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Un important incendie s’est déclaré, dans l’après-midi de mercredi dernier, au village Ighil Ntala, relevant de la commune d’Amalou. Selon une source locale, un pétard jeté par un jeune garçon dans un champ d’arbres fruitiers était à l’origine de cet incendie. Les flammes se sont aussitôt propagées pour réduire en cendres une importante superficie, menaçant, du coup, plusieurs habitations.
Plusieurs villageois se sont dépêchés sur les lieux pour tenter de circonscrire les flammes. « J’ai été surpris dans mon sommeil par des cris de voisins. Quand je suis sorti de la maison, c’était l’horreur. Des flammes de toutes parts. Nous avons consenti de grands efforts pour éteindre l’incendie à l’aide de moyens dont nous disposions », témoigne Boubkeur, un habitant du village d’Ighil Ntala. Selon des témoins, l’intervention rapide des villageois a été salutaire. D’autant plus que les flammes menaçaient de plus en plus quelques habitations ainsi que des écuries.
Les habitants ont pu circonscrire les flammes près des maisons mais l’incendie ravivé par des vents s’est dirigé vers le nord en ravageant une grande partie de la colline surplombant ledit village. Une importante superficie de champs, contenant des arbres fruitiers, notamment des oliviers, a été ravagée. Aussitôt alertés, les services de la protection civile sont arrivés sur les lieux en moins de 40 minutes, sans pour autant pouvoir intervenir, car aucun accès n’est ouvert pour leur permettre d’éteindre l’incendie, lequel n’a été maîtrisé que le lendemain, soit le premier jour de l’Aïd.
Pour rappel, le village d’Ighil Ntala a été le théâtre de plusieurs incendies ravageurs cette année. Ces derniers ont réduit en cendres des centaines d’hectares entres broussailles, arbres fruitiers et autres. À chaque départ de feu, les services de la protection civile trouvent du mal à intervenir à cause du manque de pistes agricoles et la nature du relief dans ces zones montagneuses.
Keddouh Mohand Seghir- la dépêche de kabylie
Plusieurs villageois se sont dépêchés sur les lieux pour tenter de circonscrire les flammes. « J’ai été surpris dans mon sommeil par des cris de voisins. Quand je suis sorti de la maison, c’était l’horreur. Des flammes de toutes parts. Nous avons consenti de grands efforts pour éteindre l’incendie à l’aide de moyens dont nous disposions », témoigne Boubkeur, un habitant du village d’Ighil Ntala. Selon des témoins, l’intervention rapide des villageois a été salutaire. D’autant plus que les flammes menaçaient de plus en plus quelques habitations ainsi que des écuries.
Les habitants ont pu circonscrire les flammes près des maisons mais l’incendie ravivé par des vents s’est dirigé vers le nord en ravageant une grande partie de la colline surplombant ledit village. Une importante superficie de champs, contenant des arbres fruitiers, notamment des oliviers, a été ravagée. Aussitôt alertés, les services de la protection civile sont arrivés sur les lieux en moins de 40 minutes, sans pour autant pouvoir intervenir, car aucun accès n’est ouvert pour leur permettre d’éteindre l’incendie, lequel n’a été maîtrisé que le lendemain, soit le premier jour de l’Aïd.
Pour rappel, le village d’Ighil Ntala a été le théâtre de plusieurs incendies ravageurs cette année. Ces derniers ont réduit en cendres des centaines d’hectares entres broussailles, arbres fruitiers et autres. À chaque départ de feu, les services de la protection civile trouvent du mal à intervenir à cause du manque de pistes agricoles et la nature du relief dans ces zones montagneuses.
Keddouh Mohand Seghir- la dépêche de kabylie