L’Algérie aura sa propre puce électronique. Elle sera fabriquée à partir de janvier 2014. Elle sera utilisée dans différents domaines. C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui à Alger le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, Abdelhafid Aourag. L’objectif est de « faire face à la demande du secteur socio-économique en matière de fabrication de puces électroniques », a expliqué M. Aourag en marge de la visite du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique Rachid Harraoubia au centre de développement des énergies renouvelables CDER .
Par ailleurs, la centrale électronique où seront fabriquées ces puces est en phase de finition à « 98 % », elle est implantée au niveau du Centre de développement des énergies renouvelables avancées (CDER), alors que les tests d'équipements prendront «trois mois», a précisé M. Aourag.
Ces puces seront fabriquées en partenariat avec des opérateurs allemands « à la demande et en fonction des applications exigées par le client » a expliqué Aourag. Concernant le coût de fabrication, M. Aourag a indiqué qu’il est estimé à «10.000 dollars», ajoutant que « sa programmation, considérée comme une phase très importante, revient à 4 millions de dollars ». "Tout ce travail se fera en collaboration avec le géant électronique américain IBM", a-t-il précisé.
134 projet a l’appui de la recherche dans les énergies renouvelables
L’investissement dans le domaine des énergies renouvelables est tributaire des nouvelles technologies que connaît ce domaine. Dans ce sens, le centre de développement des énergies renouvelables CDER de Bouzaréha procède au pilotage de 134 projets d’études sur la plan national dans différentes spécialités à l’instar du solaire, l’éolienne et bioénergétique. Appuyé par quelques 98 chercheurs recrutés en 2013, le CDER a signés plusieurs conventions avec des universités nationales et centres internationaux pour propulser les recherches et échanger les connaissances.
Le professeur et directeur du CDER, Noureddine Yassaa a indiqué lors de la visite effectuée aujourd’hui au CDER par Rachid Hraoubia que le centre emploie toutes ces capacités pour accompagner la recherche dans les énergies renouvelables.
Classé premier dans le monde arabe et troisième en Afrique, le centre a signé plusieurs conventions avec notamment, plusieurs ministères (Habitat, Agriculture, Industrie, Défense et Environnement. Ces conventions sont signées aussi avec des entreprises privées, comme Condor et Thermocad.
Par ailleurs, le centre en question subira un réaménagement d’ici l’année prochaine, avec de nouveaux ateliers. Un Open Space est ouvert aujourd’hui dans le souci de permettre la rencontre de différents chercheurs du centre. En attendant le nouveau siège du CDER qu’abritera la nouvelle ville de Sidi Abdellah, le centre continue de travailler avec les moyens du bord afin de répondre aux demandes du marché scientifique et commercial. Le programme national des énergies renouvelables nécessite de nouveaux équipements et de l’espace pour que les chercheurs mènent leurs travaux sereinement.
Par ailleurs, la centrale électronique où seront fabriquées ces puces est en phase de finition à « 98 % », elle est implantée au niveau du Centre de développement des énergies renouvelables avancées (CDER), alors que les tests d'équipements prendront «trois mois», a précisé M. Aourag.
Ces puces seront fabriquées en partenariat avec des opérateurs allemands « à la demande et en fonction des applications exigées par le client » a expliqué Aourag. Concernant le coût de fabrication, M. Aourag a indiqué qu’il est estimé à «10.000 dollars», ajoutant que « sa programmation, considérée comme une phase très importante, revient à 4 millions de dollars ». "Tout ce travail se fera en collaboration avec le géant électronique américain IBM", a-t-il précisé.
134 projet a l’appui de la recherche dans les énergies renouvelables
L’investissement dans le domaine des énergies renouvelables est tributaire des nouvelles technologies que connaît ce domaine. Dans ce sens, le centre de développement des énergies renouvelables CDER de Bouzaréha procède au pilotage de 134 projets d’études sur la plan national dans différentes spécialités à l’instar du solaire, l’éolienne et bioénergétique. Appuyé par quelques 98 chercheurs recrutés en 2013, le CDER a signés plusieurs conventions avec des universités nationales et centres internationaux pour propulser les recherches et échanger les connaissances.
Le professeur et directeur du CDER, Noureddine Yassaa a indiqué lors de la visite effectuée aujourd’hui au CDER par Rachid Hraoubia que le centre emploie toutes ces capacités pour accompagner la recherche dans les énergies renouvelables.
Classé premier dans le monde arabe et troisième en Afrique, le centre a signé plusieurs conventions avec notamment, plusieurs ministères (Habitat, Agriculture, Industrie, Défense et Environnement. Ces conventions sont signées aussi avec des entreprises privées, comme Condor et Thermocad.
Par ailleurs, le centre en question subira un réaménagement d’ici l’année prochaine, avec de nouveaux ateliers. Un Open Space est ouvert aujourd’hui dans le souci de permettre la rencontre de différents chercheurs du centre. En attendant le nouveau siège du CDER qu’abritera la nouvelle ville de Sidi Abdellah, le centre continue de travailler avec les moyens du bord afin de répondre aux demandes du marché scientifique et commercial. Le programme national des énergies renouvelables nécessite de nouveaux équipements et de l’espace pour que les chercheurs mènent leurs travaux sereinement.
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