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Je suis le tout, je suis le centre, je suis la circonférence

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  • Je suis le tout, je suis le centre, je suis la circonférence

    Je suis le tout, je suis le centre et la circonférence!

    Je suis la coïncidence des soleils nés dans l’obscurité de tes songes fantastiques au cœur de l’éclat des continuités superbes des déplacements des envies essentielles et les cœurs qui s’aventurent dans les espaces mystérieux des sens.

    Je suis ce poème fruit des bruits et des fureurs surgissant des songes prémonitoires qu meublent tes nuits sans sommeil bercées par la jonction des pulsions et des purs sentiments d’amour éternel.

    Je suis cet inconnu qui se présente au seuil de ton monde, grisé par les prometteuses espérances nées dans les mémoires noyées dans le brouillard des souvenirs réfutés et non assumés.

    Je suis ce mouvement lancinant né dans la fuite des espoirs qui se réfugient dans la consistance des paroles qui tressaillent sous les coups répétés du temps installé dans les éternités illusoires.

    Je suis la lumière qui étouffe les craintes en muselant leur murmure et encourageant la mutité des silences des regards impétueux avides de capter, de nouer, de lever, de redresser, de rendre les cœurs plus aguerris pour faire fondre les parois des angoisses persistantes.

    Je suis une impression née dans l’éloquence muette des regards affolés par la fuite inexorables des instants dérangés par les inconstances coupables et des envies impossibles et des frustrations revendiquées par une mémoire endolorie par la matité du décor d’une existence troublée par les incompréhensions et de déchirées par les indifférences.

    Je suis le langage intérieur des amants puisé dans la force des réminiscences dont les murmures écrasent les réticences qui cachent des pans entiers de ma vie et qui occultent des gammes de mirages d’images que l’absence et l’errance m’ont rendus inconnues.

    Je suis la preuve tangible qui lutte contre les déséquilibres du mouvement, rapproche les cœurs et les corps de ceux qu s’adorent, s’oppose à la désarticulation des espoirs de bonheur, comble les dissonances des harmonies et qui charme les envies, et la venue tant attendue et espérée des lendemains bénis.

    Je suis l’homme, je suis l’enfant, je suis l’herbe et l’arbre, je suis la racine et la fleur qui se mue en fruit, je suis le début et la fin, je suis le questionnement et les réponses, je suis hier origine d’aujourd’hui et révélateur d'un demain espéré, je suis l’aube naissante et le crépuscule qui s’avance pour enlacer les amours des amants, je suis la quiétude et l’angoisse, je suis maître des instants et esclave de l’éternité.

    Je suis le soleil qui coule en cascade émergeant du néant, je suis la conscience des espaces et des distances que les êtres arpentent pour accrocher leurs espoirs aux volutes des nuages et assouvir leur inextinguible soif des sens des mots qui disent l’amour, qui content le désir.

    Je suis l’inconnu surgi de nulle part et bravant les désespoirs qui parcourt les confins des illusions et s’arrête aux berges des impossibles vérités pour suspendre ses craintes et ses délires dans l’air des voyages immobiles.

    Je suis une irresistible fascination qui donne vie et consistance aux lumières qui éclairent les magiques horizons des tabous, des non-dits et des indécences dont la fulgurance accuse les indolences et mon incapacité chronique à rendre audibles les silences générateurs de confusion et d’absence de confluence.

    Je suis une antre fantastique habitée par les illusoires certitudes peuplant le cœurs des humains et détournent leur regard attristé par la recherche frénétique et continuelle de la singularité d’une vérité que le bon sens perçoit comme infinie et multiple.

    Je suis les braises des mots qui enflamment les phrases d’amour et qui incendient les lèvres des femmes et des hommes sur lesquelles perlent les promesses et les serments de fidélité et de confiance, source d’harmonieuses et charnelles fusions dans la profondeurs des nuits désertées par le sommeil et illuminées par le brasier qui consume les sens et les souvenirs.

    Je suis un songe captif de la fièvre des passions qui dévorent le cœur des amants, lancés à la poursuite échevelée du parfait amour qui libère les âmes et les esprits et donne libre cours à la fantaisie des voyages dans le désert des néants.

    Je suis la mémoire des instants incrustés dans la profondeur des réminiscences d’une éternité qui se construit à l’ombre des insatisfactions décontenancées et des frustrations revendiquées.

    Je suis la mémoire des printemps qui redonnent souffle au cycle de la vie et qui questionne l’hiver sur la durée de l’exil et de la léthargique existence des germes qui inventent les mystères abritant la renaissance des possibles et le réincarnation des probables en devenir.

  • #2
    Excellent adhfel

    Voilà ! À première Vue, je ne suis qu'un Vulgaire comédien de VaudeVille, à qui les Vicissitudes de la Vie font jouer le Vilain et la Victime, et Vice Versa. Ce Visage, n'est pas que le Vil reflet de ma Vanité, mais un Vibrant Vestige de la Vox populi aujourd'hui Vacillante et Vaincue. Vous deVez y Voir les Vieux restes d'une Vexation Vieillissante aussi ViVe que ViVante, et Vouée à Vaincre cette Vermine Vulgaire, ViVace, Virulente et Vénale qui ViVote en priVant ses Valeureuses Victimes Vaincues de la Vérité et des Vraies Valeurs. Le seul Verdict que je Vois est la Vengeance. Une Vendetta Violente brandie telle un ex-Voto et non en Vain Visant à faire Vaincre la Vertu face à cette Vilénie loVée dans les Veines de nos Villes. Ces Vagues Vocales faisant de moi un Ventriloque Vociférant ces Volutes Verbales, reVenons-en à l'essentiel. Je suis honoré de Vous rencontrer. Alors, pour Vous, je serai V.

    de V
    http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=28565

    J'ai pas pu m'en empeché :22:
    Dernière modification par absent, 18 octobre 2006, 18h20.

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