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Par Maâmar Farah
Enrique est un ingénieur espagnol qui travaille dans une société ayant plusieurs chantiers à l'étranger. Il a notamment séjourné au Maroc. Durant le Ramadhan 2012, il n'avait aucun problème avec le repas de midi. Des restaurants sont ouverts et servent les expatriés. Il a écrit à sa femme ces mots :
- Pourtant, ils ont un gouvernement islamiste ! L'année d'avant, en 2011, il était en Tunisie. Et il avait les mêmes facilités pour bouffer à midi. A sa femme, il envoya le même SMS :
- Pourtant, ils ont un gouvernement islamiste ! Le hasard a voulu qu'il séjourne également en Algérie pour la réalisation d'un immense viaduc. A midi, il est obligé de parcourir 10 kilomètres, dans l'encombrement, pour casser la croûte chez lui. Dans les villes algériennes, jadis hospitalières, il n'y a pas un seul resto ouvert pour les étrangers ! A sa femme, il écrivit :
- Leur gouvernement n'est pas islamiste, à ce qu'ils disent ! Il n'y a aucun ministre barbu. Mais, dans la pratique, c'est le plus islamiste du Maghreb !
[email protected]
«S'il est près de chez moi, je lui ferai à bouffer à cet Enrique, pour 20 euros par repas. Vu le nombres d'expatriés sur les multiples chantiers, il y a beaucoup d'argent à gagner ! J'espère que la gendarmerie ne débarquera pas chez moi pour m'arrêter au motif d'intelligence “cassecroûtienne” avec l'étranger !»
(Tata Aldjia)
Enrique est un ingénieur espagnol qui travaille dans une société ayant plusieurs chantiers à l'étranger. Il a notamment séjourné au Maroc. Durant le Ramadhan 2012, il n'avait aucun problème avec le repas de midi. Des restaurants sont ouverts et servent les expatriés. Il a écrit à sa femme ces mots :
- Pourtant, ils ont un gouvernement islamiste ! L'année d'avant, en 2011, il était en Tunisie. Et il avait les mêmes facilités pour bouffer à midi. A sa femme, il envoya le même SMS :
- Pourtant, ils ont un gouvernement islamiste ! Le hasard a voulu qu'il séjourne également en Algérie pour la réalisation d'un immense viaduc. A midi, il est obligé de parcourir 10 kilomètres, dans l'encombrement, pour casser la croûte chez lui. Dans les villes algériennes, jadis hospitalières, il n'y a pas un seul resto ouvert pour les étrangers ! A sa femme, il écrivit :
- Leur gouvernement n'est pas islamiste, à ce qu'ils disent ! Il n'y a aucun ministre barbu. Mais, dans la pratique, c'est le plus islamiste du Maghreb !
[email protected]
«S'il est près de chez moi, je lui ferai à bouffer à cet Enrique, pour 20 euros par repas. Vu le nombres d'expatriés sur les multiples chantiers, il y a beaucoup d'argent à gagner ! J'espère que la gendarmerie ne débarquera pas chez moi pour m'arrêter au motif d'intelligence “cassecroûtienne” avec l'étranger !»
(Tata Aldjia)