Annonce

Réduire
Aucune annonce.

la mafia criminel de bouteflika !!

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • la mafia criminel de bouteflika !!

    Qui a dit que Missoum Sbih n’était plus ambassadeur d’Algérie en France ? Ça, comme dirait une pub, ça « c’était avant ». Avant le retour du Grand Parrain. Du temps où Mohand Tahar Yala, général à la retraite et ancien commandant des forces navales algériennes,
    accusait le Grand Parrain d’être à l’origine de « la rapine qui s’est installée et généralisée en Algérie ». Depuis, les choses sont revenues à la « normale ». Le général Yala vient de se voir interdire l’accès au cercle des officiers de l’ANP de Beni Messous pendant que Missoum Sbih retrouvait son poste, chargé de lire, en tant qu’ambassadeur, un message du président Bouteflika lors de l’inhumation de Henri Alleg, lundi dernier, au cimetière du Père-Lachaise, à Paris.

    C'est toute la magie du Grand Parrain : redonner vie aux morts et réduire au silence les langues pendues ; assurer l’impunité aux « amis ». Avant le père, le fils Sbih avait bénéficié de la protection du Grand Parrain. Mohamed Sbih est un flic ripoux que tout destinait à la prison mais qui, plutôt que de se morfondre à Serkadji, s’est retrouvé en Espagne, libre et, probablement, très riche. Inculpé dans une grosse affaire de détournement de deniers publics, il fut placé sous contrôle judiciaire, son passeport confisqué, dans l’attente d’un procès qui promettait de lui être fatal : il était accusé rien moins que d’avoir établi un faux rapport de police disculpant un banquier prévaricateur qui avait dérobé la somme astronomique de 3 200 milliards de centimes ! Qui a rendu son passeport au fils de l'ambassadeur ripoux alors que l’affaire était toujours en instruction ? La Famille, bien sûr. Mais cette association de malfaiteurs est bénie par l’État à son niveau supérieur, elle échappe à la loi…

    Et qui a aidé Chekib Khelil, l'ancien ministre de l'Énergie, à quitter l'Algérie en mars 2013, au lendemain d’une perquisition aux domiciles de plusieurs hauts cadres de Sonatrach ? Il serait parti en Suisse, l’eldorado des fortunés algériens. Il a fallu le « couvrir », l’aider à prendre la fuite après qu’il ait reçu sa convocation pour être entendu devant la justice de Milan. Il a fallu organiser un cambriolage dans les bureaux du tribunal d'Alger pour détruire les documents à charge. Il a fallu recourir au mensonge pour des raisons supérieures. Mentir encore. C'est que ce maudit scandale Sonatrach ne dépend pas de la justice algérienne mais du parquet de Milan sur lequel les dirigeants algériens, La Famille, n’ont aucune prise et dont les deux procureurs, Fabio De Pasquale et Sergio Spadaro, sont réputés inflexibles. On les dit décidés à aller le plus loin possible pour faire la lumière sur cette grande rapine qui a provoqué un véritable séisme en Italie. Des dirigeants de la filiale du géant ENI viennent d’être limogés et l'opinion publique suit avec attention cette nouvelle affaire de corruption dont elle redoute qu'elle n'ait des ramifications avec la mafia.

    C’est pour tout cela, parce que Bouteflika fait figure de gourou protecteur, pour toutes ces raisons et bien d’autres, qu'il devait faire semblant de gouverner encore et toujours, malgré la maladie, malgré l’aphasie, la paralysie partielle… Aucune information ne devait sortir à propos de la gravité de la maladie du Président. Cela aurait encouragé les partisans de l’article 88 de la Constitution. En fait, le Grand Parrain n’a rien à craindre. Il est protégé par une architecture constitutionnelle très propice aux cafouillages. En effet, si en France, l'empêchement doit être constaté par le Conseil constitutionnel, saisi par le gouvernement, qui doit statuer à la majorité de ses membres sur l'empêchement (avec ceci de notable que rien ne saurait obliger le gouvernement à le faire), chez nous, c'est le Conseil constitutionnel qui doit s'auto-saisir pour vérifier la réalité de l'handicap présidentiel. Hypothèse très improbable quand on connaît le profil très « bouteflikien » des personnes composant cette instance présidée, faut-il le rappeler, par un ancien ministre de la Justice dont le fiston se serait trouvé mêlé à une affaire de drogue et disculpé par la toute puissance de La Famille.

