Est-ce la fin de la sidérurgie algérienne après sa fusion avec le groupe Arcelor le géant Mittal Steel envisage de probablement de se retirer du pays. Cette nouvelle inquiétante serait une véritable catastrophe pour le sidérurgie nationale, et pour les milliers de travailleur et leurs familles qui dépendent de cette usine. A moyen terme la privatisation de cet ensemble industriel semble être un échec puisque cette opération ne semble pas avoir donné les fruits escomptés dans d'autres articles nationaux on affirme que la production n’atteint pas les objectifs pour de multiples causes, mais ce qui choc le plus ce sont les gros soupçons pour ne pas dire les accusassions qui pèsent sur le dos des travailleurs que l’on accusent de sabotage… Autre acteur en scène l'européen Arcelor qui exerce des pressions sur Mittal pour que celui-ci quitte l'Algérie puisque d'après les européens le site d'Alhadjar ne semble pas être rentable.
Que pensez-vous de toute cette affaire ?
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Le groupe Mittal Steel présent en Algérie avec sa participation dans le complexe sidérurgique d’El Hadjar près d’Annaba, pourrait se retirer du marché algérien prochainement, selon des sources proches de de la direction du complexe Ispat.
mercredi 30 août 2006.
C’est ce qu’affirment nos sources qui indiquent que ce sont les conséquences de la dernière fusion entre le groupe sidérurgique indien Mittal Steel et l’européen Arcelor (dont le siège se trouve au Luxembourg), signée en juillet dernier, ce qui a donné naissance à Arcelor-Mittal. Ces conséquences devront se répercuter prochainement sur le complexe sidérurgique d’El-Hadjar à l’est de l’Algérie (Mittal Steel détient 70% des actions, alors que l’entreprise publique algérienne Sider en possède 30%). Selon des sources proches de la direction du complexe Ispat, le géant mondial indien se prépare en catimini à se retirer d’El-Hadjar sans faire de bruit.
Ainsi, il serait prévu que sur la quinzaine d’Indiens qui sont en poste actuellement, seulement cinq devront rester. Ces derniers continueront à assumer leur charge au niveau de certains départements-clés tels ceux de l’approvisionnement, du commerce et des finances. Des postes de responsabilité d’une importance primordiale dans la gestion du complexe que Mittal Steel ne compte vraisemblablement pas abandonner pour le moment. D’ailleurs, des changements palpables ont été enregistrés depuis deux semaines au niveau de plusieurs secteurs. Plusieurs postes de responsabilité ont été doublés et des duos indo-algériens ont été créés.
Ainsi, même si rien d’officiel n’a été annoncé au niveau de la direction du nouveau géant mondial Arcelor-Mittal, ces faits viennent confirmer l’information donnée par Liberté le 24 juin dernier sur le probable retrait des Indiens de l’Algérie. Une concession que devaient faire les Indiens aux Européens pour que ces derniers acceptent la fusion. Arcelor aurait exigé lors des négociations que Mittal Steel cède ses actifs “peu rentables” en Algérie. La fusion a eu lieu finalement il y a plusieurs semaines sans toutefois que l’information du désistement ne soit confirmée. Un probable retrait de Mittal Steel d’El-Hadjar devrait avoir des conséquences loin d’être négligeables sur cette importante entreprise qui renferme en son sein presque 9 000 travailleurs.
Synthèse de Billal, algerie-dz.com
D’après Liberté
Que pensez-vous de toute cette affaire ?
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Mittal Steel pourrait se retirer de l’Algérie
Le groupe Mittal Steel présent en Algérie avec sa participation dans le complexe sidérurgique d’El Hadjar près d’Annaba, pourrait se retirer du marché algérien prochainement, selon des sources proches de de la direction du complexe Ispat.
mercredi 30 août 2006.
C’est ce qu’affirment nos sources qui indiquent que ce sont les conséquences de la dernière fusion entre le groupe sidérurgique indien Mittal Steel et l’européen Arcelor (dont le siège se trouve au Luxembourg), signée en juillet dernier, ce qui a donné naissance à Arcelor-Mittal. Ces conséquences devront se répercuter prochainement sur le complexe sidérurgique d’El-Hadjar à l’est de l’Algérie (Mittal Steel détient 70% des actions, alors que l’entreprise publique algérienne Sider en possède 30%). Selon des sources proches de la direction du complexe Ispat, le géant mondial indien se prépare en catimini à se retirer d’El-Hadjar sans faire de bruit.
Ainsi, il serait prévu que sur la quinzaine d’Indiens qui sont en poste actuellement, seulement cinq devront rester. Ces derniers continueront à assumer leur charge au niveau de certains départements-clés tels ceux de l’approvisionnement, du commerce et des finances. Des postes de responsabilité d’une importance primordiale dans la gestion du complexe que Mittal Steel ne compte vraisemblablement pas abandonner pour le moment. D’ailleurs, des changements palpables ont été enregistrés depuis deux semaines au niveau de plusieurs secteurs. Plusieurs postes de responsabilité ont été doublés et des duos indo-algériens ont été créés.
Ainsi, même si rien d’officiel n’a été annoncé au niveau de la direction du nouveau géant mondial Arcelor-Mittal, ces faits viennent confirmer l’information donnée par Liberté le 24 juin dernier sur le probable retrait des Indiens de l’Algérie. Une concession que devaient faire les Indiens aux Européens pour que ces derniers acceptent la fusion. Arcelor aurait exigé lors des négociations que Mittal Steel cède ses actifs “peu rentables” en Algérie. La fusion a eu lieu finalement il y a plusieurs semaines sans toutefois que l’information du désistement ne soit confirmée. Un probable retrait de Mittal Steel d’El-Hadjar devrait avoir des conséquences loin d’être négligeables sur cette importante entreprise qui renferme en son sein presque 9 000 travailleurs.
Synthèse de Billal, algerie-dz.com
D’après Liberté
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