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Le bilan des opérations des CALPIREF pour le premier semestre de l’année 2013 fait ressortir une évolution notable par rapport à l’année précédente, a indiqué l’Agence nationale d’intermédiation et de régulation foncière (ANIREF).
S’exprimant, aujourd’hui, lors d’une conférence de presse qu’elle a animée au siège de l’ANIREF, la directrice générale de cette agence, Mme Hassiba Mokraoui, a estimé que le dispositif semble atteindre sa vitesse de croisière.
Elle a fait savoir que 4.176 dossiers ont été traités durant le premier semestre 2013, soit une progression de 53% par rapport à la même période de l’année précédente qui a connu un traitement de 2.731 dossiers.
Selon elle, les investissements industriels viennent en première position avec 2.239 dossiers, soit 54% des documents traités. Elle a souligné que cette part est en progression par rapport au premier semestre 2012 avec 853 dossiers, soit 31% du total traité.
Mme Mokraoui a noté une répartition spatiale des investissements industriels, relativement équilibré entre le Nord (44%) et les Hauts Plateaux (49%). Le Sud occupe pour sa part une part appréciable avec 7% des dossiers industriels. « Les avantages accordés aux régions des Hauts-plateaux et du Sud semblent, ainsi, produire leurs effets en termes d’incitation à l’investissement», a-t-elle expliqué.
Elle a souligné également que le premier semestre 2013 a connu une structure industrielle diversifiée, avec un retour à l’investissement dans les industries manufacturières comme le textile, l’habillement, le cuir et chaussure, le bois et le papier. Elle a rappelé que ces branches industrielles avaient fortement reculé durant les décennies 90 et 2000, en raison de la très forte concurrence internationale.
S’agissant de l’impact des projets industriels retenus qui peut être considéré comme important, la directrice générale de l’ANIREF a fait part des investissements projetés compilés à partir des dossiers retenus d’un montant global de l’ordre de 112 milliards de dinars ainsi que des projections de création d’emploi par les projets retenus de l’ordre de 50 000 emplois directs.
En outre, elle a ajouté que «l’accès au foncier industriel s’est nettement amélioré mais il n’est pas réglé à 100% car la demande demeure pressante». Elle a, cependant, estimé que les projets de création de nouveaux espaces, à l’instar des nouveaux parcs industriels (zones industrielles) en cours de concrétisation, continueront certainement à desserrer cette contrainte majeure au développement de l’investissement.
Lahcene Brahmi: 06.08.2013
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S’exprimant, aujourd’hui, lors d’une conférence de presse qu’elle a animée au siège de l’ANIREF, la directrice générale de cette agence, Mme Hassiba Mokraoui, a estimé que le dispositif semble atteindre sa vitesse de croisière.
Elle a fait savoir que 4.176 dossiers ont été traités durant le premier semestre 2013, soit une progression de 53% par rapport à la même période de l’année précédente qui a connu un traitement de 2.731 dossiers.
Selon elle, les investissements industriels viennent en première position avec 2.239 dossiers, soit 54% des documents traités. Elle a souligné que cette part est en progression par rapport au premier semestre 2012 avec 853 dossiers, soit 31% du total traité.
Mme Mokraoui a noté une répartition spatiale des investissements industriels, relativement équilibré entre le Nord (44%) et les Hauts Plateaux (49%). Le Sud occupe pour sa part une part appréciable avec 7% des dossiers industriels. « Les avantages accordés aux régions des Hauts-plateaux et du Sud semblent, ainsi, produire leurs effets en termes d’incitation à l’investissement», a-t-elle expliqué.
Elle a souligné également que le premier semestre 2013 a connu une structure industrielle diversifiée, avec un retour à l’investissement dans les industries manufacturières comme le textile, l’habillement, le cuir et chaussure, le bois et le papier. Elle a rappelé que ces branches industrielles avaient fortement reculé durant les décennies 90 et 2000, en raison de la très forte concurrence internationale.
S’agissant de l’impact des projets industriels retenus qui peut être considéré comme important, la directrice générale de l’ANIREF a fait part des investissements projetés compilés à partir des dossiers retenus d’un montant global de l’ordre de 112 milliards de dinars ainsi que des projections de création d’emploi par les projets retenus de l’ordre de 50 000 emplois directs.
En outre, elle a ajouté que «l’accès au foncier industriel s’est nettement amélioré mais il n’est pas réglé à 100% car la demande demeure pressante». Elle a, cependant, estimé que les projets de création de nouveaux espaces, à l’instar des nouveaux parcs industriels (zones industrielles) en cours de concrétisation, continueront certainement à desserrer cette contrainte majeure au développement de l’investissement.
Lahcene Brahmi: 06.08.2013
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