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« Le Monde » dévoile quelques mystères de Marrakech la Sodome du Maghreb
Le quotidien français Le Monde a publié il y a quelques jours un article comportant autant d’accusations que d’insinuations sur la situation sexuelle de Marrakech, devenue ces derniers temps la grande Sodome du Maghreb.Le quotidien parisien explique qu’après le tsunami de 2004 « les aficionados du tourisme sexuel, chassés de Thaïlande, ont fait de Marrakech une destination de choix ». Il aurait dû rajouter que cela était le cas depuis bien longtemps et qu’après la chute de Carthage la Tunisienne aux mains des révolutionnaires anti-Ben Ali, beaucoup de français se sont repliés sur Marrakech.
Car tout l’article tourne autour des Français qui vivent ou qui débarquent à Marrakech. Il parle du quartier branché de Gueliz et surtout de ces « mécènes cultivés » et « bienfaiteurs », sans oser donner un seul nom.
Question : combien de « mécènes cultivés » et « bienfaiteurs » français résident ou ont résidé à Marrakech ? Le mécénat n’est pas donné à tout le monde….
L’une des personnes interviewées par Le Monde, l’avocat Mohamed Errachdi, accuse le coup devant la puissance de la France au Maroc. L’économie marocaine « est contrôlée à 60 % par des entreprises françaises, nous ne pouvons que crier et hurler ! », crie, justement, cet avocat qui a déposé plainte au Maroc et en France après les accusations de pédophilie lancées par Luc Ferry, en mai 2011, contre un « ancien ministre » français.
Là encore, Le Monde ne nous dit lequel. Pourtant, en France, une personnalité politique est sortie de son silence tout de suite après les accusations de Ferry pour jurer qu’il ne s’agit pas de lui : l’ancien ministre socialiste Jack Lang. Luc Ferry raconte peut-être des conneries, mais Jack Lang aurait dû se taire. Li fih al fez ki kfez !, dit le dicton marocain.
Et Le Monde de rappeler une bien étrange affaire, celle d’un agent immobilier français « arrêté en flagrant délit alors qu’il tourne chez lui des vidéos avec des mineurs ». Pudique peut-être le quotidien français ne donne pas son nom, juste des initiales : Hervé L.G.
Pourquoi donc, si toute la presse marocaine de l’époque, contrairement à la française, en a parlé. Il s’agit bien évidemment de Hervé Désiré Le Gloannec. Il avait été arrêté en mars 2005 en plein élan avec un mineur marocain âgé de 14 ans dans son appartement deu quartier Daoudiyat. La police, qui a fait son travail, a découvert 100 000 photos et 17 000 vidéos à caractère pédophile…
Hervé Désiré Le Gloannec a été présenté au tribunal et condamné à quatre petites années de prison en première instance, ramenées à deux par la très généreuse, ou très corrompue, cour d’appel de Marrakech.
Mais le scandale n’était pas encore complet. Imad, le jeune homme qui avait alerté la police et le quotidien Le Monde de l’époque, a été retrouvé pendu, ou « étranglé » se demande aujourd’hui le quotidien français.
Et cerise sur le gâteau, bien avant de sentir les rigueurs de la prison marocaine, Hervé Désiré Le Gloannec, désiré par beaucoup de puissants amis en France à qui il a rendu d’éminents services sexuels au Maroc, a été « gracié », s’indigne l’avocat Errachdi.
Mais, enfin maître, gracié par qui ? Qui a le pouvoir de grâce dans ce beau royaume ?
Badr Soundouss
Le quotidien français Le Monde a publié il y a quelques jours un article comportant autant d’accusations que d’insinuations sur la situation sexuelle de Marrakech, devenue ces derniers temps la grande Sodome du Maghreb.Le quotidien parisien explique qu’après le tsunami de 2004 « les aficionados du tourisme sexuel, chassés de Thaïlande, ont fait de Marrakech une destination de choix ». Il aurait dû rajouter que cela était le cas depuis bien longtemps et qu’après la chute de Carthage la Tunisienne aux mains des révolutionnaires anti-Ben Ali, beaucoup de français se sont repliés sur Marrakech.
Car tout l’article tourne autour des Français qui vivent ou qui débarquent à Marrakech. Il parle du quartier branché de Gueliz et surtout de ces « mécènes cultivés » et « bienfaiteurs », sans oser donner un seul nom.
Question : combien de « mécènes cultivés » et « bienfaiteurs » français résident ou ont résidé à Marrakech ? Le mécénat n’est pas donné à tout le monde….
L’une des personnes interviewées par Le Monde, l’avocat Mohamed Errachdi, accuse le coup devant la puissance de la France au Maroc. L’économie marocaine « est contrôlée à 60 % par des entreprises françaises, nous ne pouvons que crier et hurler ! », crie, justement, cet avocat qui a déposé plainte au Maroc et en France après les accusations de pédophilie lancées par Luc Ferry, en mai 2011, contre un « ancien ministre » français.
Là encore, Le Monde ne nous dit lequel. Pourtant, en France, une personnalité politique est sortie de son silence tout de suite après les accusations de Ferry pour jurer qu’il ne s’agit pas de lui : l’ancien ministre socialiste Jack Lang. Luc Ferry raconte peut-être des conneries, mais Jack Lang aurait dû se taire. Li fih al fez ki kfez !, dit le dicton marocain.
Et Le Monde de rappeler une bien étrange affaire, celle d’un agent immobilier français « arrêté en flagrant délit alors qu’il tourne chez lui des vidéos avec des mineurs ». Pudique peut-être le quotidien français ne donne pas son nom, juste des initiales : Hervé L.G.
Pourquoi donc, si toute la presse marocaine de l’époque, contrairement à la française, en a parlé. Il s’agit bien évidemment de Hervé Désiré Le Gloannec. Il avait été arrêté en mars 2005 en plein élan avec un mineur marocain âgé de 14 ans dans son appartement deu quartier Daoudiyat. La police, qui a fait son travail, a découvert 100 000 photos et 17 000 vidéos à caractère pédophile…
Hervé Désiré Le Gloannec a été présenté au tribunal et condamné à quatre petites années de prison en première instance, ramenées à deux par la très généreuse, ou très corrompue, cour d’appel de Marrakech.
Mais le scandale n’était pas encore complet. Imad, le jeune homme qui avait alerté la police et le quotidien Le Monde de l’époque, a été retrouvé pendu, ou « étranglé » se demande aujourd’hui le quotidien français.
Et cerise sur le gâteau, bien avant de sentir les rigueurs de la prison marocaine, Hervé Désiré Le Gloannec, désiré par beaucoup de puissants amis en France à qui il a rendu d’éminents services sexuels au Maroc, a été « gracié », s’indigne l’avocat Errachdi.
Mais, enfin maître, gracié par qui ? Qui a le pouvoir de grâce dans ce beau royaume ?
Badr Soundouss