    Il fallait donc continuer à donner l’illusion d’une continuation de règne. « Nun sacciu, nun vidi, nun ceru; e si ceru, dormivu » (Je ne sais rien, je n'ai rien vu, je n'étais même pas là et si j'y étais, je dormais). Ce dicton sicilien exprimant l'omerta fut la devise de La Famille pendant l'hospitalisation du Grand Parrain. L'édifice mafieux ne tient debout que par la fragmentation obligatoire, systématique et constante de l'information qui irrigue l'honorable société et ne doit jamais, sous peine de mort immédiate, filtrer hors de la mafia. C'est le fait « qu'aucun fils de La Famille ne connaît toute la vérité des faits de Cosa Nostra », a reconnu le truand Buscetta. Ou, pour citer le juge Falcone, « Cosa Nostra est le royaume des discours incomplets ». C’est ce que n’a pas compris ce brave général à la retraite Mohand Tahar Yala, qui a osé écrire, à propos du Grand Parrain, qu'il « s’est entouré d’individus qui, en son nom, et avec son accord, corrompent, volent, pillent et trahissent » et que « son rôle est déterminant dans ce processus. Il ne faut surtout pas s’étonner parce que rien ne peut effacer le verdict de la Cour des comptes rendu le 8 août 1983 sur les détournements effectués par lui, lorsqu’il était ministre, à l’époque où les lois étaient pourtant très sévères et traitaient les détournements de crimes économiques ». Il va le payer.

    L'homme roi ne meurt pas. C'est ce que disent, du reste, les légendes jamais démenties. L'homme roi ne meurt pas. La conjuration est décidée à forcer le destin. Elle vaincra ce vieux cauchemar de potentats : la mort ! « Ce monde, tel qu'il est fait, n'est pas supportable. J'ai donc besoin de la lune, ou du bonheur, ou de l'immortalité, de quelque chose qui soit dément peut-être, mais qui ne soit pas de ce monde », crie le Caligula d'Albert Camus. Le cercle présidentiel a décidé d'attribuer au Grand Parrain, pour toujours, la gloire et des années immortelles… C'est autour de cette « gloire éternelle », c'est-à-dire de cette illusion fatidique de l'immortalité du Grand Parrain, que se sont formées les coteries prédatrices autour du « Président Dieu vivant ». Immortalité a commencé, alors, à rimer avec impunité. Malversations liées à des marchés de plusieurs milliards de dollars, pots-de-vin, détournements : dès 2002, les noms de hauts dignitaires de l’État, des ministres, des députés, des dirigeants de grandes entreprises, des hauts fonctionnaires, des walis, souvent proches du président Bouteflika, s’étalent à la une de la presse nationale. Des hommes liés à Bouteflika et protégés par lui, comme l’ancien préfet de Blida Mohammed Bouricha, Saïd Barkat, ancien ministre de l’Agriculture, Chakib Khelil, ancien ministre de l’Énergie), Amar Ghoul, ministre des Travaux publics...

    Mais Bouteflika, gourou protecteur, a toujours agi en parrain et veillé à l'impunité de ses « amis ». C'est pour cette raison, une parmi toutes celles qu’on verra plus loin et qui forment le secret du Val-de-Grâce, il ne devait pas s’éteindre. Il a toujours assuré la défense aux hommes de son clan et de sa tribu. C'est ainsi que Khelil, Hemche, Ghoul, Sidi Said – patron de la Centrale syndicale, impliqué dans le scandale Khalifa –, Barkat, pour ne citer que ceux-là, ont contourné la prison. Tout comme Mohamed Bouricha qui eut la bonne idée de naître à Tlemcen, vieille ville située au nord-ouest de l'Algérie, à 520 km au sud-ouest d'Alger, frontalière du Maroc, à 76 km à l'est de la ville marocaine d'Oujda, surnommée tour à tour « Perle du Maghreb », « Grenade africaine » ou « Médine de l'Occident » pour avoir été capitale du Maghreb central et héritière d'influences berbères, arabes, hispano-mauresques et françaises, mais surtout célèbre pour être la région chérie par la famille Bouteflika. Bouricha a joui d’une incroyable impunité pour des délits impardonnables et avérés. Bref, ce fut un préfet très débrouillard et très riche qui fut démis de ses fonctions en mai 2005, placé sous contrôle judiciaire un an plus tard mais jamais incarcéré.

