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ECHEANCE 2014 : le clan présidentiel reprend du poil de la bête

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  • ECHEANCE 2014 : le clan présidentiel reprend du poil de la bête

    Durant tout le mois de ramadan, Gaid Salah, chef d’état-major de l’ANP, Said Bouteflika, frère cadet du chef de l’Etat et Amar Saidani, ancien président de l’assemblée nationale, proche du cercle présidentiel, se livrent à des briefings quotidiens dans la villa de ce dernier au Club des Pins. Il s’agit de se préparer à peser ou, pourquoi pas, confisquer l’élection présidentielle de 2014.

    Même effectué sur une chaise roulante, le retour d’Abdelaziz Bouteflika a incontestablement reboosté le clan d’Oujda, déboussolé par une information parasitée par les fuites ou les maladresses d’un gouvernement qui ne savait plus à quel saint se vouer.
    A la présidence Saïd Bouteflika reprend ses « fonctions » ; il menace et ordonne à tout va. Le FLN mis au frigo par les services pendant trois mois frétille à nouveau. Le premier à faire les frais de la renaissance des pro-Bouteflika c’est Belayat, chargé de bloquer les instances de direction pour priver les partisans du président d’un lieu de rencontre et de revendications. Il est ouvertement accusé d’abuser d’une fonction d’intérim pour « paralyser le parti ».
    Les « télé délinquances » sont l’objet de lutte d’influence acharnée et les opérateurs mamelles du clan présidentiel comme Kouninef ou Haddad sont l’objet de pressions du clan adverse.
    Cette situation dantesque est bien analysée par un ancien officier supérieur : « quand un chef d’état- major d’une armée qui est la colonne vertébrale du régime se commet dans des initiatives factieuses en dehors et contre les structures de son institution, c’est que le pire n’est pas loin, allah yestar. »
    Ali Graïchi
    algerie express
    dz(0000/1111)dz
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