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Le rêve devient enfin réalité ! Le complexe pétrochimique tant revendiqué par l’Assemblée populaire de wilaya sera bel et bien implanté sur le territoire de Béjaïa.
«C’est un projet qui a été officiellement inscrit à l’indicatif de notre wilaya. Désormais il appartient à chacun d’entre nous de faire en sorte qu’il se concrétise », a indiqué le secrétaire général de la wilaya de Béjaïa, à la faveur d’une séance de travail organisée, hier, à la salle des délibérations de l’APW. Devant deux représentants de la Sonatrach, le DEM, le PDG du port et des élus de l’APW, le représentant du wali a souligné que « le projet est d’une importance vitale pour Béjaïa et, par ricochet, pour l’économie nationale », précisant que les sites proposés pour recevoir le projet restent à déterminer.
Présentement, deux sites ont été proposés pour recevoir le projet, l’un à El-Kseur d’une superficie de 170 hectares et l’autre à Béni Mansour, (Boudjellil) de 205 hectares. Le choix du terrain où sera implanté le complexe est du ressort exclusif des techniciens de la Sonatrach. Ces derniers devaient, d’ailleurs, se rendre, en fin d’après-midi d’hier, à El-Kseur et aujourd’hui à Boudjellil. « Le choix du terrain pour l’implantation du complexe dépendra de plusieurs critères, dont une superficie égale ou supérieur à 200 hectares, la proximité de la mer (Port), la disponibilité des utilités, telles l’eau et l’énergie, l’existence d’une infrastructure d’accès et de liaisons, à savoir un réseau routier et un chemin de fer, une nappe de pipes d’alimentation en hydrocarbures, de l’énergie électrique, dans une zone non-urbaine et non-classée », a expliqué M. Taouli, cadre à la Sonatrach, en rappelant que le projet, toujours en phase de maturation, a été le fruit de plus d’une année et demie de travail des experts du ministère de l’Energie et des mines, dans l’optique de maximiser et de valoriser le pétrole brut algérien. Melle Hasni, également cadre à la Sonatrach, a fait remarquer, quant à elle, que « la pétrochimie est une industrie lourde», d’où, a-t-elle insisté, « l’obligation d’avoir un partenaire ».
D’après elle, « le projet aura des retombées très bénéfiques sur la région », d’autant que, a-t-elle poursuivi, « d’autres projets annexes seront réalisés et, partant, des milliers d’emploi seront créés ». Le P/APW de Béjaïa, Mohamed Bettache, s’est déclaré « très satisfait de savoir que le projet a été retenu ». Il rappellera que d’autres projets, de même importance, ont déjà été inscrits, par le passé, à l’indicatif de la wilaya, mais ils ont été tout bonnement détournés. Il est à signaler, par ailleurs, que le projet d’implantation du complexe pétrochimique sur le territoire de la wilaya de Béjaïa risque de ne pas voir le jour, au cas où les sites proposés ne répondaient pas aux critères de la commission de choix du terrain.
Dalil S- La dépêche de Kabylie
«C’est un projet qui a été officiellement inscrit à l’indicatif de notre wilaya. Désormais il appartient à chacun d’entre nous de faire en sorte qu’il se concrétise », a indiqué le secrétaire général de la wilaya de Béjaïa, à la faveur d’une séance de travail organisée, hier, à la salle des délibérations de l’APW. Devant deux représentants de la Sonatrach, le DEM, le PDG du port et des élus de l’APW, le représentant du wali a souligné que « le projet est d’une importance vitale pour Béjaïa et, par ricochet, pour l’économie nationale », précisant que les sites proposés pour recevoir le projet restent à déterminer.
Présentement, deux sites ont été proposés pour recevoir le projet, l’un à El-Kseur d’une superficie de 170 hectares et l’autre à Béni Mansour, (Boudjellil) de 205 hectares. Le choix du terrain où sera implanté le complexe est du ressort exclusif des techniciens de la Sonatrach. Ces derniers devaient, d’ailleurs, se rendre, en fin d’après-midi d’hier, à El-Kseur et aujourd’hui à Boudjellil. « Le choix du terrain pour l’implantation du complexe dépendra de plusieurs critères, dont une superficie égale ou supérieur à 200 hectares, la proximité de la mer (Port), la disponibilité des utilités, telles l’eau et l’énergie, l’existence d’une infrastructure d’accès et de liaisons, à savoir un réseau routier et un chemin de fer, une nappe de pipes d’alimentation en hydrocarbures, de l’énergie électrique, dans une zone non-urbaine et non-classée », a expliqué M. Taouli, cadre à la Sonatrach, en rappelant que le projet, toujours en phase de maturation, a été le fruit de plus d’une année et demie de travail des experts du ministère de l’Energie et des mines, dans l’optique de maximiser et de valoriser le pétrole brut algérien. Melle Hasni, également cadre à la Sonatrach, a fait remarquer, quant à elle, que « la pétrochimie est une industrie lourde», d’où, a-t-elle insisté, « l’obligation d’avoir un partenaire ».
D’après elle, « le projet aura des retombées très bénéfiques sur la région », d’autant que, a-t-elle poursuivi, « d’autres projets annexes seront réalisés et, partant, des milliers d’emploi seront créés ». Le P/APW de Béjaïa, Mohamed Bettache, s’est déclaré « très satisfait de savoir que le projet a été retenu ». Il rappellera que d’autres projets, de même importance, ont déjà été inscrits, par le passé, à l’indicatif de la wilaya, mais ils ont été tout bonnement détournés. Il est à signaler, par ailleurs, que le projet d’implantation du complexe pétrochimique sur le territoire de la wilaya de Béjaïa risque de ne pas voir le jour, au cas où les sites proposés ne répondaient pas aux critères de la commission de choix du terrain.
Dalil S- La dépêche de Kabylie