Le Roi d’Espagne Juan Carlos a demandé au Roi du Maroc, Mohammed VI, la libération anticipée de plusieurs dizaines de détenus de son pays, qui purgent des peines privatives de liberté en maints établissements pénitentiaires marocains.
On sait que l’essentiel de ces détenus ont été condamnés pour trafic ou transport de stupéfiants, quelques-uns pour malversations financières et le cas du pédophile est exemplaire parce que cet individu malfaisant a reçu le châtiment que ces actes méritaient légitimement.
C’est donc, à l’évidence, une bévue inadmissible, L’ERREUR À NE PAS COMMETTRE, qui a permis à ce monstre de bénéficier d’une grâce.
La faute en incombe d’abord à ceux qui ont transmis aux autorités marocaines la liste des détenus espagnols à gracier.
La faute incombe, ensuite, aux autorités nationales qui l’ont avalisée sans vérifier les dossiers de ces condamnés.
La faute incombe, enfin, aux personnes qui ont transmis à SM le Roi cette liste comprenant le nom de ce pédophile.
Voilà les SEULS niveaux où se situent les responsabilités et tout être intelligent et doté de raison ne pourra aller plus loin dans le commentaire de cette lamentable affaire.
Il reste donc, en toute transparence, à déterminer les responsables espagnols et marocains qui ont si mal accompli leur mission et à leur faire assumer les conséquences administratives que leurs actes impliquent.
Quant au pédophile espagnol qui aurait, selon certaines informations, déjà quitté notre Royaume, il serait nécessaire et juste que les ONG espagnoles et la société civile d’outre Détroit, «lui pourrissent la vie» pour que son existence dans son pays d’origine soit aussi inconfortable que l’exige sa condition de misérable pervers sexuel.
Voilà, semble-t-il, ce qui pourrait être acceptable pour des opinions publiques nationale et espagnole très certainement et légitimement choquées par ce raté de fonctionnaires incompétents.
lnt
On sait que l’essentiel de ces détenus ont été condamnés pour trafic ou transport de stupéfiants, quelques-uns pour malversations financières et le cas du pédophile est exemplaire parce que cet individu malfaisant a reçu le châtiment que ces actes méritaient légitimement.
C’est donc, à l’évidence, une bévue inadmissible, L’ERREUR À NE PAS COMMETTRE, qui a permis à ce monstre de bénéficier d’une grâce.
La faute en incombe d’abord à ceux qui ont transmis aux autorités marocaines la liste des détenus espagnols à gracier.
La faute incombe, ensuite, aux autorités nationales qui l’ont avalisée sans vérifier les dossiers de ces condamnés.
La faute incombe, enfin, aux personnes qui ont transmis à SM le Roi cette liste comprenant le nom de ce pédophile.
Voilà les SEULS niveaux où se situent les responsabilités et tout être intelligent et doté de raison ne pourra aller plus loin dans le commentaire de cette lamentable affaire.
Il reste donc, en toute transparence, à déterminer les responsables espagnols et marocains qui ont si mal accompli leur mission et à leur faire assumer les conséquences administratives que leurs actes impliquent.
Quant au pédophile espagnol qui aurait, selon certaines informations, déjà quitté notre Royaume, il serait nécessaire et juste que les ONG espagnoles et la société civile d’outre Détroit, «lui pourrissent la vie» pour que son existence dans son pays d’origine soit aussi inconfortable que l’exige sa condition de misérable pervers sexuel.
Voilà, semble-t-il, ce qui pourrait être acceptable pour des opinions publiques nationale et espagnole très certainement et légitimement choquées par ce raté de fonctionnaires incompétents.
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