    Son fils, après un court séjour en prison, fut libéré en catimini, sans jamais avoir été jugé. Pour des délits infiniment moins graves, les Algériens anonymes ont passé cinq années d’enfermement. Mohamed Rédha Hemche, ancien diplomate véreux arrêté par la police française à Marseille en 1997 en possession de deux voitures volées, devenu collaborateur direct de Khelil pour les pratiques inavouables, a été, lui aussi, exfiltré d’Algérie dès l’éclatement du scandale. Sa nouvelle résidence : Montreux, en Suisse. Officiellement, nous apprend un site spécialisé , il s’agit d’une mise en retraite doublée d’un parachute doré de 8 millions de dinars en tant qu’allocation de fin de carrière – somme habituellement réservée à de très anciens cadres du groupe – et d’un placard doré puisqu’il aurait été envoyé dans la filiale Sonatrach International Holding Corporation filiale (Samco) à Lugano.

    Non, le Grand Parrain ne doit pas mourir.
    SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

    VIVA POLISARIO

  • #2
    mister-T

    dire qu'une personne est capable de faire tout cela est iraisonable..
    quelqu'un comme boutflIka qui tout cela c'est iraisonable. il est née au maroc dit on et ne sait meme pas ou se trouve le quatier yaghramoucen a Oran,
    ou sidi bakhti a Temouchent ou el haloui a Tlemcen..

    maintennat ce qui se passe en algerie depuis les othomons est du ressort de gros calibre qui controle un reseau mondial. si tu touche a un bout de fil a new york, ça sonne a berlin via paris jusuq'a new delhi..

    il faut de la logistique pour faire tout cela...

    pour faire une experience juste a ton echelle dans ton quartier tu verra comment la chose est compliquée. Essaye par exemple dansle cadre de l'ansej de creer une petite société de Madeleine et essaye de la distribuer..

    ces reseaux mondiaux leurs point faible c'est les cereales..sans cereale tout s'arrete...on ne sait pas comment ils vont resourdre ce grave probléme.

    Commentaire


    • #3
      Le zombie teftef, qu'il soit maudit jusqu'à la fin du monde, a "tué" l'Algérie...:22:

      Depuis qu'il est au pouvoir (suite à la triche électorale) les corrupteurs et les corrompus, les voleurs, les criminels, les tueurs, les hagaras, les tricheurs et magouilleurs, les régionalistes et autres sectaires, les bandits et autres truands, les incapables, les faux, les hypocrites, les traitres au pays, les vrais harkis, les faux-moudjahidines, les incompétents et même les malades chroniques (comme lui et ses potes) bénéficient de la plus haute considération et surtout de la protection necessaire afin de mieux mener leurs "affaires"....Tahya teftef le zombie crient tous ces crapuleux et pourris...

      Chlef, loin des rentiers du pétrole, est rongée par la pauvreté

      Mots clés : Chômage, Misère, Pauvreté, Chlef, Laddh
      Par Le Matin | Il y a 13 heures 44 minutes | 1123 lecture(s) | Réactions (0)


