Inquiets de cette politique d’inquisition religieuse activement mise en œuvre par l’Etat algérien en Kabylie, des citoyens kabyles ont courageusement décidé de s’opposer publiquement à l'inquisition de l’Etat algérien en Kabylie. Le 3 Août, ces citoyens appellent « à braver publiquement les provocations de l’état algérien, en venant consommer des sandwichs et des boissons ».Voilà une action courageuse qui, étrangement, n’a pas suscité de réaction dans l’élite intellectuelle kabyle et encore moins dans la classe politique dite démocratique et laïque qui, depuis maintenant plusieurs années, semble plus encline à passer des pactes électoraux avec la mouvance arabiste et islamistes, bizarrement devenus fréquentables, pendant qu’ils observent un silence sidérant face au piétinement « musclé » de tous les principes sensés diriger leurs formations.
égulièrement, le mois de ramadan est mis à profit pour mettre en pratique, de manière plus coercitive, la politique d’inquisition de l’Etat algérien en Kabylie. Les campagnes de salarisations vont bon train, les opérateurs économiques assurent la « publicité » à grande échelle du message salafiste et les brigades de gendarmeries donnent l’assaut contre les citoyens n’observant pas le jeûne islamique. L’Etat leur fait payer leur audace d’assumer ainsi publiquement leur liberté de culte, de croyance ou de pratique. Ces citoyens sont harcelés, traqués et pourchassés par les services de sécurité, bien plus motivé par l’étroite surveillance de l’esprit de tolérance et de liberté en Kabylie que par l’étrange surpopulation de terroristes et de bandits en Kabylie, prospérant au nez et à la barbe de ces mêmes services de « sécurités ».
Depuis l’avènement du terrorisme et son « règlement » honteux par l’amnistie générale des terroristes au détriment des victimes, personne n’ignore que le régime algérien a opté pour la sauvegarde de sa place à la tête de la faramineuse rente des hydrocarbures en livrant, pieds et poings liés, la société au dictât de la nébuleuse islamiste, y compris à sa branche terroriste qui depuis l’amnistie n’existe plus qu’en Kabylie et dans le Sahel, chez les touaregs justement. Tout de même, ils sont sacrément « pratiques » ces terroristes.
égulièrement, le mois de ramadan est mis à profit pour mettre en pratique, de manière plus coercitive, la politique d’inquisition de l’Etat algérien en Kabylie. Les campagnes de salarisations vont bon train, les opérateurs économiques assurent la « publicité » à grande échelle du message salafiste et les brigades de gendarmeries donnent l’assaut contre les citoyens n’observant pas le jeûne islamique. L’Etat leur fait payer leur audace d’assumer ainsi publiquement leur liberté de culte, de croyance ou de pratique. Ces citoyens sont harcelés, traqués et pourchassés par les services de sécurité, bien plus motivé par l’étroite surveillance de l’esprit de tolérance et de liberté en Kabylie que par l’étrange surpopulation de terroristes et de bandits en Kabylie, prospérant au nez et à la barbe de ces mêmes services de « sécurités ».
Depuis l’avènement du terrorisme et son « règlement » honteux par l’amnistie générale des terroristes au détriment des victimes, personne n’ignore que le régime algérien a opté pour la sauvegarde de sa place à la tête de la faramineuse rente des hydrocarbures en livrant, pieds et poings liés, la société au dictât de la nébuleuse islamiste, y compris à sa branche terroriste qui depuis l’amnistie n’existe plus qu’en Kabylie et dans le Sahel, chez les touaregs justement. Tout de même, ils sont sacrément « pratiques » ces terroristes.
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