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Selon la cellule de communication de la wilaya, le nombre de familles démunies est passé de 17 000, l’année passée à 24 000, cette année, soit une augmentation de huit mille familles.
S’exprimant à ce propos, un des responsables des services sociaux locaux constatera avec amertume que la pauvreté gagne plusieurs pans de la société en dépit de l’excellente santé financière du pays. Concrètement, au regard des besoins exprimés, la wilaya a consacré cette année 40 398 couffins de Ramadhan.
Ceci grâce à la contribution de différentes communes de la wilaya, lesquelles ont mis à disposition 32 139 unités, alors que la DAS en a préparé 759 et la wilaya 7 500 autres. Selon les statistiques qui nous ont été fournies, les entrepreneurs ne se sont pas bousculés au portillon cette fois pour apporter leur soutien aux familles nécessiteuses. Par ailleurs, des dons en espèces ont été distribués dès le premier jour aux familles nécessiteux, notamment par le biais de la zakat collectée par le ministère des Affaires religieuses qui a été de l’ordre de 4 400 000 DA, apprend-on. La liste des familles bénéficiaires a été élaborée par une commission instituée à cet effet au niveau de la wilaya. Les personnes de passage, quant à elles, sont quotidiennement prises en charge dans les dix restaurants agrées, qui ont postulé pour offrir gracieusement des repas chauds au voyageurs. «Espérons que ces dons profiteront réellement aux familles démunies et que les produits alimentaires ne seront pas stockées dans des hangars par des responsables, qui les utiliseront dans des futures campagnes électorales», ironisera un vieil habitant de la ville chef-lieu en parlant des couffins du Ramadhan. Par ailleurs, il y a lieu de relever un certain relâchement dans la gestion de la circulation automobile à El-Kala ou à Aïn Assel. Cet état de fait a encouragé les propriétaires de véhicules à renouer avec les mauvaises habitudes et en l’occurrence, aux stationnements gênants tout au long des rues principales des localités d’El- Kala et d’Aïn Assel. En effet, ils sont nombreux, chaque jour, chaque soir, à garer leur véhicule n’importe où, n’importe comment. Certains chauffeurs poussent l’arrogance jusqu’à s’arrêter en plein milieu de la chaussée pour entamer une discussion avec des passants sans se gêner le moins du monde de la file indienne qui se forme derrière eux provoquant ainsi une cacophonie de coups de klaxons. Plus révoltant encore, d’autres garent carrément leur voiture en seconde position, pour siroter un café, ignorant le goulot d’étranglement qu’ils occasionnent. Ces abus sont souvent à l’origine de nombreuses querelles aux conséquences pénibles. A ce problème pénalisant les automobilistes respectueux du code la route s’ajoute celui de la prolifération de parkings payants «exploités» par des jeunes désœuvrés. Les automobilistes venant de localités limitrophes sont les premiers à en faire les frais immanquablement, par manque d’aires de stationnement, notamment. Ceux-ci se plaignent du fait qu’ils sont systématiquement harcelés, voire agressés, par ces jeunes gens qui viennent à leur rencontre pour exiger 30 ou 50 dinars en contrepartie d’un gardiennage, qui n’est même pas assuré.
Ceci pour dire qu’ à El-Tarf le problème de parking se pose avec plus d’ acuité, qu’ailleurs dans cette wilaya enclavée. Le nombre de voitures en circulation dépasse, en effet, et de très loin celui des infrastructures de base.
source: liberte-algerie.
S’exprimant à ce propos, un des responsables des services sociaux locaux constatera avec amertume que la pauvreté gagne plusieurs pans de la société en dépit de l’excellente santé financière du pays. Concrètement, au regard des besoins exprimés, la wilaya a consacré cette année 40 398 couffins de Ramadhan.
Ceci grâce à la contribution de différentes communes de la wilaya, lesquelles ont mis à disposition 32 139 unités, alors que la DAS en a préparé 759 et la wilaya 7 500 autres. Selon les statistiques qui nous ont été fournies, les entrepreneurs ne se sont pas bousculés au portillon cette fois pour apporter leur soutien aux familles nécessiteuses. Par ailleurs, des dons en espèces ont été distribués dès le premier jour aux familles nécessiteux, notamment par le biais de la zakat collectée par le ministère des Affaires religieuses qui a été de l’ordre de 4 400 000 DA, apprend-on. La liste des familles bénéficiaires a été élaborée par une commission instituée à cet effet au niveau de la wilaya. Les personnes de passage, quant à elles, sont quotidiennement prises en charge dans les dix restaurants agrées, qui ont postulé pour offrir gracieusement des repas chauds au voyageurs. «Espérons que ces dons profiteront réellement aux familles démunies et que les produits alimentaires ne seront pas stockées dans des hangars par des responsables, qui les utiliseront dans des futures campagnes électorales», ironisera un vieil habitant de la ville chef-lieu en parlant des couffins du Ramadhan. Par ailleurs, il y a lieu de relever un certain relâchement dans la gestion de la circulation automobile à El-Kala ou à Aïn Assel. Cet état de fait a encouragé les propriétaires de véhicules à renouer avec les mauvaises habitudes et en l’occurrence, aux stationnements gênants tout au long des rues principales des localités d’El- Kala et d’Aïn Assel. En effet, ils sont nombreux, chaque jour, chaque soir, à garer leur véhicule n’importe où, n’importe comment. Certains chauffeurs poussent l’arrogance jusqu’à s’arrêter en plein milieu de la chaussée pour entamer une discussion avec des passants sans se gêner le moins du monde de la file indienne qui se forme derrière eux provoquant ainsi une cacophonie de coups de klaxons. Plus révoltant encore, d’autres garent carrément leur voiture en seconde position, pour siroter un café, ignorant le goulot d’étranglement qu’ils occasionnent. Ces abus sont souvent à l’origine de nombreuses querelles aux conséquences pénibles. A ce problème pénalisant les automobilistes respectueux du code la route s’ajoute celui de la prolifération de parkings payants «exploités» par des jeunes désœuvrés. Les automobilistes venant de localités limitrophes sont les premiers à en faire les frais immanquablement, par manque d’aires de stationnement, notamment. Ceux-ci se plaignent du fait qu’ils sont systématiquement harcelés, voire agressés, par ces jeunes gens qui viennent à leur rencontre pour exiger 30 ou 50 dinars en contrepartie d’un gardiennage, qui n’est même pas assuré.
Ceci pour dire qu’ à El-Tarf le problème de parking se pose avec plus d’ acuité, qu’ailleurs dans cette wilaya enclavée. Le nombre de voitures en circulation dépasse, en effet, et de très loin celui des infrastructures de base.
source: liberte-algerie.