généraux et colonels
                        Parce que toi tu veux envoyer des produits agricoles a quelqu'un qui en produit 25% de plus que toi ? yakhi Abghalasiation yakhi.

                        Et surtout le carburant Algérien fait perdre au gouvernement Marocain des sommes d'argent fabuleuses qui concernent les taxes d'une part, bousille et dégrade l'état de la voiture et des autres engins d'autre part
                        EQUUS ! le carburant de la contrebande ne va pas servir les Mercedes, il est destiné essentiellement a l'agriculture ,le transport, les petite fabriques, c-a-d ,les secteurs qui font tourner ta misérable économie.
                        Tous les peuples ont besoin de quoi manger, mais pas de voitures et carburant même cédé gratuitement
                        Surtout ceux qui sont pauvres , affamés, est considérés par les organisations internationales comme pays pauvre est "sous-alimenté"


                        TRANCHÉES DE L'ANP TRÈS EFFICACE.
                        Dernière modification par Wosnay, 29 juillet 2013, 20h59.

                        Commentaire


                        • #13
                          le mec il a le crane gonflé par le conneries de l'aps et du fln...
                          C'est l'overdose par des sex-touristes pédophiles de Marrachnek qui gonfle certains fumeurs de moquette haineux enragés
                          "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                          Commentaire


                          • #14
                            LA MALNUTRITION DANS LE MONDE


                            Commentaire


                            • #15
                              @AGHBAL
                              voilà ce que dit la vie .Eco
                              ça tu ne le dit pas
                              *Même le pain algérien se vend à Oujda !
                              70 % de l’économie de l’Oriental sont plombés par la contrebande qui représente un chiffre d’affaires moyen de 6 milliards de DH par an.
                              6 000 personnes vivent de cette activité qui engendre un manque à gagner de 32 400 emplois pour la région.
                              L’écart entre les droits et taxes intérieurs des deux pays entretient le fléau.

                              Oujda, capitale de la contrebande ? Certainement, et encore plus aujourd’hui qu’hier puisque le fléau a pris une ampleur insoupçonnée.
                              Déjà à une bonne centaine de kilomètres de la ville, les prémices de la contrebande sont visibles. Sur la route, toutes sortes de carburants (de l’essence sans plomb au diesel) vous sont proposées par des jeunes et des moins jeunes à travers des «stations- services» aussi mobiles qu’artisanales. Le pouce pointé vers le bas par les vendeurs est un code que tout le monde reconnaît de loin, et pour les novices, il y a des entonnoirs de fortune, disposés sur la chaussée, qui prennent le relais de la symbolique.
                              Les prix sont stables (à partir de 80 DH pour 30 litres d’essence ordinaire, mais plus on s’éloigne des frontières, plus les marges de transport augmentent le coût final, ce qui fait qu’à Berkane, les 30 litres de super atteignent 150 DH) et ne changent que quand l’Algérie décide de rendre «réellement» les frontières imperméables. C’était justement le cas ces derniers jours, à l’occasion du Sommet arabe. Résultat : l’approvisionnement était interrompu et les prix avaient allègrement dépassé le premier seuil de 100 DH les 30 litres.