      L’enquête du bureau local de la Ligue algérienne des droit de l’homme de la wilaya de Chlef prouve que la misère dans notre pays est une réalité sociale difficile à ignorer.
      [IMG]http://www.*********.net/thumbnail.php?file=2013/06/chef_410954811.jpg&size=article_medium[/IMG] Que dire devant tant de misère et cette enfance jetée à la rue ?
      Entre les milliards de dollars effacés d'un geste par le président au profit de pays africains, les millions en devises qui partent dans les circuits tentaculaires de la corruption et les habitants de Chlef, il y a loin de la coupe aux lèvres. Un monde sépare en fait ce petit peuple qui vit de peu et l'insolence d'une Algérie officielle qui ignore son peuple.
      Le rapport de la section de Chlef de la Ligue de défense des droits de l'homme est à ce titre accablant. Pas moins de 51 946 familles démunies sont recensées à travers les communes de la wilaya de Chlef, le bureau local de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme. Dans sa dernière descente sur le terrain, la LADDH a relevé "les besoins criants" de ces familles qui n’arrivent pas à subvenir aux nécessités les plus élémentaires pour une vie digne. La pauvreté dans la wilaya de Chlef a gagné des proportions alarmantes, selon l’enquête menée par la LADDH qui, dans un rapport établi, donne la parole à des pères et mères de famille, mais aussi à de simples travailleurs qui racontent leur calvaire quotidien. Le rapport dont nous détenons une copie est établi après que l’organisation des droits de l’homme eut constaté le rush des familles vers les marchés de friperie pour l’achat des vêtements de l’Aïd à leurs enfants. Malgré les dangers que constituent ces vêtements qui proviennent de plusieurs pays du monde, pour la santé de celui ou celle qui les porterait, regrette la LADDH, les ménages n’ont d’autres choix que de les acheter, à défaut d’atteindre les vêtements neufs vendus dans les magasins.
      Usés, ces vêtements dont la durée de vie a expiré sont écoulés une seconde fois , avec tous les risques de maladies transmissibles qu’ils représentent. Les familles aux revenus limités se trouvent contraintes de se rabattre sur de tels marchés, à cause de la cherté qui caractérise les magasins réglementés, surtout à l’approche de la fête de l’Aïd El-Fitr. Face à cette situation, les familles démunies de Chlef "interpellent" les associations caritatives et les organisations humanitaires afin d’intervenir pour leur prêter la main, dans l’objectif de "passer une fin de ramadhan dans la dignité et fêter l’Aïd à l’instar de tous les Algériens".
      Père de cinq enfants, A. Dahmani raconte aux membres de la LADDH, ses conditions de vie difficiles et explique son "incapacité d’offrir à ses quatre garçons et sa fille des vêtements neufs comme tous les enfants du quartier". "Khadidja, elle, n’a pas pu retenir ses larmes, lit-on dans le même rapport, puisqu’elle est incapable de procurer le bonheur de la fête de l’Aïd à ses quatre enfants. Atteinte d’une maladie chronique, elle n’a même pas de quoi s’offrir les médicaments de façon périodique". Ce sont des centaines de familles qui souffrent en silence, devant la démission des pouvoirs publics, notamment les services de la Direction de l’action sociale de la wilaya. Chose qui s’ajoute à l’inexistance d’une culture de solidarité au sein de la société, puisque rares sont les associations caritatives, humanitaires ou sociales qui travaillent dans ce sens.
      A l’approche de la fête de l’Aïd et de la rentrée sociale avec le retour des enfants aux bancs des classes, les familles nécessiteuses de Chlef lancent à travers cette enquête réalisée par la LADDH, un cri de détresse, aux autorités locales et aux responsables concernés au sein du gouvernement, à ce que soient prises en charge leurs doléances. Le rapport de la LADDH se penche, par ailleurs sur la flambée des prix des vêtements pour enfants à quelques jours de la célébration de l’Aïd El Fitr. "Les tenues sont proposées entre 4 000 et 7 000 DA pour les enfants dont l’âge se situe entre 3 et 6 ans". Les augmentations des prix sont de l’ordre de 40%, dans certains cas, explique la LADDH, en l’absence totale de contrôle des prix.
      R. N.
      Les vrais algériens crèvent alors que ce zombie donne comme cadeau 10 milliards de dollars à tlemcen pour "s'embellir"...
      Dernière modification par Asnami94, 02 août 2013, 00h26.

      Commentaire


      • #4
        Hé les gars,votre phobie de tef tef risque de vous nuire mentalement...
        Vous savez que le temps est en sa défaveur,et votre tour reprendra le cours du temps.
        L Algérien ne risque pas de s échapper et encore moins "son" pétrole.
        Le vrai bonheur coute peu,s il est cher,c'est qu'il n'est pas d'une bonne espece.
        F.R.Chateaubriand

        Commentaire


        • #5
          Asnami94

          ce 'est pas boutef , c'est le partis satanique qui agit toujours et toujours, c'est le même avec le même méthodes..

          il recrute dans la misère...dans le milieu du jeux de l'alcool, de la drogue..
          tous ces 3 ingrédients sont source de misère
          le jeux te pousse a la faillite et la rancœur
          l'alcool te pousse a l'impuissance sexuel et la rancœur
          la drogue t'éteint tu ne peux rien faire ...

          Satan avec son argent du banditisme appel un misérable..
          ... ils viendront 1000

          une regle chez le milieu satanique
          ''si une personne dure dans le temps sans changement cette personne est compromise jusqu'au cou surtout coté sexuel , pédophilie, homosexualité''

          ils ont tourné autour de bill clinton jusqu'a les ont eu..

          la planete est en face de Satan et de son armé et elle doit s'y préparer serieusement..

          Commentaire

          Chargement...
          X