ALGER - Le secrétaire d’Etat chargé du tourisme auprès du ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Mohamed-Amine Hadj Saïd, a assuré mardi que la situation prévalant dans les pays du Sahel "n’aura aucune incidence sur le tourisme saharien algérien".
"Ce qui se passe dans les pays du Sahel et en dehors des frontières algériennes n’aura aucune incidence sur le tourisme saharien algérien", a indiqué M. Hadj Saïd dans un entretien accordé à l’APS.
Il a souligné que le tourisme saharien algérien est un produit que "personne ne peut concurrencer en raison de ses potentialités", précisant qu’une "grande importance" est accordée au produit touristique, notamment dans le Schéma directeur de l’aménagement du secteur (SDAT).
M. Hadj Saïd a relevé que l’Algérie, en général, et le sud du pays, en particulier, recèlent des sites touristiques "riches et extraordinaires", précisant qu’il ne fallait pas réduire les destinations touristiques sahariennes uniquement au Hoggar et au Tassili.
Il a mis l’accent sur la nécessité d’encourager et de promouvoir le tourisme national vers la destination du sud du pays, affirmant que "parmi les erreurs commises auparavant, figure l’importance accordée au tourisme étranger au détriment du tourisme national".
Pour le secrétaire d’Etat, le tourisme interne est un "élément de pérennisation" de l’activité touristique durant toute l’année.
Evoquant les problèmes des agences touristiques du sud du pays, M. Hadj Saïd a indiqué que la problématique des dettes se posait toujours, assurant que la tutelle s’était penchée sur ces problèmes en les mettant dans un "cadre adéquat" sur la voie de leur règlement.aps
"Ce qui se passe dans les pays du Sahel et en dehors des frontières algériennes n’aura aucune incidence sur le tourisme saharien algérien", a indiqué M. Hadj Saïd dans un entretien accordé à l’APS.
Il a souligné que le tourisme saharien algérien est un produit que "personne ne peut concurrencer en raison de ses potentialités", précisant qu’une "grande importance" est accordée au produit touristique, notamment dans le Schéma directeur de l’aménagement du secteur (SDAT).
M. Hadj Saïd a relevé que l’Algérie, en général, et le sud du pays, en particulier, recèlent des sites touristiques "riches et extraordinaires", précisant qu’il ne fallait pas réduire les destinations touristiques sahariennes uniquement au Hoggar et au Tassili.
Il a mis l’accent sur la nécessité d’encourager et de promouvoir le tourisme national vers la destination du sud du pays, affirmant que "parmi les erreurs commises auparavant, figure l’importance accordée au tourisme étranger au détriment du tourisme national".
Pour le secrétaire d’Etat, le tourisme interne est un "élément de pérennisation" de l’activité touristique durant toute l’année.
Evoquant les problèmes des agences touristiques du sud du pays, M. Hadj Saïd a indiqué que la problématique des dettes se posait toujours, assurant que la tutelle s’était penchée sur ces problèmes en les mettant dans un "cadre adéquat" sur la voie de leur règlement.aps
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