Tout le monde (ou presque) sait à présent le dégoût que nous vivons. Ce dégoût qui a fini par anéantir l'espoir de plus d'une génération alors que logiquement ce dernier devrait renaître à chaque avènement d'une nouvelle génération.
Suite logique de cette situation, tout le monde dénonce et c'est tant mieux. Grands et petits, nous nous sommes rendus compte du malaise plus qu'autrefois. Nous nous sommes alors mis à dénoncer ceux qui tiennent les rennes et font perdurer ce malaise. Bien sûr, nous n'allions pas dénoncer le cordonnier ou l'éboueur ou quiconque d'autre.
Mais cette dénonciation justifiée est restée au stade de la dénonciation puisque la démocratie made in Algeria stipulait qu'on pouvait désormais parler (pas forcément de tout) mais qu'on devait aussi se contenter de parler tout simplement. Nous nous sommes alors mis à parler tous en même temps jusqu'à ne plus écouter ce qui devrait être écouté et finir par donner raison à ceux qui parlent bien (surtout quand ils mentent).
Suite toujours aussi logique, ceux qui parlent bien ont parlé et ne cessent de le faire et ont épuisé toute leur énergie en parlant jusqu'à ne plus pouvoir faire autre chose plus intéressante: travailler.
Ces gens-là sont, à mon humble avis, à notre image. Sinon, comment avons-nous pu les supporter tout au long de cette "épopée" qui va connaître une fin plus tragique que ce qu'ont pu écrire poètes et écrivains?
Ne serait-il pas temps par hasard de dénoncer ce peuple passif?
Suite logique de cette situation, tout le monde dénonce et c'est tant mieux. Grands et petits, nous nous sommes rendus compte du malaise plus qu'autrefois. Nous nous sommes alors mis à dénoncer ceux qui tiennent les rennes et font perdurer ce malaise. Bien sûr, nous n'allions pas dénoncer le cordonnier ou l'éboueur ou quiconque d'autre.
Mais cette dénonciation justifiée est restée au stade de la dénonciation puisque la démocratie made in Algeria stipulait qu'on pouvait désormais parler (pas forcément de tout) mais qu'on devait aussi se contenter de parler tout simplement. Nous nous sommes alors mis à parler tous en même temps jusqu'à ne plus écouter ce qui devrait être écouté et finir par donner raison à ceux qui parlent bien (surtout quand ils mentent).
Suite toujours aussi logique, ceux qui parlent bien ont parlé et ne cessent de le faire et ont épuisé toute leur énergie en parlant jusqu'à ne plus pouvoir faire autre chose plus intéressante: travailler.
Ces gens-là sont, à mon humble avis, à notre image. Sinon, comment avons-nous pu les supporter tout au long de cette "épopée" qui va connaître une fin plus tragique que ce qu'ont pu écrire poètes et écrivains?
Ne serait-il pas temps par hasard de dénoncer ce peuple passif?
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