                              Des climatiseurs à 3 000 DH !
                              En arrivant à Oujda, il n’y a pas que le carburant qui est proposé au vu et au su de tout le monde. Mais c’est le produit phare qui fait que 6 stations-services à peine sont en activité sur une trentaine répertoriée.
                              Hormis le carburant, donc, toutes sortes de produits sont disponibles dans les différents souks, avec une spécialisation pour certains. A souk El Fellah s’écoule le plus grand nombre de produits algériens. L’électroménager et l’électronique y sont vendus moitié moins cher par rapport à l’intérieur du pays. On y trouve aussi du sanitaire italien, des climatiseurs à partir de 3 000 DH et des pneumatiques à partir de 300 DH l’unité.
                              A souk Melilia, comme son nom l’indique, les articles viennent généralement de la ville occupée par l’Espagne. Il y a aussi souk Tanja, où les étalages comptent seulement 50% de produits nationaux, et souk Sebta. Mais le lieu où l’emprise de la contrebande est la plus criante est souk Beni D’rar, qui se trouve à une bonne vingtaine de kilomètres au nord d’Oujda. Dans ce village, commerces et entrepôts regorgent de produits en provenance de l’Algérie, dont on distingue les villages tout proches à vue d’œil.
                              Le Vioxx, interdit par l’OMS, se retrouve dans les étalages
                              Quelle est l’ampleur de la contrebande ? Avant même la fin de la question, la réponse de Driss Houat, président de la Chambre de commerce, d’industrie et de services d’Oujda et député de la ville fuse : «70% de l’économie de la région dépend de la contrebande contre 50 % en 1998, et nous estimons le chiffre d’affaires moyen de cette activité à 6 milliards de DH par an.Une étude de la Chambre de commerce et d’industrie réalisée en 2004 estime le manque à gagner en emplois à 32 400, contre à peine 6 000 créés par l’activité illicite. Et ce n’est pas un hasard si l’Oriental souffre d’un taux de chômage entre 25 et 30 %». Nullement découragé, M. Houat estime que le phénomène est, certes, envahissant mais refuse de le prendre comme une fatalité et énumère quelques propositions pour l’endiguer, comme la création d’une commission de veille, l’introduction de mesures spécifiques en matière d’encouragement ou de fiscalité...
                              Dans l’Oriental, la contrebande est remarquable et touche à peu près tout. A tel enseigne que même les médicaments font, de plus en plus, partie de la «marchandise» exposée dans les souks et notamment à souk El Fellah.

                              Et, comme ironise Zahreddine Taybi, directeur du journal régional Al Hadath Ach Charki, les destinataires des ordonnances, ce ne sont plus les pharmacies mais bien ledit souk, où les vendeurs de médicaments, habitude aidant, n’ont aucun mal à indiquer la posologie et la durée du traitement. Les pharmaciens, comme le dit l’un d’entre eux, Driss Bouchentouf, ex-président du Syndicat des pharmaciens de l’Oriental, expliquent qu’outre le manque à gagner qu’engendre le fléau, c’est la santé des patients qui est en jeu. En effet, disent-ils, «on trouvait, il y a encore deux semaines, sur le souk El Fellah, un médicament comme le Vioxx, un anti-inflammatoire interdit par l’OMS en septembre 2004». Mais le prix est irrésistible, surtout quand le pouvoir d’achat est bas. Exemple : un médicament comme Azantac, un anti-ulcéreux dont la boîte de 20 comprimés coûte 190 DH dans les pharmacies, est exposé à souk El Fellah à 110 DH. Mieux, le paquet compte 30 comprimés.
                              Mais, l’omniprésence de la contrebande dans la région, au-delà de la soif de gain qui l’entretient, s’explique également par la distorsion des taxes entre les deux pays, le poids de la subvention dans le prix des produits algériens et l’écart entre le taux de change officiel du dinar algérien et celui du marché parallèle.
                              Un exemple frappant : les produits céréaliers sont taxés à 90 % au Maroc contre seulement 5 % en Algérie . Il est donc facile de les importer de ce pays à des prix défiant toute concurrence.

                              -Un produit fortement subventionné en Algérie bénéficie du même avantage. L’exemple le plus frappant est celui du pain, vendu à 50 centimes seulement!

                              Petit à petit, toute une région se meurt à cause de quelques petits malins, des deux côtés de la frontière, qui ont su faire leur beurre sur le dos des populations, profitant du fait que les politiques peinent à accorder leurs violons .

                              Pain rond ou baguette, le prix est le même, 50 centimes l’unité !

                              Mohamed El Maâroufi
                              .

                              T as rien à nier ...votre presse qui dit la vérité , une vraie enquête ..

                              Les conséquences des tranchées vont se répercuter sur l Oriental
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X