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La voix de l'Amour
Voix, rose dont chaque pétale est une promesse de bonheur que la brise nocturne caresse pour bercer la plénitude de notre amour confiant dans nos lendemains qui s’édifient.
Voix, évocation exquise des bonheurs simples rayonnant d’exister, éblouissement de l’émerveillé tremblant d’extase devant l’énigmatique inflexion des heures qui réveillent les incitations confuses au voyage et aux errances.
Voix, éclatement d’une durée dont les fragments ornementent la mémoire des serments troublés de nos complicités qui inventent et illuminent nos tendres émois et nos doux sentiments de bonheur.
Ta voix est clameur limpide qui lève les opacités des incompréhensions et conforte les désirs de transparence dont rêvent nos cœurs qui aspirent à la pérennité des insouciances.
Ta voix est douce caresse qui fait briller le regard attendri de nos nuits de turbulence et qui immobilise les inconsistances des doutes et donne vie à le certitude et à la confiance.
Ta voix parvenant des lointains espaces fleuris organise, centre et structure les méandres de mon existence que les frémissements des instants éternisent et embellissent.
Ta voix est une étrange brise qui effleure délicatement le cœur des moments de tes soumissions et qui réveille la vigilance des oublieux des nectars des amours passionnées dont les saveurs suaves inventent et donnent souffle aux impossibilités.
Ta voix est une lueur se mirant dans les caresses cristallines des solitudes que l’espoir de ta présence apaise et métamorphose en des fragments délicieux du temps dont les vibrations scrutent les horizons.
Ta voix est un argument qui condense les hésitations des cœurs impavides, invente la magie des profondeurs et nargue les entraves pour laisser le champ libre au trouble des regard soumis aux lois de la douce tyrannie de l’amour.
Ta voix est une passerelle entre deux cœurs dont l’un n’est jamais que le figure de l’autre, isthme entre deux âmes dont l’une n’est jamais rien d’autre que le réceptacle de l’autre, rayon de soleil qui réchauffe les cœurs et les âmes assoiffés des tourments de la passion.
Ta voix est une subtile résonance qui charme et éblouit les immensités troublées où s’attardent voluptueusement les amants dont le regard, subjugué par les embrasements intermes, consume les limites des horizons.
Ta voix est une douce invite à l’évasion vers des ailleurs où les possibles réveillent les résignations, où la pureté de l’amour célèbre les noms de l’amour dont il chante les envoûtements, où le temps abdique devant les prières et les suppliques des heures qui tremblent de désir et du légitime souci de perpétuation.
Ta voix est créatrice de royaumes régis par les rêves de mondes inaccessibles, source d’intuition qui dilate la vastitude des espaces mystérieux d’un cœur qui aime un autre cœur, voluptueuses sensations frémissantes de désirs de jouissance et d’abandon.
Ta voix est une rêverie prégnante qui aimante les impatiences, immobilise les errances, calme les turbulences, apprivoise les fulgurances des passions, consume les hésitations et enchante les espaces des connivences et des harmonieuses fusions.
Voix, rose dont chaque pétale est une promesse de bonheur que la brise nocturne caresse pour bercer la plénitude de notre amour confiant dans nos lendemains qui s’édifient.
Voix, évocation exquise des bonheurs simples rayonnant d’exister, éblouissement de l’émerveillé tremblant d’extase devant l’énigmatique inflexion des heures qui réveillent les incitations confuses au voyage et aux errances.
Voix, éclatement d’une durée dont les fragments ornementent la mémoire des serments troublés de nos complicités qui inventent et illuminent nos tendres émois et nos doux sentiments de bonheur.
Ta voix est clameur limpide qui lève les opacités des incompréhensions et conforte les désirs de transparence dont rêvent nos cœurs qui aspirent à la pérennité des insouciances.
Ta voix est douce caresse qui fait briller le regard attendri de nos nuits de turbulence et qui immobilise les inconsistances des doutes et donne vie à le certitude et à la confiance.
Ta voix parvenant des lointains espaces fleuris organise, centre et structure les méandres de mon existence que les frémissements des instants éternisent et embellissent.
Ta voix est une étrange brise qui effleure délicatement le cœur des moments de tes soumissions et qui réveille la vigilance des oublieux des nectars des amours passionnées dont les saveurs suaves inventent et donnent souffle aux impossibilités.
Ta voix est une lueur se mirant dans les caresses cristallines des solitudes que l’espoir de ta présence apaise et métamorphose en des fragments délicieux du temps dont les vibrations scrutent les horizons.
Ta voix est un argument qui condense les hésitations des cœurs impavides, invente la magie des profondeurs et nargue les entraves pour laisser le champ libre au trouble des regard soumis aux lois de la douce tyrannie de l’amour.
Ta voix est une passerelle entre deux cœurs dont l’un n’est jamais que le figure de l’autre, isthme entre deux âmes dont l’une n’est jamais rien d’autre que le réceptacle de l’autre, rayon de soleil qui réchauffe les cœurs et les âmes assoiffés des tourments de la passion.
Ta voix est une subtile résonance qui charme et éblouit les immensités troublées où s’attardent voluptueusement les amants dont le regard, subjugué par les embrasements intermes, consume les limites des horizons.
Ta voix est une douce invite à l’évasion vers des ailleurs où les possibles réveillent les résignations, où la pureté de l’amour célèbre les noms de l’amour dont il chante les envoûtements, où le temps abdique devant les prières et les suppliques des heures qui tremblent de désir et du légitime souci de perpétuation.
Ta voix est créatrice de royaumes régis par les rêves de mondes inaccessibles, source d’intuition qui dilate la vastitude des espaces mystérieux d’un cœur qui aime un autre cœur, voluptueuses sensations frémissantes de désirs de jouissance et d’abandon.
Ta voix est une rêverie prégnante qui aimante les impatiences, immobilise les errances, calme les turbulences, apprivoise les fulgurances des passions, consume les hésitations et enchante les espaces des connivences et des harmonieuses fusions.
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